Rencontre à Travia

Je levais les yeux de mon livre et tournais la tête.Une jeune fille s'essuyait le front, elle n'avait pas vu que j'étais la et lorsqu'elle s'en redit compte bafouilla :

-Heu…excusez-moi…j’ai eu un petit problème...enfin…heu…excusez-moi…je, heu… je ne suis pas très présentable…

Surprise je la regardais, pourquoi s'excusait-elle ? Les bancs étaient à tout le monde ! Je la rassurait :

-Non ce n'est pas grave, tu peux t'asseoir, les bancs ne m'appartiennent pas. Tu as l'air épuisé que t'est-il arrivé ? Non pardon ça ne me regarde pas ... Je m'appelle Laure et toi ?

La jeune fille eu l'air un peu soulagé. Ben quoi ? Je n'allais tout de même pas lui dire "Qu'est-ce que tu fais sur mon banc ? Tire-toi de la en vitesse !!!" Ca ne se faisait pas et plus elle avait vraiment l'air épuisé ... Je me demandais vraiment pourquoi ...

(je vous ai demandée en amies,se serait bien si vous acceptiez (aprés,vous faites comme vous voulez))


-Non ce n'est pas grave, tu peux t'asseoir, les bancs ne m'appartiennent pas. Tu as l'air épuisé que t'est-il arrivé ? Non pardon ça ne me regarde pas ... Je m'appelle Laure et toi ?
-Mélodie.

La jeune apprentie Voleuse Patenté avait failli dire qu’elle était en mission pour les Ombres mais c’était mordue la langue avant, après tout, elle ne savait pas dans quel camp elle était…
Elle allait lui demander qu’elle livre elle lisait quand quelqu’un trébucha à leurs pieds et se releva en disant :

-Je suis vraiment désolé…Je n’ai pas fait attention…je…

Mélodie signala à son Familier :
*C’est une vampyr…*
*Non, je crois plutôt que c’est une Demi-vampyrs…*

-Ce n’est pas grave.

Mélodie s’écarta un peu des deux filles et se lança un Ondus suivit d’un Sechus pour se nettoyer et revint vers elles.

-Excusez-moi encore d’être venu comme ça mais comme je te l’ai dit,j’ai eu un…problème, Fit Mélodie plus pour Laure que pour la demi-vampyrs.

Nous discutions lorsqu'une autre jeune fille trébucha et s'étala devant nous.


-Je suis vraiment désolé…Je n’ai pas fait attention…je…dit la nouvelle


-Ce n’est pas grave. répondit Mélodie

Elle s’écarta un peu des deux filles et se lança un Ondus suivit d’un Sechus pour se nettoyer et revint vers elles.

-Excusez-moi encore d’être venu comme ça mais comme je te l’ai dit,j’ai eu un…problème, enchaîna-t-elle.

-Hum ce "probleme", je fis le signe des guillemets, t'as épuisé visiblement ...

Je me tournais vers la nouvelle et lui dis :

-Salut, qu'est-ce qui t'es arrivé pour que tu trébuche sur nous ? Je m'appelle Laure et voici Mélodie.

Je la détaillais intriguée, elle était vêtue d'une jupe blanche lui arrivant un peu au-dessus des genoux et un simple tee-shirt à bretelle de la même couleur. Ses cheveux étaient attaché en chignon mais comme ils étaient très longs ce qu'elle n'avait pas pu attaché le reste pendait jusqu'au milieu de dos. Elle était chaussée de ballerines à talons de la même couleur que le reste et elle avait un collier avec un pendentif de la même couleur que ses yeux rouges.

Cassie, pour tout dire, s’ennuyait. Pour plusieurs raisons, valable ou non. La première de ces raisons : elle était au Lancovit. Bien sûr, elle aimait bien ce pays et ne disait pas non quand l’occasion se présentait d’y aller, mais en ce moment, elle aurait préféré être à Omois en compagnie des gens qu’elle aimait. Parce qu’elle ne connaissait personne au Lancovit, mis à part sa famille, et ce n’est pas toujours avec elle que vous avez le plus envie d’être.
La deuxième raison de son ennui, c’était le fait qu’elle avait passé toute la journée à courir après sa petite sœur, Brianna, et que ça devait bien être la plus fatigante de toutes les petites sœurs, présente sur terre ou Autremonde.
Bien sûr, il y avait d’autre raison, plus nombreuse, et sûrement beaucoup moins acceptable que celles-ci, mais toutes les énumérer aurait pris deux ou trois page Word, ce qui n’était pas réellement souhaitable.
Enfin, quitte à s’ennuyer, autant le faire dans un joli endroit. Voilà pourquoi elle avait choisi le parc du Lancovit. Endroit qui avait l’avantage de convenir à sa nature de claustrophobe sans problème.
Terry, à côté de sa maîtresse, pépiait joyeusement. Sauf que dans la tête, la conversation donnait plutôt :

Fin de la conversation. Ou plutôt, fin de la participation de Cassie à la conversation. Terry continua d’exprimer son mécontentement. Sa maîtresse poussa un soupir exaspéré, et s’adossa contre un arbre, se demandant si il lui pardonnerait (l’arbre) qu’elle jette sa fauvette dans un des petits trous que les écureuils, exportation made in Terre, et qui avait viré au turquoise durant leur adaptation à Autremonde, avait creusé à l’intérieur.
Le familier se tut soudainement et s’envola rapidement vers une branche très haute de l’arbre : l’oiseau avait dû intercepter les pensées de sa maîtresse. Tant mieux.
Elle observa le lieu qui l’entourait. Un peu plus loin, une jeune fille lisait un livre. Elle hésita un instant à aller l’aborder ou non, mais quand une deuxième jeune fille arriva, elle choisit de rester à sa place et de continuer son observation. De là où elle était, les cheveux de la nouvelle semblait briller étrangement. Elle mit un instant à comprendre qu’ils étaient argenté, et se demanda s’ils étaient naturels ou si un sort leurs avait donné une tel teinte. La jeune fille avait aussi l’air exténué. Youpi, elle n’était pas la seule!
Les jeunes filles commencèrent à parler, mais Cassie s’aperçut qu’elle était trop loin pour entendre un mot de leur conversation

«-Terry, tu veux pas écouter leur conversation pour moi?
-Je dors.
-Non, tu boudes.
-Même chose.
-Pas exactement.»

Le (court) temps que dura cette conversation suffit pour qu’un troisième personnage sorte de l’ombre, ou plutôt, sorte du chemin sur lequel elle se trouvait pour faire un appréciable vol plané. Pour enfin découvrir que le sol est bel et bien solide.


Cassie se leva, et se dirigea vers les trois jeunes femmes au pas de course. Elle arriva devant elles et se tourna vers celle qui était tombé, une sublime blonde aux yeux rouge. Demi-vampyr, peut-être? Elle entendit les deux première jeune filles échanger quelque paroles, à propos d'un problème, et en profita pour apprendre leurs prénoms.

-Ça va? Tu ne t’es pas fait mal en tombant, j’espère?

Puis elle repensa au fait que la jeune fille au chevaux argentés venait de parler d'un problème.


Argh, dis comme ça, ça faisait… bizarre. M’enfin. Elle sortit une pomme de son sac rouge qu’elle trimbalait partout avec elle, en coupa un bout pour Terry, et regarda les trois autre

-Vous voulez une pomme? J’en ai plusieurs.

Technique d’approche des gens par la pomme.

-Hum ce "problème", fis Laure en faisant des guillemets avec ses doigts, t'as épuisé visiblement ...

Elle se tournât vers la nouvelle et lui dis :

-Salut, qu'est-ce qui t'es arrivé pour que tu trébuche sur nous ? Je m'appelle Laure et voici Mélodie.
Une autre fille s’avança vers elles :

-Ça va ? Tu ne t’es pas fait mal en tombant, j’espère ? Excuse-moi, je sais que ça ne me concerne pas, mais quel genre de problème ? Oh, je m’appelle Cassie, voici Terry, et je vous observais de là-bas depuis tout à l’heure. Vous voulez une pomme ? J’en ai plusieurs.

Ça faisait beaucoup de personne d'un coup !!! Et si c’était des sangraves venu achever leur œuvre ?
Oh, oh. Il va falloir que j’arrête d’être paranoïaque, ce dit la Voleuse.

-Non merci, Ombre ne mange que de la viande ... mais pour moi oui je veux bien !!!Fit laure.

Elle pris le quartier de pomme que lui tendait Cassie et ajouta à l'intention de Mélodie :

-Oui, je voulais pas être indiscrète, mais que s'est-il passé ?

Cassie se tourna vers Mélodie qui répondit :

-Oui merci, j’en veux bien un.

Elle dit à l’intention de Laure :

-Et, hum…Je ne sais pas si…Je…J’était en…mission…

Puis, elle enchaîna :

-Au fait voici mon familier, Iné.

Cette dernière, en entendant son nom, jeta un regard interrogateur à sa maîtresse puis sauta sur les genoux de l’a demi-vampyr qui c’était, entre-temps assise sur le banc.

-Oui je vais bien, je m'appelle Nyuwa Ten'shi et voici Ambre,mon familier.

A ces mots la lapine mutant sortit de derrière les longs cheveux de sa maîtresse et vint s'installer sur ses genoux au côté d'Iné que Nyuwa caressait. Mais Ambre aussi voulait des caresses et la demi-vampire se retrouva à caresser les deux familiers en même temps. Son chignon s'était défait quand elle était tombée et ils lui arrivaient maintenant jusqu'aux pieds tel un long vole doré. Elle sourit, les trois humaines avaient l'air très gentilles. Quand à Mélodie elle n'avait pas l'air décidé à leur révéler ce qui n'allait pas.

-Tu peux nous le dire, on pourra sûrement t'aider tu sais. ajouta Nyuwa.

-Oui, je maîtrise plutôt bien la magie ... dis-je

Finalement, Mélodie se retrouva assaillie par nos demande "Dis-nous ce qui ne va pas, Que s'est-il passé ?" et "Est-ce qu'on peut t'aider ? Je suis sure que oui !!!".
Mélodie eu l'air encore plus fatiguée. S'étant relevée du banc, elle se rassit et expliqua :

(Désolé, c'est court mais je suis pressé.)

- Comment t'appelles-tu? Moi c'est Nyuwa et voici Laure, Mélodie et Cassie.
- Alana, répondit la nouvelle arrivante, Alana Traum

Un corbeau, sûrement son familier, sauta lui aussi sur les genoux de la demi-vampyr qui sourit à Alana.
Mélodie dit à la nouvelle arrivante :

- Ca va ? Tu n’es pas blessé ?
- Non, non. Juste quelques égratignures.
- Laisse moi te soigner ; Par le Reparus que sa blessure soit soignée et que le sang soit coagulé.

Son étrange magie argentée -de la même couleur que ses cheveux- englobât la jeune fille et la soigna.
Mélodie leva les yeux et se quel vit la fit frissonner ; un homme, vêtu de noire avec un chapeau également de la même couleur scruter le parc. Ainsi, l es sangraves la recherchaient pour la tuer après se quelle avait vu prés de leurs forteresse. Elle se tourna vers les jeunes filles mais elles avaient intercepté son regard, et, après avoir vu l’homme, lui jetèrent un regard interrogateur.

-Ce n’est rien, Fit la Voleuse en essayant de leurs dissimuler son angoisse.

-Je crois qu'on devrait partir. dit Nyuwa d'une voix nerveuse

Sans prévenir elle attrapa ma main et celle de Alana, puis la queue de Ombre qui feula de douleur et une patte de Teddy, qui tomba du bord du banc sur lequel il s'était posé.

Sans entendre nos protestation elle nous entraîna à l'autre bout du parc, en courant.
Elle nous lâcha et regarda autour d'elle, parut soulagée et s'affala sur un autre banc.

-Heuuu... Qu'est-ce qu'il se passe? On aurait dit que vous avez vu un fantôme! Pourquoi tu nous a emmenées jusque là? C'était vraiment nécessaire d'aller aussi loin? dit Alana

-Non mais ça va pas la tête ? lui criais-je tant la douleur de Ombre me rendait agressive, regarde ce que tu as fais à Ombre !!!!!

J'appliquais un reparus et la douleur reflua immédiatement. Au passage j'en appliquais un à Teddy, dont la maîtresse se tenait la jambe, l'air de souffrir horriblement de la douleur de son compagnon d'âme. Très vite elle parut soulagée et s'assit sur le banc, Teddy sur ses genoux. Mélodie hésita puis, toujours fatigué, s'assit à son tour. Trop énervée, je restais debout et apostrophais Nyuwa :

-Qu'est-ce qui t'as pris ???

Nyuwa soupira puis entrepris de nous raconter son histoire.
Elle commença par la vue du sangrave qui lui avait rappelé la mort de cette personne ... Puis son histoire accéléra puisqu'elle ne racontait presque plus pourquoi elle nous avait si brutalement enlevées de notre banc.

Finalement elle soupira :

-Voila vous savez tout à présent.

Nerveuse je regardais autour de moi, j'avais trop entendu parler des sangraves et si je m'y opposais officieusement ... Ils me terrifiaient ... Je chuchotais, peu rassurée :

-Il est partit ?

-De qui ? Le sangrave ? Oui oui il est partit, sinon je vous aurais emmenées dans le palais ... répondit Nyuwa.

Finalement, toutes, nous lui pardonnâmes sa saute d'humeur et nous recommencâmes à discuter.


(désolé si il y a des fautes d'orthographe, notamment dans le passé simple ...)

(Je vous ai toutes demandées en amies ..)

-Je crois qu'on devrait partir. dit Nyuwa d'une voix nerveuse

Sans prévenir elle attrapa la main de Laure et celle d’Alana, puis la queue de Ombre qui feula de douleur et une patte de Teddy, qui tomba du bord du banc sur lequel il s'était posé. Sans entendre leurs protestations elle les entraîna à l'autre bout du parc, en courant. Et les lâcha, regarda autour d'elle, parut soulagée et s'affala sur un autre banc.

-Heuuu... Qu'est-ce qu'il se passe? On aurait dit que vous avez vu un fantôme! Pourquoi tu nous a emmenées jusque là? C'était vraiment nécessaire d'aller aussi loin? fit Alana
-Non mais ça va pas la tête ? lui cria Laure .La douleur son familier devait se répercuter sur elle, Regarde ce que tu as fais à Ombre !!!!!

Elle appliqua un reparus et la douleur du refluer car elle se détendit.
Légèrement.
Au passage elle en appliqua un à Teddy, dont la maîtresse se tenait la jambe, l'air de souffrir horriblement de la douleur de son compagnon d'âme. Très vite elle parut soulagée et s'assit sur le banc, Teddy sur ses genoux. L’ Apprenti Voleuse Patenté hésita, toujours au aguets et vit que le sangrave partait dans le sens inverse d’où elles était.
Trop énervée, Laure resta debout et cria :

-Qu'est-ce qui t'as pris ???

Mélodie se mordit la lèvre, elle voyait bien que Nyuwa avait un problème avec les sangraves. Comme une…peur.
Evidement tout le monde avait au moins un peu peur des sangraves. Mais pour Nyuwa c’était autre chose, comme si les hommes de Magister étaient intervenus dans sa vie.
Nerveuse Laure regarda autour d’elle et chuchota, peu rassurée :

-Il est partit ?
-De qui ? Le sangrave ? Oui, oui il est partit, sinon je vous aurais emmenées dans le palais ... répondit Nyuwa.

*Un sacré caractère cette Laure elle ni va pas avec des gants quand elle s’énerve.*
*Oui, Iné…*
La remarque de son familier fit sourire Mélodie, oui, elles était toute différente…Elle se mit à caresser son familier,plongé dans ses penser.

(Si tu pouvais évité de faire agir les personnages des autres Laure ça serait bien. Ça t'as peut être aidé pour faire tes lignes mais moi je n'ai pu rien à écrire du coup.)

Nyuwa soupira puis entrepris de nous raconter son histoire.
Elle commença par la vue du sangrave qui lui avait rappelé la mort de cette personne ... Puis son histoire accéléra puisqu'elle ne racontait presque plus pourquoi elle nous avait si brutalement enlevées de notre banc.

-Un jour des sangraves on surgit dans ma maison, ma mère a été tuée et mon père gravement blessé ... Si après ça vous ne voulez plus être mon amie je comprendrais parfaitement. Donc je reprend: Il n'y avait personne d'autre et si les voisins on entendu et bien ils ne sont pas venu nous porter secours. J'avais peur et je ne pouvais pu m'arrêter de pleurer... Tout à coup tout est devenu noir... C'était comme si je tombais dans un gouffre sans fond, aspirée par des forces qui me dépassaient et qui ne me laisseraient plus jamais ressortir... Sauf que je m'étais trompée, à mon réveil tout autour de moi était cassé, détruit: il n'y avait plus de fenêtres, les portes avaient été arrachées de leurs gonds, il y avait du sang partout... Et surtout des corps partout... Il y avait ceux de mes parents et ceux des cinq sangraves, ceux-ci avaient été torturés. Mon père heureusement était vivant mais ce n'était pas le cas de ma mère. Quelques jours plus tard mon père s'est suicidé et maintenant dès que je rencontre un sangrave le même phénomène étrange se reproduit. Voilà mon histoire, j'espère que nous resterons quand même amie.

Finalement elle soupira :

-Voila vous savez tout à présent.

Nerveuse je regardais autour de moi, j'avais trop entendu parler des sangraves et si je m'y opposais officieusement ... Ils me terrifiaient ... Je chuchotais, peu rassurée :

-Il est partit ?

-De qui ? Le sangrave ? Oui oui il est partit, sinon je vous aurais emmenées dans le palais ... répondit Nyuwa.

-Oui ... mais je te pardonne; à ta place j'aurais peut etre meme incanté un transmitus histoire de mettre le plus de distance possible entre ce sasngrave et moi ...

-Tu n'as pas à t'en faire, nous sommes là pour toi. Et puis on est nombreuses, alors on peut mieux se défendre! Maintenant, je vous propose d'avertir les Hauts Mages. Si des Sangraves se baladent dans le Palais l'air de rien, c'est mauvais signe, et nous sommes tous en danger. Alors nous devons prévenir quelqu'un!

- Tu veux qu'on rentre ? je ne me sens plus trop à l'aise si il y a un sangrave dans les parages ... dis-je.

Nyuwa acquiesa et nous allâmes à l'interieur du palais.

Je les conduisis das la salle comune, à coté du dortoir licorne et phénix.
Je pris un siege et m'assis, Ombre s'assis à coté de moi et je la carressa, j'aimais le contact de sa fourrure contre ma main ...

Les autre filles s'assirent elle aussi et je déclara :

- Bon oublions cet evenement et parlons d'autre chose. Vous êtes premières sorcelières,vous aussi ? Ou je suis la seule ?


[répondez vous aussi, Mélodie a une excuse mais vous non !!! Là j'attendais juste que vous répondiez mais puisque vous ne sembliez pas décidées ...]

-Ce n'est pas des sangraves que j'ai le plus peur mais de moi même: quand je suis en crise je ne contrôle plus rien! J'ai peur de vous blesser et les autres aussi...

La demi-vampyr se recroquevilla encore sur elle même, elle avait honte! Honte de ce qu'elle avait fais même si c'était des sangraves, elle n'était pas mieux qu'eux.
Ambre la réconforta en lui disant qu'elle était leur contraire et qu'elle était toujours gentille, douce et tout ce qui allait avec.
Nyuwa se leva d'un coup et se mit à faire les cent pas. Il fallait faire vite si des sangraves se promenaient dans le palais tout le monde était en danger. Le plus rapide aurait été que Nyuwa affronte le sangrave toute seule mais c'était impossible. Il fallait donc aller chercher les Hauts Mages comme l'avait proposé Alana.
La jeune demi-vampyr prévint ses amies, elle n'allait quand même pas laisser faire les hommes en gris sans tenter quelque chose. Et si elle ne trouvait pas de Haut Mage elle se chargerait d'eux toute seule en faisant attention à ce que personne ne situe près d'elle à par son adversaire.

Je sautais sur mes pieds et m'exclamais :

- C'est vrai que je n'ai aucune envie de devenir vampyr, ou même de me faire mordre, mais je te laisserais pas tomber !!! Ces imbéciles vont payer pour ce qu'il t'ont fait !!!!

J'adressais un sourire à Nyuwa et ajoutais :

- Celles qui veulent mettre une patée aux sangraves viennent avec Nyuwa et moi !!!!


[répondez les autre aussi, nyuwa, on va attendre de savoir si les autres veulent venir pour continuer]