Äyko
Sujet: Mes premières [courtes voir très] nouvelles : Mer 17 Nov 2010 - 20:37 | |
| Bonjour, Alors voilà, mes deux premières nouvelles, elles sont courtes, nul, enfantines ... La première, je l'ai écrite quand j'avais 8 ans et l'autre vers mes 10 ans. Je ne compte pas trop y retoucher mais au moins je vous les montre : - Spoiler:
Page à page, quand on lit, on grandit. Chapitre 1 Bonjour je m’appelle Clémence je suis au C.E.2.Je vais à l’école. Driiiiiiiiiiiiiing Driiiiiiiiiiiiiing !!!!! C’est la sonnette de l’école. Nous rentrons dans notre classe avec notre maîtresse Melle.Londuboit. « Bonjour les enfants, dit-elle, aujourd’hui nous accueillons une nouvelle élève, Sylvie. Sylvie raconte-nous ta vie avant d’arriver ici.-B…bon…bon…jour…jour, dit-elle, je…je…m’a…pelle…Sy...lvie, je…je…vi…vais…en…A…fri…que…dans…un…vi…llage…qui…s’a…ppe..lait…Sorbu…rakan .-Merci Sylvie, dit la maîtresse, maintenant installe-toi à côté de Clémence. Clémence lève la main pour lui montrer où tu es.» Je lève donc la main, pour que Sylvie voit où je suis. Elle s’installe donc à côté de moi. Une heure passe, on entend Driiiiiiiiiiing Driiiiiiiiiiiiing.C’est la récréation. Chapitre 2 Dans la cour de récréation Sylvie est toute seule. Je lui propose de jouer au loup touche-touche. Elle accepte et me dit que quand elle était dans le village de Sorburakan c’était son jeu préféré. Avec Sylvie on devient super copines. En classe la maîtresse nous apprend que page à page, quand on lit on grandit. Le soir je demande à mon papa si nous pouvons inviter Sylvie demain soir pour jouer. Il accepte. Le lendemain quand je retourne à l’école j’ai hâte de voir Sylvie pour qu’elle me raconte encore sa vie au village de Sorburakan. La classe se passe super bien, on apprend à conjuguer au présent de l’indicatif au 1er et au 2ème groupe. C’est déjà le soir et Sylvie doit venir chez moi. Sur l’horloge il est 16h29 et 50 secondes!51……52……53……54……55……56……57……58……59……16h30 et 0 seconde……driiiiiiiiiiiiiiiiiing driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing !!!!! Avec Sylvie et mon papa on rentre à la maison. Avec Sylvie on écrit notre biographie à toutes les deux. On l’appelle: Page à page quand on lit on grandit. Chapitre 3 Le lendemain à l’école, Sylvie me donne une invitation pour son anniversaire. Elle me dit qu’il y aura aussi Alan, Zoé, Eric, Rose, Thomas, Yannick, Ursule, Ilona, Ophélie et Patrick. Plus tard à la récréation, j’apprends que Victor est amoureux de Sylvie, il me fait néanmoins promettre de ne pas lui dire et je promets de ne le dire à personne avant qu’on ait 19ans. C’était l’anniversaire de Sylvie elle eut 9ans. Je lui offris un livre qu’elle voulait tant –car comme moi elle était passionnée de lecture- le monde magique de Ladies Loue, elle était très heureuse. Après l’anniversaire de Sylvie, elle m’invita à dormir chez elle dans une semaine. Mon papa accepta. La semaine passa. J’allai dormir chez Sylvie.J’entendis le papa de Sylvie dire à sa maman : «Toumagaka, comment annoncer à Sylvie que nous déménageons l’année prochaine en Angleterre?-Chéri je ne sais pas.» J’étais triste de savoir que Sylvie devait partir mais bon, c’est la vie. Chapitre 4 Toute l’année scolaire se passa comme sur des roulettes, sauf le 20 janvier où Sylvie arriva en larmes à l’école. Je lui demandai: «Pourquoi tu pleurs?-Pa…rce…que…je…bouououh…snif…vais…snif…snif……dé…mé…na…ger…en…An…gle…terre…bouououououh» Driiiiiiiiiiiiiing Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing On devait rentrer en classe. Nous étions en rang. Notre maîtresse vit que Sylvie pleurait. Elle lui demanda pourquoi elle pleurait mais Sylvie ne voulait pas répondre alors je dit tout à la maîtresse. Chapitre 5 L’année se terminait aujourd’hui le 3 juillet 2008. J’étais triste de ne pas pouvoir voir Sylvie pendant 2 mois car elle partait dans son village d’Afrique. Elle me promit de m’envoyer un mail tous les jours. Pendant ce temps j’avais demandé à mon papa d’éditer notre livre car il était éditeur. Il accepta. Chapitre 6 Dix ans sont passés et j’avais perdu le contact avec Sylvie. Vu de Sylvie : J’avais 19 ans et je me demandais ce que devenait Clémence ma meilleure amie de toujours. J’allai à la bibliothèque de Parkiston, lire un livre que mes amis anglais me recommandaient. Je demanda à la bibliothécaire si la bibliothèque possédait le livre : Page à page, quand on lit, on grandit. Heureusement que la bibliothèque venait de le recevoir, je mourais d’impatience de le lire. Dès la 1ère de couverture je savais que c’était le livre que j’avais écris avec Clémence. Je repris contact avec elle grâce à l’adresse écrite sur la 4ème de couverture. Sur M.S.N. vu de Clémence : J’avais donc repris contact avec Sylvie. Je me connecta sur M.S.N. et je vis que Sylvie était en ligne j’engagea donc une conversation : « Sylvie tu es là ?-OUI !!-Le livre t’a plus ?-Oui, il est génial !!-Tu t’amuses bien en Angleterre ?-Oui !!!-Salut il faut que je te laisse j’ai du travail.-O.K. !!-Salut » Je décidai après mon travail qu’il fallait que j’aille en Angleterre. J’y étais c’était génial. Je laissai un S.M.S. sur le portable de Sylvie : Tu es où? La réponse arriva immédiatement. Derrière toi. Je me retournai et je vis Sylvie. Elle avait changé depuis le C.E.2. Le bonheur, la joie, je touchais tout ça du bout des doigts. C’était génial de revoir Sylvie après tant d’années passées. Sylvie me raconta sa vie depuis le 3 juillet 2008 et moi aussi. Je lui dit aussi qu’il y à 10ans Victor était amoureux d’elle et elle me dit que son amoureux était le cousin de Victor. Fin ET mon ami : Chapitre 1 : Le 24 juillet, un jour ensoleillé que Harold Krunt n’oubliera jamais.Il se leva de son lit miteux comme à son habitude, se prépara et alla aux champs couper le blé.Harold Krunt était un agriculteur fort sympathique qui faisait tout pour améliorer sa vie car, de nos jours, être agriculteur n’est pas un métier facile.Son mobilier, de mauvaise qualité, était constamment rongé par les mites de la campagne de Springfield, une ville américaine parmi tant d’autres.Il alla donc faucher son blé pour obtenir une poignée de dollars de quelques rares acheteurs.Au petit matin, le sentier qui donnait sur les champs était quasiment désert.En marchant, il pensait... Il pensait à la vie, la vraie.Enfin il arriva sur son champ, le plus petit champ de tout Springfield.Il contempla son blé doré et regarda le vent agiter les épis.Et c’est ainsi qu’il vit des épis fauchés mais avec tant de précision que l’on voyait maintenant des cercles qui ressemblaient étrangement à ceux qu’on voyait à la télévision et qui semblait-il, auraient été tracés par les extraterrestres.Harold Krunt s’avança dans son champ et regarda attentivement le cercle du milieu et subitement, il perdit connaissance.En ce même moment, Eather Brown était jetée dans une cellule de l’ovni 7 892 310. Chapitre 2 : Ce fut une fois dans la salle d’expérience de la soucoupe volante où il était détenu que Harold Krunt ce réveilla.Devant lui se tenait le Docteur ETE, le docteur des extraterrestres.Harold Krunt trouvait que celui-ci n’inspirait point grande sympathie.Ces extraterrestres l’emmenèrent dans la cellule où se trouvaient Georges et Eather.Harold Krunt eu peur de Georges, Eather le rassura :« Ne vous inquiétez pas, il est sympa, il s’appelle Georges et moi c’est Eather.Harold Krunt se mordit la langue, si elle savait- Enchanté, dit-il à Georges et Eather. » Il faisait déjà nuit et ils décidèrent de se coucher.Harold se réveilla sans s’être rendu compte qu’il s’était endormi tellement la nuit avait était difficile pour lui.« Krunt, Krunt… Monsieur Krunt ? Eather était perturbée, il y avait un mélange de joie et de crainte dans sa voix.Harold se réveilla et dit :- Oui, oui Eather. Qui a-t-il ?Elle indiquait la porte de la cellule avec son doigt.- La… La porte ! Cria Harold.- Chut, lui fit-elle, en tout cas, Georges a disparu.Il regarda tout autour de lui.- Partons ! » Dit-il. Chapitre 3 : Ils déboulèrent dans un long couloir avec plein de portes.Eather dit :« Prenons celle-la !- D’accord. »Ils entrèrent dans une vaste pièce où se trouvait juste un mouchoir qu’Eather prit dans ses mains.« C’est le mouchoir que j’ai offert à Georges.- Regarde !Sur le mouchoir il y avait écrit : 10 5 19 21 9 19 1 21 24 3 15 13 13 1 14 4 5 19 4 21 22 1 9 19 19 5 1 21 24- C’est un code ! S’exclama Eather.- Ce serait beaucoup plus simple si on avait un papier et un crayon. Il dit cela sur un ton des plus vexants.- J’en ai ! » Eather sortit de sa poche un carnet et un stylo.Elle réfléchit puis nota :a=1 ; b=2 ; c=3 ; d=4 et vous connaissez la suite. Elle écrit ensuite le code de Georges et commença à le résoudre d’après sa technique.Le sol trembla. Harold la rassura :« Ce n’est pas grave continue. »Sur son carnet il y avait noté : je suis aux comm.Elle continua.Elle en était au 19 19 quand le sol trembla une nouvelle fois. Deux extraterrestres arrivèrent par la porte, ils tenaient fermement Georges.Ils les emmenèrent aussi. Eather et Harold essayait de se débattre de toute leur force en vain. Georges quant à lui était inconscient. Chapitre 4 : Ils étaient de nouveau dans leur cellule.Eather demanda :« Georges où étais-tu donc ?Pas de réponse.Harold s’approcha de Georges et lui dit :- Georges, peux-tu répondre à Eather ?- J’étais aux commandes du vaisseau.- Eather je voulais te dire, commença Harold…- Monsieur ?- Je suis ton… ton… père…Elle se figea sur place.- Monsieur Krunt, vous êtes…mon…père ?- Oui Eather. Cette révélation mit fin à leur dialogue.Une heure plus tard il fit nuit. Ils s’endormirent. Chapitre 5 : Le lendemain Eather, Georges et Harold cherchèrent une solution pour s’en sortir.« J’ai une épingle à cheveux, un carnet, un stylo et mes clés. Dit Eather.- Moi j’ai ma faux, des graines et de l’eau. Ajouta Harold.- Moi je n’ai rien. Dit Georges.Les idées ne venaient pas.- Je sais ! S’exclama soudainement Georges. Eather tu as bien un porte clé en forme de diamant et vous monsieur Krunt vous avez de l’eau ! - Oui Georges ?! Eather et Harold avaient parlé en même temps. - Les extraterrestres fondent sous l’eau et ils adorent les diamants. Donc Eather tu vas détacher ton porte clé, tu vas le lancer. Le garde va courir l’attraper et vous- il désigna Harold- avec votre faux, vous allez attraper les clés de la cellule. - D’accord. Dit Harold. - OK ! » S’exclama Eather. Eather détacha le petit diamant en porte clé, pendant ce temps Harold prépara sa faux, elle le lança. Le gardien se rua dessus, pendant ce temps Harold attrapa les clés à la l’aide de sa faux. Georges les pris et ouvrit la cellule, encore pendant ce temps Harold préparait l’eau, ils sortirent et tout à coup le gardien sorti son pistolet à rayon X, trop tard, Harold lui balança de l’eau. Le gardien cloué sur place se décomposait petit à petit. Ils couraient à en perdre haleine. Devant les portes Georges les mena à celle qui était sur le chemin des commandes. Un garde sorti son pistolet, splatch, de l’eau. Il fit aussi cloué sur place comme son condisciple. Georges les mena à une autre porte, encore une, puis une autre et enfin ils arrivèrent aux commandes du vaisseau. Harold jeta de l’eau sur les trois pilotes ; de l’eau alla sur le tableau de bord. Il y eut une réaction électrique, Eather fut touchée par un de ces rayons, et fut paralysée au sol. Georges alla aux commandes, prit une profonde inspiration et se mit à conduire, pendant ce temps Harold chercha de quoi soigner Eather. Il trouva une espèce de potion magique. Sur le flacon il y avait écrit : Citre los corats électrades socirtibles do nuiro à humas ey autra créotares d’olovege. « Qu’est-ce que ça veut dire Citre los corats électrades socirtibles do nuiro à humas ey autra créotares d’olovege ? Demanda t’il à Georges. - Contre les courants électriques susceptibles de nuire à humain et autres créatures d’élevage. - Merci. » Il en donna une goutte à Eather. Elle se leva. Ils entendirent alors un bruit bizarre puis un autre, dix extraterrestres débarquèrent de la porte centrale. Harold prit l’eau qu’il avait et la balança sur ces mercenaires. Il avait réussi. Chapitre 6 : Deux heures plus tard, plein d’extraterrestres vaincus et des cernes de deux centimètres. « On est à Springfield ! Annonça Georges. - Youpi ! Crièrent Harold et Eather. - Attention on atterrit ! Georges les avait prévenu trop tard. Nous fîmes secoués dans tous les sens. - Vous pouvez sortir. Annonça t’il. Ils avaient atterri dans le champ de Harold. « Que faîtes-vous sur mon champ ? - C’est MON champ ! - Non plus maintenant. C’était le shérif. - Comment ça « non plus maintenant »? - Comme vous vous êtes absenté pendant deux jours sans prévenir personne, nous avons vendu votre propriété. Tenez, l’argent vous revient - il tendit une petite cinquantaine de dollars- mais faîtes donc évacuer ce véhicule… Aaaahhhh des extraterrestres ! Le shérif s’enfuit en courant quand il vit Georges sortir de la soucoupe. - Viens avec moi, papa. C’était la première fois qu’Eather l’appelait papa. Le cœur de Harold fit un bond dans sa poitrine. » Elle les emmena chez elle. Georges était avec eux. Elle sonna à la porte. Sa mère ouvrit, du temps où Harold la côtoyait jusqu’à maintenant elle n’avait pas changé : ses long cheveux brun bouclés tombaient sur ses épaules, son regard vert et malicieux les balayait, elle regarda Eather, puis Harold et enfin Georges et elle demanda : « D’où viennent-ils ? » C’était toujours la même voix, douce et charmeuse. - Maman tu connais papa, que voici et lui c’est Georges. Elle lui expliqua ensuite leur aventure. - Je vois. Qu’ils entrent. » Ils entrèrent dans le salon : peinture blanc cassé, rideau rose bonbon, tapis blanc vanille, canapé blanc crème et petite table en bois d’ébène. Jessica Brown se tenait devant Harold en chair et en os. Elle portait la même robe que le jour de leur rencontre : vert-pomme avec des pompons blancs. Elle lui adressa la parole :« Je sais que ta propriété a été vendue, si tu veux tu peux habiter avec nous. - Oui, volontiers. Elle désigna Georges. - Lui aussi il peut. - Maman tu es fantastique ! » Eather se jeta au cou de sa mère. Fin C'est vraiment à améliorer ><" |
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Aline Shannon
Sujet: Re: Mes premières [courtes voir très] nouvelles : Jeu 2 Déc 2010 - 20:01 | |
| - Äyko a écrit:
C'est vraiment à améliorer ><" Oui mais si tu l'a fait à huit et dix ans, c'est bien, quand même. ;) |
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Äyko
Sujet: Re: Mes premières [courtes voir très] nouvelles : Ven 3 Déc 2010 - 15:10 | |
| Merci (: (: (: Enfin je préfère quand même ce que je fais maintenant (: (: (: ^_^ |
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