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Chroniques d'AutreMonde :: Autremonde :: Le LancovitLe Lancovit :: TraviaTraviaPartagez
 

 Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE]

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Emy Rualle


Emy Rualle

Age du personnage : 26

Familier : TryTry, un petit poussin jaune
Couleur de magie : Bleu transparente
Niveau de magie :
  • Faible
Niveau de combat :
  • Très faible


Métier : N'en a pas encore sur Autre-Monde
Résidence : Travia
Dans le sac : Une petite marguerite, un crayon vert et une photo de sa tante


MessageSujet: Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE]   Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE] Icon_minitimeMer 2 Nov 2011 - 12:15

Oh, un nuage. Un nuage blanc, cotonneux et épais. Un nuage se baladant calmement dans le ciel, sans soucis, sans problème. La vie est belle et calme pour les nuages, aucun quiproquos, aucun soucis pour troubler leur vie paisible et lumineuse, tout en haut, proche des cieux. Mais qu’est-ce que vraiment la vie paisible ?
Pour de nombreuses personnes, c’est vivre au soleil, avec tout à porter de mains, où l’on peut ne se soucier de rien, vivre sa vie sans ordres et ses règles, où les lois n’existent pas et où chacun fait ce qu’il veut, quand il veut où il veut. C’est aussi pour ces personnes-là, une vie où tout est facile, il n’y jamais de problème d’argent, de nourriture. Où nous ne vieillissons pas, ou notre corps reste comme il est. Dans cette vie sans problème, nous sommes tous beaux, un physique qui nous plait et qui ne changeras pas d’un pouce. Pour beaucoup c’est cela, c’est la vie d’un nuage en somme. Pour Emy, c’est d’être seule sur Terre. Chacun son rêve secret après tout


Emy attendait. Quoi elle ne savait pas, mais elle attendait. Patiemment, sans relâche elle attendait que quelque chose se produise, que quelqu’un vienne, s’intéresse à elle. Non. En fait elle ne voulait pas que quelqu’un vienne, encore moins qu’il s’intéresse à elle. Sa vie, elle la vivait seule, depuis toujours la solitude était son amie, son alliée, sa confidente. Elle remplaçait toutes les amies et meilleure amie qu’Emy aurait pu avoir et aurait souhaitée connaitre. Oui, la solitude faisait partie de la vie d’Emy depuis toujours. Elles se connaissaient par cœur, s’aimaient comme des sœurs, se comprenaient. Mais la solitude, qu’est-ce vraiment ?
C’est quand on est seul, qu’aucune personne nous tienne compagnie depuis toujours, que notre esprit est depuis toujours en train de se parler à lui-même. La solitude c’est quand on fond de nous et à l’extérieur de nous on est seul. Physiquement, mentalement, on est seul, et on sera toujours seul. Certains réagissent mal à la solitude. Ils dépriment, perdent l’appétit, pleurent sans cesses, parfois vont jusqu’à ce suicider. Emy elle aime rester seule. D’ailleurs elle repousse les autres, les rejette sans gêne et sans remord pour qu’ils partent et qu’ils la laisse seul. Emy aime sa solitude habituel car c’est elle qui l’a choisi, c’est elle qui la voulut, c’est elle qui fait tout pour rester à jamais seule. Parce qu’à par vous attiré des ennuis, la vie en société ne nous apporte rien. Vraiment rien à part des déceptions, des faux-espoirs, des larmes et toujours plus de larmes. Maintenant, Emy est immunisé et protéger. Une barrière invisible et transparente la protège jour et nuit contre les autres. C’et son caractère. Dans sa tête, pour elle, ça fait comme une vitre contre laquelle tous les petits désagréments de l’extérieur viennent se fracasser. Les gens, aussi, viennent se coller, l’invite à sortir de sa carapace, mais Emy résistent. Les gens reviennent, retentent leur chance mais voyant ne jamais y arriver, ils repartent. Et Emy sourit, respire. Car dès qu’elle se sent en danger, sa respiration ce bloque, ses muscles se contractent, sans cœur s’accélère. Et elle se sent en danger dès que quelqu’un s’approche d’elle. Autant dire qu’Emy est tout le temps en danger, à cause des autres mais surtout à cause d’elle, de son caractère étrange et paranoïaque.

Emy ce jour-là était sortie tard le soir. Malgré sa peur des autres, elle aimait aller dehors, surtout quand il faisait noir, surtout quand il y avait du vent. Surtout quand il y avait peu de monde. Elle s’était assise sur un banc, tranquillement et regardait passé les autres, inlassablement, les scrutant, voyant si ces gens pourraient être un danger potentiel pour elle. Les gens passaient eT repassaient devant-elle, sans vraiment la voir, comme si le corps de la jeune fille était transparent, comme une vitre bien propre posée sur le banc. Emy aimait cette impression de ne pas exister. Beaucoup au contraire détestait cela, ce sentant rejeté à tort et en déprime. Emy elle trouvant cela génial. Pouvoir vivre à côté des autres, sans pour autant que eux se rendent compte qu’elle est là c’est juste incroyable pour elle. Mais hélas pour la jeune femme, en réalité, on la voit quand même. On ne fait juste pas attention à cette fille, posée sur un banc. Mais on la voit, on l’observe vite fait. Comme un vieux chiffon salle posé sur un banc. Alors, Emy est un chiffon sale ou une vitre propre ?

Emy ferma les yeux et respira un grand cou. Cela faisait maintenant 6 mois que sa mère était morte. Non, que sa tante, cette hypocrite, cette traîtresse, cette menteuse, cette garce, était morte. Mais aussi mauvaise soit elle, elle lui manquait énormément. Elle avait depuis toujours remplacée sa mère biologique et depuis toujours Emy la considérait comme-t-elle. Pourquoi cela changerait-il maintenant. Parce qu’elle lui avait MENTI. Elle l’avait trahit et Emy c’était un grand vide maintenant. Même deux grand vide Un c’était sa tante en mourant qui l’avait laissé. L’autre c’était sa mère inconnue qui l’avait creusé. Emy n’en pouvait plus. Sa vie ne ressemblait à rien, depuis toujours d’ailleurs. Jamais sa vie n’avait jamais été synonyme de quelques choses. Sa vie, c’était une errance totale.

Emy s’allongea sur le banc, devant les passants. Une larme coula le long de sa joue. Puis une autre, et encore unes. Petit à petit, son visage fut inondé totalement. La vitre et le chiffon laissait place à une jeune femme étendu sur un banc, malheureuse et désespérer. Emy s’en fichait que tout le monde la voient comme cela. Qu’ils s’envolent au diable, tous autant qu’ils sont, ces êtres magiques de malheurs, ce fichu monde pleins de bêbêtes à pouvoirs surnaturels. Oui, qu’ils disparaissent et qu’ils la laisse sombrer en paix.
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Saeko Minh'ty


Saeko Minh'ty

Age du personnage : 15 ans et demi

Familier : --
Couleur de magie : Rose pâle tirant sur le blanc, comme une fleur de cerisier.
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Elevé


Métier : Apprentie Voleuse Patentée
Résidence : Là ou le vent l'entraîne.
Dans le sac : Une barette noire, quelques élastiques noirs aussi, une carte d'AutreMonde et du matériel pour astiquer Haruko, le katana sur mon dos.

Affinités : Une rencontre est le commencement d'une séparation.

MessageSujet: Re: Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE]   Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE] Icon_minitimeMer 2 Nov 2011 - 15:13

"Je dois prendre l'air."
C'est ce que je me suis dit ce matin quand une impression de claustrophobie s'est déclarée. Je sortais de la petite auberge dans laquelle j'avais passé la nuit quand j'ai eu l'impression d'étouffer.
Résultat, je me retrouve ici, à me balader tranquillement au bord d'une sorte de rivière... en fait, je ne sais pas du tout où je me trouve. Mais ma vie, pour le moment, se résume à ça : aller là où l'instinct me dit d'aller. Et ça me convient parfaitement.

Je sors Haruko, mon katana adoré, de son fourreau. Délicatement, je commence à le nettoyer. Il est si beau...
Je manque de m'éclater contre un arbre qui se trouve sur mon chemin et je laisse tomber le chiffon. Pas facile d'astiquer en marchant. Je me baisse afin de le ramasser, tout en jetant un regard noir à l'arbre. En me relevant, j'avise un banc, fort bien placé. Parfait, je vais pouvoir me poser et continuer mon nettoyage en toute tranquillité.

Alors que je m'approche du banc, je distingue une frêle silhouette prise de soubresauts assise dessus. Je m'approche discrètement et m'aperçois que c'est une jeune fille, qui doit avoir entre 20 et 25 ans, qui est en train de pleurer toutes les larmes de son corps.

Son désespoir me touche. Profondément. Elle me rappelle comment j'étais quand Ced est mort. Oui, c'est pareil. Sauf que je devais être plus désespérée encore. Et que j'avais quand même une dizaine d'années de moins qu'elle. Maudite mémoire. C'est une des seules choses dont je me souviens de ma vie.
Prise d'une soudaine compassion, je décide d'aller voir si je peux faire quelque chose pour elle.

Je m'approche encore un peu, et je me place derrière elle. J'ai toujours mon chiffon et Haruko dans les mains, mais je ne les range pas, de peur d'alerter la fille. Puis, d'une voix douce, je lui demande :

- Hey... Qu'est-ce que t'as ?
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Emy Rualle


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MessageSujet: Re: Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE]   Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE] Icon_minitimeSam 5 Nov 2011 - 12:52

Les gens aiment aider les gens. C’est naturel. Pas pour tous, mais la plupart aide, juste pour aider. Pas tous. Mais la plupart.
Ils aident pour se rendre utile, pour avoir l’impression d’être important. Ils n’attendent pas forcément quelques chose en retour, ils aident, c’est tout. Ils aident par plaisir, par envie, par devoir, par obligation, parce qu’ils aiment aider, parce qu’ils veulent aider, parce qu’ils sont heureux d’aider et de vivre. Les gens peuvent aider parce qu’ils veulent quelque chose en retour aussi. De l’argent, ou de l’aide à leur tour. Ou tout simplement parce que ils sont aimable, gentils, affectueux et qu’ils croient que aider fera plaisir aux autres. Mais les autres n’ont pas besoins d’aide. Ils se foutent complètement de cette main tendue vers eu, qi ne demande qu’à être saisit. Ils s’en foutent et veulent juste rester seul, face à face avec leur destin maudit. Mais hélas les autres sont poussés par leur envie de rendre service et d’aider leur semblable. Cette envie de se rendre important, de se sentir utile de se monde hostile. Cet envie de montrer que nous, on n’a réussi dans la vie et que malgré cela, on reste humain et qu’on aide les autres. C’est une envie comme une autre, mais aussi très énervante pour celui qui ne veux pas de cette aide destructrice, ravageuse, trop gentille pour avoir un bon fond, finalement. Aimer et être aimé à son tour. Foutaise, baliverne. C’est vraiment n’importe quoi. Personne ne rêve d’être aimé ni d’aimer quelqu’un à la folie. Non. Tout le monde rêve d’être riche, connu, célèbre, de réussir dans la vie. Oui. Tout le monde veut réussir dans la vie. Pas forcément réussir SA vie, non simplement réussir dans la vie leur suffit. Mais pourtant, l’inverse est bien plus agréable. Triste chose non ? Emy elle n’a réussi dans aucune des deux et ne réussira certainement jamais. Elle n’ jamais eut envie d’aider quelqu’un d’autre non plus et déteste encore plus que quelqu’un lui vienne en aide. Déjà parce qu’après elle se sent nulle, ensuite parce qu’elle déteste les autres, leur manies, et leurs mains tendue vers elle, prêtent à la secourir. Elle les hait plus que tous. Elle les repousse mais y’en un qui s’accroche jusqu’à gagner. Emy se protège, s’enferme, mais toujours quelqu’un vient percer, s’infiltre et gagne.
- Hey... Qu'est-ce que t'as ?
Emy ouvrit les yeux. Elle était allongée sur un banc, à Travia, une ville magique d’Autre-Monde, planète maudite pour elle, où ses parents se trouvent sûrement. Parfais, rien à signaler, Emy renferma les yeux et les larmes recoulèrent le longs de ses joues. Mince, c’est vrai. Quelqu’un venait de lui parler. Quelqu’un qui voulait rentrer en contact avec Emy. Le cœur de la jeune terrienne se mit à battre plus fort. Elle se redressa vivement sur son banc et resta droite, stoïque, sans même vouloir regarder qui pouvait être derrière elle. Certainement une fille, vu la voix. Emy essuya précipitamment ses larmes de ses joues et renifla un grand coup. Rester indifférente, faire celle qui n’a rien entendue, rester soi-même, ignoré, fermer les yeux, oubliés. Voilà la mission, le mot d’ordre, le défi.
Et puis zut, comment repoussé l’intruse – ou l’intrus, c’est ton jamais – si on ne s’est pas à qui nous avons affaire ? La curiosité emporta donc Emy, qui tourna au ralenti sa tête vers l’inconnu situé derrière elle, derrière le banc. Elle se retrouva nez à nez avec une jeune fille d’une quinzaine d’année, pas très vielle en somme. On devient enquiquineur de plus en plus jeune, on n’y peut rien, la vie n’est plus ce qu’elle était. La jeune fille était petite et très maigre. Elle devait avoir de l’entrainement. Genre Voleuse Patentée ou un truc inintéressant dans le genre. Des cheveux noirs comme une nuit sans lune, attaché en une queue de cheval banal. Les yeux de l’intruse sont noirs et vous fixent étrangement. Peut-être à cause de ces yeux en amande, d’origine chinoise ou japonaise. Emy n’avait jamais vue de personne d’origine asiatique et sourit à l’idée de voir cette personne sur Autre-Monde. Après tout, ça aurait été plus logique de la voir sur Terre ! Mais ici, y’a de tout, et surtout du n’importe quoi. Beaucoup de n’importe quoi. Elle porte u couteau, ou un sabre. En fait, Emy ne sait pas ce que sais, à part que c’est une arme. Beurk, la guerre, la bataille, les armes, c’est nul, ça craint. Emy détestait cette fille sans même la connaître. En même temps, la jeune femme déteste tout le monde depuis fort longtemps.

Emy ne s’avait comment réagir face à la jeune demoiselle. Lui répondre ? L’ignorer ? S’enfuir ? La faire partir ? Emy choisit de ne pas lui répondre et de l’ignorer mauvaisement. Snob on appelle ça sur Terre. Et bien Emy serait snob avec cette demoiselle qui venait la déranger en pleine crise de larme. Au moins, elle avait un peu oublié son chagrin.
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Saeko Minh'ty


Saeko Minh'ty

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Dans le sac : Une barette noire, quelques élastiques noirs aussi, une carte d'AutreMonde et du matériel pour astiquer Haruko, le katana sur mon dos.

Affinités : Une rencontre est le commencement d'une séparation.

MessageSujet: Re: Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE]   Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE] Icon_minitimeSam 5 Nov 2011 - 18:51

Elle se redresse un peu, l'air de m'avoir entendue, puis se rallonge. Elle a du croire à une illusion
Puis, elle finit quand même se rendre compte qu'elle n'entend pas des voix, mais qu'il y a vraiment quelqu'un qui lui parle. Elle s'asseille vivement et a l'air de se demander quelque chose.
Hmm. Un débat intérieur semble se produire à l'intérieur de la jeune fille. Je crois qu'elle se demande si je mérite qu'elle m'adresse la parole, ou même qu'elle ne me jette ne serait-ce qu'un regard.
Des gens comme ça, j'en ai... euh... je ne sais plus si j'en ai rencontrés. Fichue mémoire.
Elle finit par se retourner leeeentemeeeent, et me toise... avec supériorité. Elle me "snobe", je crois que ça se dit comme ça.
Je ne peux empêcher un petit sourire en coin, railleur, de se former sur mes lèvres.
Je l'ai cernée.
C'est une de ces personnes qui pensent n'avoir pas besoin de l'aide des autres, que de toute façon, leur vie est irrécupérable. Qu'ils l'ont misérablement ratée. Je le sais, que ces personnes pensent ainsi, parce que je le pensais aussi à un moment donné. Que je ne pourrais plus rien faire de mon existence, puisque la seule personne que j'aimais est partie, et que je serai dorénavant livrée à moi-même.
Je me rend compte à présent combien cette attitude est ridicule. Si chaque être vivant pensait de cette manière, où en serions nous en ce moment ? Les gens ont besoin les uns des autres, que ce soit pour une chose banale ou un problème capital dans leur vie.
OK, il y a des gens qui profitent des autres pour se faire de l'argent sur leur dos, ou exiger quelque chose en retour. Mais pas tous. Beaucoup ont quand même un coeur généreux, et sont prêts à aider ceux dans le besoin.
Je sais qu'elle a besoin d'aide, ou du moins de soutien, et donc je ne vais pas abandonner.
Mon petit sourire railleur ne m'a pas quitté. Elle a l'air de me détester, alors que je n'ai fait que lui proposer de se confier, de se soulager. Pathétique.

- Enchantée, moi, c'est Saeko. Tu sais, je me fous de l'argent. Je n'ai pas un coeur débordant de générosité mielleuse et étouffante. Je suis juste une banale fille qui passait par là et a en a vu une autre qui pleurait toutes les larmes de son corps. Sache que je ne t'abandonnerai pas sur ce banc moisi et que ta vie n'est pas ratée. Il te suffit juste de lever la tête et d'ouvrir les yeux, pour enfin voir pour de vrai ce qui t'entoure.

Je lui ai sorti tout ça d'une traite. Je ne sais pas comment elle va réagir face à ça, mais j'espère que ça va au moins la remuer un peu. Mais il n'y a pas qu'elle et ses petits soucis qui comptent.
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MessageSujet: Re: Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE]   Pleure, seule sur ton banc, pleure...[LIBRE] Icon_minitime

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