Histoire bizarre inventé par moi QuiMeRendraRichePlusTard
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Wanda
Age du personnage : Vingt-deux ans. Elle dit.
Familier : Bloups. Couleur de magie : Plouf. Niveau de magie :
Inexistant
Niveau de combat :
Plutôt élevé
Métier : Conseillère technique en explosif et mécaniques, vendeuse d'arme avec permis. Résidence : Un appart avec son frangin. Dans le sac : De l'engrais chimique, du charbon et du souffre. Un sachet de sucre aussi.
Affinités : Ariel ! ♥ Arielarielarielarielariel. Ariel. ARIel. AriEL. aRiel. arIel. ariEl. arieL. Leirariel. Aririel, Aelri. Elari. Elria. A-ri-el. ARIEL. A-r-i-e-l. Ariiel ! Arieeeel ! -> Son frangin. C'est beau la famille. (surtout quand ça vire à l'obsession.)
Sujet: Histoire bizarre inventé par moi QuiMeRendraRichePlusTard Mer 17 Nov 2010 - 1:20
Bon, je sais que s'est bizarre (normal, c'est dans un autre monde) et que le début ressemble trop à Eragon, mais bon c'est un premier jet, alors j'suis bien contente d'avoir écrit plus de trois ligne. (Bon, c'est maintenant que je fais la traditionnelle demande de critique, histoire de pouvoir avancer un peu)
Spoiler:
La nuit était suffisamment orageuse pour que les vibrations ne puissent trahirent leurs présences. Tapis dans les buissons, il observait le trio en avant de lui. Son regard se tourna vers l’arrière où une dizaine d’hommes attendait son signal pour attaquer la petite troupe en avant d’eux. Puis il reporta son regard vers leur cible. La personne qui ouvrait la voix était un homme, ou plutôt un homme-loup. On le voyait à ses yeux qui étincelaient bien trop pour des yeux normaux. Il était assez petit pour un lycanthrope (1m 84), mais suffisamment musclé et armé pour être très dangereux. Ses cheveux blonds étaient attachés en queue de cheval et ses yeux étaient presque jaunes. Il avait un sabre dans le dos et un arc a l’épaule. Il était à pied, mais à ses coté un magnifique étalon marchait doucement. S’il donnait le signal au mauvais moment, il n’aurait qu’à enfourcher le cheval et la petite troupe disparaîtrait au loin.
La deuxième personne était à cheval. Il, ou plutôt elle, était très petite. Sa taille lui donnait 13 ans, mais elle en avait 16. C’était elle la cible. Les deux autres n’étaient là que pour la protéger. Ses cheveux couleur miel étaient très longs et ses yeux étaient d’un magnifique vert, très pâle. Du moins, c’était comme ça qu’elle était représentée sur les portraits royaux. Mais si tout se passait bien, il serait bientôt suffisamment prés d’elle pour le vérifier. Elle ne portait aucune arme sur elle, les deux autres devant la protéger coûte que coûte. Le troisième membre de la troupe n’était pas à cheval et aucune bête ne marchait à ses coté. C’était un jeune garçon, fin mais musclé, un arc à l’épaule et deux poignards à la ceinture. Et il était de loin le plus dangereux. Enfin, uniquement si les informations qu’ils avaient sur lui étaient exactes. Car il venait de Cosoma... Et qu’il maîtrisait parfaitement ses techniques de… de son. De maître du son. L’avantage avec les loups-garous, ces qu’il pouvait être vaincu à distance. Mais un maître du son… Comment tuer de loin quelqu'un qui pouvait rendre fou avec des vibrations ce qui l’attaquait? C’était à cause de lui qu’ils avaient du attendre une nuit d’orage pour attaquer, la seule nuit où les vibrations ambiantes pourrait cacher leur présence. Derrière lui, il sentait les soldats qui s’impatientaient. Ils avaient envie de se débarrasser de cette mission peut commune et de rentrer chez eux le plus tôt possible pour retrouver leur famille. Et le fait que se soit un magicien qui guident leurs pas au lieu de leur chef habituel les mettaient mal à l’aise. Le chef en question était assis à côté du magicien. Cheveux bruns, court, yeux bleus qui devenait lumineux en présence de ses enfants, mais sans pitié aux combats. Le fait que ce soit un jeune homme comme le petit magicien qui lui donnait des ordres était impressionnant. Comme si une souris donnait des ordres à une montagne. La souris en question ne ressemblait pas aux magicien conventionnel. On se figure souvent une image de petit magicien aux cheveux roux, aux taches de rousseur dans un manteau de magicien trop grand pour lui et qui bafouille ses sorts. Celui là, à défaut de bafouiller, de porter un manteau ou d’avoir des taches de rousseur avait les cheveux blonds avec des mèches rousses. Ses yeux violets mettaient mal à l’aise quiconque les croisait… Yeux qui, présentement, étaient en train d’observer les soldats entassés derrière lui. Ils s’arrêtèrent sur chaque soldat avant de retourner sur le trio. Ils étaient presque au bon endroit… Elric (le magicien) jubilait, car à six mètres de l’endroit où la troupe étaient présentement se trouvait une boue étrange qu’on appelait tevalia, en albyssien. Littéralement, ‘‘terre de course’’. Sa particularité était singulière. Traverser un terrain de terre de course en courant était sans danger, mais traverser le même terrain en marchant provoquait l’enfoncement de la personne qui marchait jusqu’à la taille. Trois personne normale mettais une heure à se sortir d’un tel piège. Eux mettraient une demi-heure. Mais une demi-heure c’était plus que suffisent pour les tuer et capturer. Ce fut quand le trio fut à quatre mètres de la terre de course que tout arriva. Tout commença avec un jeune soldat impatient qui joua avec la corde de son arc. Elric paniqua quand il vit le soldat et lui fit aussitôt signe d’arrêter. Trop tard. Le maître du son s’était figé. Bouche légèrement entrouverte, yeux fermé, il semblait écouter un son que personne ne pouvait entendre. C’était d’ailleurs malheureusement le cas. « Svenss », ou ‘’arrêter-vous’’ en albyssien, murmura-t-il. Le magicien serra les dents. Maintenant qu’ils étaient repérer, ils allaient devoir la jouer serré. Le maître du son murmura de nouveau quelque chose, mais d’incompréhensible pour le magicien et les soldats. Le lycanthrope enfourcha aussitôt son étalon et partit au galop. La cavalière qui le suivait donna le même ordre a son cheval qui s’élança à son tour. Quant au maître du son, il sauta sur le dos du cheval de la jeune femme. Le magicien ferma les yeux un instant et se concentra. Il envoya son esprit à l’extérieur de son corps et chercha de quoi interrompre la progression des cavaliers. Il trouva rapidement ce qu’il cherchait. Le lycanthrope arrêta brusquement son cheval : devant lui, cinq jeunes biches venaient de sortir des arbres. Leur comportement aurait put paraître normal si leurs yeux n’étaient pas révulsés et ne brillaient pas d’une étrange lueur mauve. La cavalière s’arrêta à son tour, terrorisé. Le maître du son sauta au sol se retourna brusquement et tendit son arc. Un soldat ordinaire n’aurait jamais pu atteindre son but dans une telle nuit tant le ciel était noir. D’où l’importance de se fier aux vibrations plutôt qu’aux yeux. Les soldats sous les ordres d’Elric s’élancèrent aussitôt pour rattraper la troupe. Les apercevant, le lycanthrope se débarrassa des biches et repartit au galop, la cavalière à sa suite, mais le maître du son resta dans la même position, attendant les soldats qui avaient eut le temps de se rapprocher suffisamment pour être dangereux. La première flèche partit et atteint son but. Le soldat qui avait était touché s’effondra sans un cri. La deuxième flèche partit, mais celle-là ne tua pas, elle blessa seulement un soldat à la jambe. Deux autres flèches partirent avant qu’un soldat ne se jette sur le jeune homme afin de l’empêcher de décrocher une cinquième flèche. Le jeune garçon poignarda habilement son adversaire avant de retourner à son arc. Mais les soldats s’étaient tous trop rapprochés pour que l’arme soit utile. Le garçon empoigna donc son poignard et se tourna vers ces adversaires. Elric, caché dans les branchages, ne put s’empêcher de sourire, pour deux raisons : le cran que démontrait le maître du son lui rappelait une personne qu’il avait bien connue et (deuxième raison) que les éclairs empêchait heureusement le garçon de faire appelle à ses capacités. Son sourire disparu quand il se rendit compte que le jeune homme avait déjà tué deux autres soldats. Elric ferma de nouveau les yeux en laissant flotter son esprit en dehors de son corps. Dès qu’il réussit à rassembler suffisamment d’énergie, il concentra toute sa puissance en une petite boule d’énergie qu’il lança à la tête du garçon. La boule était invisible pour tout le monde, sauf pour le magicien qui souri en la voyant heurter son adversaire, qui tomba au sol, sonné et sur le point de perdre conscience. Mais son regard croisa celui du magicien et ses yeux surprit Elric qui fit prit d’un terrible doute. Mais les yeux de l’autre se fermèrent avant que le doute ne soit résolu. Le lycanthrope, au loin, se retourna et aperçut son partenaire évanoui. Il aurait sans doute rebroussé chemin pour lui porter secours s’il n’avait pas eut pour mission de protéger la jeune fille à ses côtés. Le chef des soldats apparut soudainement au côté d’Elric et lui demanda : - Le maître du son, on le tue? - Non, grimaçât le magicien, on le garde. On lui mettra les chaînes prévues pour la princesse. « Avec un peu de chance, se dit le magicien, ils me pardonneront de ne pas avoir ramené la fille si je leurs apporte un nouveau sujet d’étude. » Mais il savait parfaitement que ce n’était pas la véritable raison de sa gentillesse.
Nami regarda autour d’elle avec joie. Rendu à une telle altitude, on voyait la mer au loin. Elle savait que si elle se tournait de l’autre coté, elle verrait Cosoma qui était l’un des seuls villages albyssien libre en territoire Nirmitien. En fait, il existait en tous deux villages albyssien libres en Nirmitie : Cosoma et Alberonne. Coté économique, Cosoma était de loin le plus riche, et atteignait presque le statut de ville. En fait, il l’aurait atteint s’il avait été situé en Albyssie ou en Aldonnie, mais il était hors de question pour les nirmitiens d’accepter qu’une ville albysienne soit situer sur leur territoire, déjà qu’il leur était difficile de supporter deux villages. Cosoma conservait donc son statut de village tout en étant parfaitement autonome et en hébergeant plus d’âme qu’environ sept villages nirmitien. La richesse du village/ville était dut à l’abondance des produits rares qui regorgeait dans le coin. Que se soit les œufs d’aigrelle, la céréale de valtia, le lait de bisalne, et tant d’autre chose encore, tous les produits rares paraissait s’être rassemblé dans ce village et ses environs. C’était d’ailleurs une de ses raretés qui amenait Nami dans les montagnes, plus précisément les aigrelles, ou plutôt leurs œufs, qui atteignait rarement la taille de ce des poules, mais à défaut d’être très grands, étaient extrêmement savoureux. Malheureusement pour les gourmets, il était très difficile de trouver le nid de ces oiseaux. Une fois qu’on avait trouvé une nichée, généralement proche du sommet d’une montagne, il fallait prendre les œufs. Cependant, les aigrelles étaient, dépendamment des avis, soit très intelligentes, soit très stupides, car elles préféraient pousser d’elles-mêmes les œufs de leurs nids plutôt que de permettre à un humain de s’en emparer. Les œufs, étant particulièrement fragiles et se brisaient aussitôt. Il était également impossible d’élever les aigrelles en captivité, car dès qu’elle se rendait compte qu’elles étaient encagées, elles se laissaient dépérir.
Le travail de Nami consistait donc à aller chercher les œufs, tâche quasiment impossible a accomplir par la totalité des habitants de Cosoma. Néanmoins, la jeune fille avait tellement l’habitude d’accomplir cette besogne (après tout, elle faisait ça depuis que s’est parents ne craignait plus qu’elle se casse le coup en escaladant une pente quasiment lisse, soit depuis… très longtemps), et les aigrelles avaient tant l’habitude de voir la jeune fille, que ni les oiseaux, ni Nami ne manifestaient la moindre peur ou crainte pour les œufs. Certaines des plus vieille aigrelles ( dans les montagnes inhabitées, elles avaient une espérance de vie de quarante-trois ans) se montrait légèrement méfiante à son égard, mais Atila, l’aînée des aigrelle, semblait l’avoir prise sous son aile. Elle glissa soudainement et maudit intérieurement à peu près chaque chose qui passait sous ses yeux. Pourquoi fallait-il que la montagne soit glissante! En même temps, elle devait bien être une des seules personnes sur cette planète à pouvoir se vanter de réussir à escalader une montagne les yeux fermés. Au sens littérale de l’expression. Ce n’était pas de la vantardise, elle savait parfaitement qu’elle en était capable. La preuve, elle l’avait déjà fait. Ce qui lui avait valut le titre de reine de la montagne. Ou de reine des oiseaux, du vent, et de pas mal d’autre chose encore. De la beauté, par exemple, aux yeux de certains garçons. C’est vrai qu’elle était bien mignonne, avec ses grands yeux bruns, sa longue tresse noire et sa peau bronzée. Certes, elle n’était pas la plus jolie, elle faisait un peu trop garçon manqué et n’avait pas les yeux aigue-marine de Salia, mais bon, puisqu’on ne peut pas tout avoir, elle était bien contente de ce qu’elle avait déjà.
Bon, no comment, j'ai plus rien à dire.
Pavlina Wood
Age du personnage : Nineteen
Résidence : Here.
Sujet: Re: Histoire bizarre inventé par moi QuiMeRendraRichePlusTard Sam 20 Nov 2010 - 13:21
L'histoire bizarre inventée par toi aura peut-être bien une chance de te rendre riche plus tard ! Comme tu dis, le début "ressemble trop à Eragon". Mais je pense que pour écrire n'importe quelle histoire/ nouvelle/ roman/ ou quoi que ce soit qui requiert de l'imagination, il faut bien puiser son inspiration quelque part ! Je crois bien que j'ai plus de critiques positives à te donner que de négatives ;P Car d'abord, pour moi, tu as un vocabulaire plutôt développé. Tu n'emploie pas du langage familier -ce qui aurait gâché ton histoire-, mais du "courant qui penche vers le soutenu"... et j'aime bien ! ♥ Ensuite, tu décris bien les personnages sans nous ennuyer avec des descriptions trop longues dès le début. Et surtout, les noms, que ce soit ceux des personnages/ villes & villages/ territoires/ produits rares/ animaux, sont bien trouvés... Surtout les aigrelles, ces petits génies fous qui font tomber leurs œufs et qui me plaisent déjà ! Bref, et pour les critiques négatives, c'est vraiment pour éviter que ton ego grandisse trop d'un coup ;P Il n'y a presque pas de fautes d'orthographes, j'ai juste remarqué quelques "t" où il ne fallait pas, et quelques fois tu fais un peu trop de répétitions lorsque tu parles du magicien (dans les traitements de textes il y a souvent des dictionnaires de synonymes que j'utilise très souvent , je ne sais pas si tu t'en sers ) mais sinon j'adore ! ♥ Bonne continuation ! (:
Wanda
Age du personnage : Vingt-deux ans. Elle dit.
Familier : Bloups. Couleur de magie : Plouf. Niveau de magie :
Inexistant
Niveau de combat :
Plutôt élevé
Métier : Conseillère technique en explosif et mécaniques, vendeuse d'arme avec permis. Résidence : Un appart avec son frangin. Dans le sac : De l'engrais chimique, du charbon et du souffre. Un sachet de sucre aussi.
Affinités : Ariel ! ♥ Arielarielarielarielariel. Ariel. ARIel. AriEL. aRiel. arIel. ariEl. arieL. Leirariel. Aririel, Aelri. Elari. Elria. A-ri-el. ARIEL. A-r-i-e-l. Ariiel ! Arieeeel ! -> Son frangin. C'est beau la famille. (surtout quand ça vire à l'obsession.)
Sujet: Re: Histoire bizarre inventé par moi QuiMeRendraRichePlusTard Mar 30 Nov 2010 - 22:56
Merci :) !!!
Rhààa, j'arrive jamais à repérer mes répétions! Mais je tacherais de les trouver!
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Sujet: Re: Histoire bizarre inventé par moi QuiMeRendraRichePlusTard
Histoire bizarre inventé par moi QuiMeRendraRichePlusTard