Tu me casses les crocs! (avec Janny,Lou,Erika et T'avila!)

Je déteste ce pays. Sérieusement. Enfin, je déteste les gens qui habitent. C'est pas pareil.
Ce pays me rappelle trop de mauvais souvenirs. Mais je n'ai pas le choix. Cruel choix du destin. Je dois interviewer le président des vampyrs. Celui-là même qui lance la Brigade Noire à mes trousses. Je vais devoir l'amadouer. Et je sais parfaitement comment faire.
Je franchis la porte de transfert et entre dans Urla. Pas question de m'atterrer ici plus longtemps. Je vais au palais, j'assomme deux trois gardes, et je rentrer voir le président. Mon plan est tout tracé. Rien ne me troublera ou dérangera mes plans.
Je courus du plus vite que je pus, et j'arrivais au palais. Je vis un garde qui tenta de m'arrêter, me reconnaissant sous ma capuche. Pas de chance pour lui, c'était un pauvre humain sans défense. Je pourrais en faire une seule bouchée. Je me contente de lui balancer un coup de pied dans les côtes, de lui planter une flèche dans la gorge et de planter un couteau entre ses deux yeux. Je passe ensuite en lui marchant dessus.
Au loin, je vis un autre garde affolé qui regardait la scène. Je m'approchais vers lui. Je lui dis:

_Même si tu es un vampyr, je te réserve le même sort. Janny Edelweiss, tu connais? Ce que je t'infligerai prouvera que je suis passée par là. Alors laisse-moi passer.


Ce garde là devait tenir à la vie, car il me laissa passer sans protester. Je continuais à avancer dans le palais et les somptueux couloirs, lorsque je m'arrêtai. Devant moi, la porte d'une salle était entrouverte. je crus discerner par l'entrebâillement l'Impératrice elle même, entourée de spatchounes! Je retins un furieux rire. La légendaire colère de Lisbeth m'apparaissait, et je ne doute pas que ces fichus vampyrs l'aient énervée! En tout cas, bien que ce soit la première fois que je la rencontre, elle me plaisait bien. Je voulus entrer par curiosité afin de savoir la raison de la transformation en spatchounes de ces stupides vampyrs. Puis je me rappelais que rien ne dérangerait mes plans.
Mais la curiosité l'emporta, et je me dis que ce n'était pas ça qui chamboulerai mes plans. Alors j'ouvris la porte et entra, à la stupéfaction de Lisbeth. Réprimant un furieux rire, je m'inclinais et lui dit:

_Chère Impératrice, c'est un honneur pour moi de vous rencontrer. je ne sais ce que ces stupides vampyrs vous ont infligé, mais je reconnais que ce sont des tâches. Vous avez parfaitement eu raisons de les transformer en spatchounes.

Des piaillements indignés provinrent des vampyrs spatchounes vexés, et je ne pus m'empêcher de laisser échapper un pouffement, tout comme l'Impératrice elle-même. Alors, souriante, je me présentais:

_Janny Edelweiss, demi-naine demi-vampyr, tueuse implacable pour mon propre compte, je suis BSH extrêmement modérée qui en bois que le sang de ses ennemis. Implacable et sadique, à votre service.

J'entendais des bruits bizarres.. Qui ose me derenger pendant qu'on joue du piano pour moi ...
J'étais furieuse,je sortis de ma salle violement que je vis des gardes morts gisant sur le sol. ....
Les choses prenaient une drôle de tournure...
Je vis cette fois un pauvre humain au sol abattu comme un chien...
Je fronça les sourcils quand je vis une porte plus ou moins entre ouverte, je rentra et vis une brunette à la tête bizarre et à côté,une bannale sorceliere blonde..
Voilà des gens ne connaissait pas et qui en plus avait pénétrer mon palais.
Je pris le temps de regarder la scène,je vis une grosse bande spatchounes étendues sur le sol..
-Mais qu'est-ce qui se passe ici;?
Je lança quleques anulus sur les soldats puis je me rappella que ces soldats étaient des BSH, Mes BSH.. je leur ordonnerent de se lever et me mis à dévisager ces deux femmes ...
-Vous,je suis certaines que c'est vous qui avez transformer mes gardes en spatchoune.... et toi là c'est toi qui à tué mes gardes.... Je ne sais pas qui vous êtes mais vous n'avez aucun droits sur eux alors maintenant disparaissez avant que je ne m'énerve!
J'eu l'impression qu'on voulait me tuer,surtout elle avec son arc..

Sa majesté venait d'arriver à Urla. Apparement, l'imperatrice d'Omois était déjà là. Vu comme les gardes étaient terrorisé, c'était fort possible. À moins qu'ils aient la trouille devant la Reine des elfes et ses conseillères. Sans escorte. Le président des vampyrs n'avait pas voulu que des machines de guerres entrent chez lui, même s'il était en position de force. Mais T'avila avait quand même envoyé un ou deux espions, ce que Drakul savait pertinement. Il avait été d'accord pour un seul. Sa majesté avait alors envoyé son élément le plus fiable, Lou M'enil. Ainsi que deux ou trois autres, au cas où. T'avila avait absolument faire suivre Lisbeth, car elle supsonnait un complot des sangraves.

Mais pour le moment, sa Majesté attendait que le président arrive dans la salle de transfert, car les gardez l'empêchaient d'avancer. Même s'il savaient que lorsqu'elle le voudrait, elle les pulvériserais pour partir. Pour le moment, elle patientait, en compagnie d'é'rée, toujours de mauvaise humeur, et V'iladra, calme et posée. Un messager arriva et annonça au trio elfique que le président était momentanent retenu. Sa majesté leva le dpigt. Tous se figèrent de peur, sauf les deux elfes. Et ils eurent bien raison. Pour montrer son mécontentement, la Reine fit exploser la porte. Proprement, sans fumée ni gravats. On ne fait pas poireauté la Reine des Elfes, non mais!

Sa majesté et ses conseillères s'engagerent dans le couloir, et aucuns des gardes n'esseyerent de les retenirs. Ils etaient bien trop préocupés à lutter contre l'évanouissement. Un rire se fit entendre, suivit de plusieures voix. La Reine alla donc vers la source du bruit et entra dans la pièce. Où se trouvaient un BSH en colère, une sang-mêlée et Lisbeth hilare. Une dirigente sur deux de trouvé. T'avila sentait aussi son espionne dans la pièce. Parfait. Puis elle remarqua la présence des spatchounes. Elle arqua un sourcil.

- Je vous salue Majesté Impériale. Ainsi que mesdames ici présentes. Comment se fait-il que nous soyons en compagnie.. de ces volatiles?

J'étais en train de rigoler sans interruption quand la porte menant à la place ou je me trouvais ainsi que des centaines de spatchounes...euuuh..vampyrs.Celle qui avait ouvert la porte assez bruyamment était une jolie brune aux yeux bleus,un arc derrière son dos,l'amazone parfaite.Je me demandais qui elle était quand celle-ci me parla:

_Chère Impératrice, c'est un honneur pour moi de vous rencontrer. je ne sais ce que ces stupides vampyrs vous ont infligé, mais je reconnais que ce sont des tâches. Vous avez parfaitement eu raisons de les transformer en spatchounes.

Ah!Enfin une personne qui me comprenait!Elle commençait à bien me plaire,cette amazone...Un piaillement indigné se fit alors entendre des spatchounes.La jeune fille ne pût laisser echapper un pouffement,moi,essayant de me retenir,craquait deux secondes plus tard.Soudain,avec un sourire elle se présenta enfin:

_Janny Edelweiss, demi-naine demi-vampyr, tueuse implacable pour mon propre compte, je suis BSH extrêmement modérée qui en bois que le sang de ses ennemis. Implacable et sadique, à votre service.

Une tueuse?On ne s'en doutait absolument pas.....Son arc contenait des flèches encore ensanglantés mais c'était sur que c'était impossible à déduire..Je frissonnais malgrès moi quand elle précisa qu'elle était BSH devant certains vampyrs susceptibles de l'arrêter.Et bien,on ne pouvait pas mettre en doute le cran de Janny.

-Merci d'être aussi polie avec moi,chère Janny.Je suis certaine qu'un jour vos services pourront m'être utiles.Les traitres ne finissent pas impunis

Il y eut un gros silence dans la salle.Le refletement de la peur,sans aucun doute.Ce silence inquiétant fût brisé par une jeune vampyr assez énervée:

-Mais qu'est-ce qui se passe ici;?

Elle se tourna ensuite vers Janny et moi avant de lacher méchamment sa réplique:

-Vous,je suis certaines que c'est vous qui avez transformer mes gardes en spatchoune.... et toi là c'est toi qui à tué mes gardes.... Je ne sais pas qui vous êtes mais vous n'avez aucun droits sur eux alors maintenant disparaissez avant que je ne m'énerve!

J'allais répondre vertement à cette vampyr qui se croyait la Reine D'Autremonde quand ma chère rivale,la grande Reine des elfes,T'avila fit son entrée.Je m'occuperais de l'insolente plus tard,pour l'instant c'était elle le plus important.T'avila s'avança vers moi et me salua:

- Je vous salue Majesté Impériale. Ainsi que mesdames ici présentes. Comment se fait-il que nous soyons en compagnie.. de ces volatiles?

-Ceci est la cause de l'insolence de ces volatiles.Ils se sont moqués de moi,ils en ont payés le prix...Puis-je par ailleurs savoir la raison de votre présence en Krasalvie?

L'Impératrice me répondit par un gentil compliment.

-Merci d'être aussi polie avec moi,chère Janny.Je suis certaine qu'un jour vos services pourront m'être utiles.Les traitres ne finissent pas impunis


Il y eut soudain un gros silence dans la salle. Personne ne savait que dire. Et je savais qu'il était mal avisé de prendre la parole sans y être autorisé en présence de l'Impératrice.
Une jeune vampyr-et zut, encore un!- déboula sans prévenir dans la salle, et lança à la cantonade, ébahie par le spectacle quiz e déroulait sous ses yeux (je reconnais qu'il y avait de quoi):

-Mais qu'est-ce qui se passe ici?

Elle nous regarda, passa son regard de l'une à l'autre. Je déteste ceci. D'habitude, c'est moi qui ait cette tactique. La présence de Lisbeth à mes côtés m'empêchait tout projet de placer ma lame sanglante sous son cou de vampyr. Puis elle conclut:

-Vous,je suis certaines que c'est vous qui avez transformer mes gardes en spatchoune.... et toi là c'est toi qui à tué mes gardes.... Je ne sais pas qui vous êtes mais vous n'avez aucun droits sur eux alors maintenant disparaissez avant que je ne m'énerve!

Mais pour qui se prenait cette insolente? Je suis tout aussi chez moi qu'elle! Heureusement qu'elle ne m'a pas reconnue. Je m'occuperais d'elle plus tard. Je vis bien que Lisbeth ravalait elle aussi ses paroles. Moi c'était mes flèches, mes couteaux et mon épée que je ravalais. Je compris trop tard ce qui l'en empêchait. T'avila, la reine des elfes, faisait son entrée. Celle-ci s'avança vers l'Impératrice:

- Je vous salue Majesté Impériale. Ainsi que mesdames ici présentes. Comment se fait-il que nous soyons en compagnie.. de ces volatiles?

Je m'inclinais, par respect. Cette femme n'avait rien contre moi, pas comme ces stupides vampyrs et ces nains. Comme pour Lisbeth, je n'ai rien contre elles, elles méritent mon respect. Je me doutais que T'avila poserait cette fameuse question.
Lisbeth lui répondit, sans se préoccuper des convenances:

-Ceci est la cause de l'insolence de ces volatiles.Ils se sont moqués de moi,ils en ont payés le prix...Puis-je par ailleurs savoir la raison de votre présence en Krasalvie?

Oui, ce serait intéressant. Et par ailleurs, ce serait aussi très agréable de m'expliquer qui est la personne invisible dans cette pièce, et pourquoi elle se trouve là. Ainsi que les raisons de son invisibilité bien sûr.
Je sais, rien n'échappe à l'odorat d'un vampyr. Encore moins BSH. Encore moins moi. Depuis que T'avila était entrée, je pressentais une odeur d'elfe. Cette personne devait être son espionne personnelle je suppose. Je n'ai donc pas à lui monter de l'irrespect. Seulement, afin de bien faire comprendre l'étendue de mon pouvoir, je m'avançais vers la place où l'odeur était la plus forte, et prononçait ces mots:

_Pardonnez mon interruption, mais, chère Reine des Elfes, si je puis me permettre, vous devriez conseiller à votre espionne personnelle d'apprendre à masquer son odeur. Les vampyrs la repèreraient immédiatement, non que j'en sois une d'ailleurs. Je me présente, Janny Edelweiss, demi-naine, demi-vampyr, impitoyable tueuse d'ennemis pour son propre compte, peut se révéler BSH en cas de nécessité. A votre service.

Et je m'inclinais de nouveau, à la surprise de tous les membres de cette salle, stupéfaits que je me présente ainsi avec tant de sang froid.
J'avais remarqué que l'insolente vampyr n'avait cessé de m'observer. Elle pourrait faire une bonne BSH. Peut-être lui enseignerais-je, à la condition qu'elle accepte ma moitié. Sinon, je me chargerais de la lui faire accepter. Après, pour les cours de BSHisme, ça dépendra seulement d'elle. Mais elle cache un véritable potentiel de tueuse inexploité. C'est si dommage qu'elle travaille pour le président de ces si stupides vampyrs....

[Déjà grillée par deux personnes xD vous êtes rapides. Je vais me remettre en question...]

-Je vous salue Majesté Impériale. Ainsi que mesdames ici présentes. Comment se fait-il que nous soyons en compagnie.. de ces volatiles?

Ma Reine venait de rentrer dans la pièce.
Dans une explosion.
Ce qui est tout à fait normal et d'usage courrant.
Je me doute qu'elle doit être énervée par son retard.
Et qui dit énervée dit explosion.
Logique.

-Ceci est la cause de l'insolence de ces volatiles, déclara L'Impératrice d'Omois. Ils se sont moqués de moi, ils en ont payés le prix...Puis-je par ailleurs savoir la raison de votre présence en Krasalvie?

- Pardonnez mon interruption, mais, chère Reine des Elfes, si je puis me permettre, vous devriez conseiller à votre espionne personnelle d'apprendre à masquer son odeur. Les vampyrs la repèreraient immédiatement, non que j'en sois une d'ailleurs. Je me présente, Janny Edelweiss, demi-naine, demi-vampyr, impitoyable tueuse d'ennemis pour son propre compte, peut se révéler BSH en cas de nécessité. A votre service.

...
Bon.
Au moins je n’aurais pas à user ma magie plus longtemps.
D’un claquement de doigt mon sort se dissipa.
Les poings sur les hanches, je réapparais.
Agacée.
Alors comme ça, on est une criminelle hein..

- Bien. Je ne m’attendais pas à ce qu’une tueuse se présente dans cette salle. Mais sachez qu’avant de donner des conseils à ma Reine, apprenez donc à savoir garder pour vous certaines choses... Comme vous vous en doutez, je suis la pour la protection de T’avila. En me dénonçant, vous fragilisez la protection de la Reine. Je vous laisse y réfléchir.

Je me tourne vers ma Reine.

- Bon, je vous laisse. Je vais faire un tour dans la propriété. Je vois que vous avez E’rée et V’iladra avec vous. Je n’ai pas à rester ici.

Avant de partir j’ajoutai dans un sourire en me retournant:

- Bien le bonjour, Impératrice d’Omois.

Je sortis de la salle en évitant d'écraser un spatchoune.
Il ne me restait plus qu’à surveiller les environs.
Au moins cette Janny ignorera une chose.
Et là, derrière mon masque, elle ne pourra jamais le savoir.
Personne d'ailleurs.
A part la Reine.
J'avais menti.
Seuls les Sangraves me préoccuppaient...

-Ceci est la cause de l'insolence de ces volatiles, déclara L'Impératrice d'Omois. Ils se sont moqués de moi, ils en ont payés le prix...Puis-je par ailleurs savoir la raison de votre présence en Krasalvie?

Sa majesté haussa son second sourcil. Lisbeth ne connaissait pas la raison de sa présence?

- Pardonnez mon interruption, mais, chère Reine des Elfes, si je puis me permettre, vous devriez conseiller à votre espionne personnelle d'apprendre à masquer son odeur. Les vampyrs la repèreraient immédiatement, non que j'en sois une d'ailleurs. Je me présente, Janny Edelweiss, demi-naine, demi-vampyr, impitoyable tueuse d'ennemis pour son propre compte, peut se révéler BSH en cas de nécessité. A votre service.

La jeune Janny s'inclina.Un mélange Vampyr/nain? Intéressant. Sa majesté fût agacée de voir son espione découverte, mais garda un visage de marbre. L'espionne Lou désactiva alors son camouflus et prit la parole.

- Bien. Je ne m’attendais pas à ce qu’une tueuse se présente dans cette salle. Mais sachez qu’avant de donner des conseils à ma Reine, apprenez donc à savoir garder pour vous certaines choses... Comme vous vous en doutez, je suis la pour la protection de T’avila. En me dénonçant, vous fragilisez la protection de la Reine. Je vous laisse y réfléchir.

Parfaitement intelligent ce qu'elle venait de dire. Mais parfaitement faux. La jeune elfe se tourna vers la Reine.

- Bon, je vous laisse. Je vais faire un tour dans la propriété. Je vois que vous avez E’rée et V’iladra avec vous. Je n’ai pas à rester ici. Bien le bonjour, Impératrice d’Omois.

Sa majesté regarda son espionne partir. Cette elfe ne vivait que pour une chose: se venger des sangraves. Et T'avila le savait très bien, c'est pour cela qu'elle était son meilleur élément. Un soldat elfe qui obeit aux ordres, c'est bien. Mais un soldat motivé par une haine féroce, c'est mieux. Sa majesté prit une inspiration, et répondis a tous:

- Merci damoiselle Edweliss, je m'en souviendrait le moment venu. Mais faites tout de même attention.

Sa majesté se tourna alors vers Lisbeth.

- Vôtre Majesté Impériale, je suis très étonnée que le président Drakul ne vous ai pas prévenue que notre accord politique, pour lequel vous êtes venues, ne sera pas seulement entre la krasalvie et Omois, mais également avec la participation de Selenda. D'ailleurs, un messager m'à appris qu'il était "retenu ailleurs"..

- Pardonnez mon interruption, mais, chère Reine des Elfes, si je puis me permettre, vous devriez conseiller à votre espionne personnelle d'apprendre à masquer son odeur. Les vampyrs la repèreraient immédiatement, non que j'en sois une d'ailleurs. Je me présente, Janny Edelweiss, demi-naine, demi-vampyr, impitoyable tueuse d'ennemis pour son propre compte, peut se révéler BSH en cas de nécessité. A votre service.

T'avila avait une espionne personnelle?C'était surement pour augmenter sa protection,même si,entre nous,je me demande bien qui serait assez suicidaire pour tenter de la tuer.Je pris en compte l'information que m'avez donné Janny et qui était,il faut l'avouer,très interessante...A l'avenirje saurais que s'il faillait que j'emmène une espionne,il faudrait masquer son odeur sous peine qu'elle finisse.....mal.Un claquement de doigt se fit entendre,me faisant sursauter.Une jeune elfe que je connaissais apparaissait à coté de Janny.Elle avait les poings sur les hanches,signe de son agacement.Quand mon cerveau retrouva le nom de celle-ci,je me mordais la lèvre.C'était Lou M'enil,cette petite insolente qui n'avait pas voulu se laisser impressionner.Honnêtement,s'il n'y avait pas eu T'avila,je crois qu'un malencontreux accident se serait produit...

- Bien. Je ne m’attendais pas à ce qu’une tueuse se présente dans cette salle. Mais sachez qu’avant de donner des conseils à ma Reine, apprenez donc à savoir garder pour vous certaines choses... Comme vous vous en doutez, je suis la pour la protection de T’avila. En me dénonçant, vous fragilisez la protection de la Reine. Je vous laisse y réfléchir.


Toujours aussi intelligente,la petite elfe.Cela m'enerve de le reconnaître mais on peut dire que T'avila a des espionnes...interessantes.L'espionne en question se tourna vers T'avila et ouvra sa bouche qui,tout à l'heure faisait la tête d'un smyley pas content.Bah quoi,j'ai le droit de bien aimer Internet,nan?


- Bon, je vous laisse. Je vais faire un tour dans la propriété. Je vois que vous avez E’rée et V’iladra avec vous. Je n’ai pas à rester ici.

Alors qu'elle allait partir ( à mon grand soulagement),celle-ci se tourna vers moi et,me dit,un sourire ironique aux lèvres:

- Bien le bonjour, Impératrice d’Omois.


Je grommelais un bonjour entre les dents comme réponse.Je detestais comment cette Lou me parlait!C'était comme si je n'étais rien à ces yeux qu'une vulgaire prétentieuse!Hmf.

- Merci damoiselle Edweliss, je m'en souviendrait le moment venu. Mais faites tout de même attention.

Ensuite,T'avila se tourna vers moi et me fit sa réponse:

- Vôtre Majesté Impériale, je suis très étonnée que le président Drakul ne vous ai pas prévenue que notre accord politique, pour lequel vous êtes venues, ne sera pas seulement entre la krasalvie et Omois, mais également avec la participation de Selenda. D'ailleurs, un messager m'à appris qu'il était "retenu ailleurs"..

QUOI?MAIS JE VEUX LUI EXPLIQUER MA MANIERE DE PENSER,MOI A CE GROS VAMPYR PRETENTIEUX!JE SUIS L'IMPERATRICE D'OMOIS ET JE NE VEUX PAS QU'ON SIGNE UN ACCORD SANS MOI,OK?

-Ecoutez....J'ai fait un déplacement qui m'a couté très cher pour voir ce cher Drakul alors vous allez me l'amener parce que sinon je pense que ça ira très mal....Il n'a pas quelqu'un qui pourrait le dépanner?

je réprimais un sourire moqueur à la mine vexée de l'espionne qui se révéla:

- Bien. Je ne m’attendais pas à ce qu’une tueuse se présente dans cette salle. Mais sachez qu’avant de donner des conseils à ma Reine, apprenez donc à savoir garder pour vous certaines choses... Comme vous vous en doutez, je suis la pour la protection de T’avila. En me dénonçant, vous fragilisez la protection de la Reine. Je vous laisse y réfléchir.

Mais c'est tout bien réfléchi! Je sais parfaitement quoi dire et quand. Ceci était volontaire. je voulais lui donner un simple conseil. Voilà comment on est remerciée.

- Bon, je vous laisse. Je vais faire un tour dans la propriété. Je vois que vous avez E’rée et V’iladra avec vous. Je n’ai pas à rester ici.

Hum, je ne crois pas trop au simple mot "faire un tour" Il manque je pense, "de reconnaissance3, n'est-ce pas? Mais, n'étant apparemment pas dans les bonnes grâces de cette femme, je devrais me taire. Je me mordis les lèvres.

Alors qu'elle allait partir, celle-ci, n'oubliant pas les convenances malgré son apparente colère, se tourna vers Lisbeth et la salua:

- Bien le bonjour, Impératrice d’Omois.

Son étrange sourire moqueur aux lèvres me fit penser qu'il y avait un problème entre l'Impératrice et elle.
L'Impératrice, comme pour confirmer mes soupçons, grommela un vague bonjour entre ses dents.

T'avila se tourna vers moi:

- Merci damoiselle Edelweiss, je m'en souviendrait le moment venu. Mais faites tout de même attention.

Ensuite,T'avila se tourna vers Lisbeth, et lui répondit:

- Vôtre Majesté Impériale, je suis très étonnée que le président Drakul ne vous ai pas prévenue que notre accord politique, pour lequel vous êtes venues, ne sera pas seulement entre la krasalvie et Omois, mais également avec la participation de Selenda. D'ailleurs, un messager m'à appris qu'il était "retenu ailleurs"..

Oups, j'ai du tomber en plein milieu d'une crise politique...Apparemment, Lisbeth n'était pas très contente. A sa place, je ne l'aurais pas été non plus. Je suppose qu'elle aurait bien aimer crier sur ce fichu président. Attendez....ET MON REPORTAGE???? Comment je vais faire moi?????? Mais pour qui il se prend celui-là?
Tandis que je fulminais de colère, Lisbeth tenta de parler calmement:

-Ecoutez....J'ai fait un déplacement qui m'a couté très cher pour voir ce cher Drakul alors vous allez me l'amener parce que sinon je pense que ça ira très mal....Il n'a pas quelqu'un qui pourrait le dépanner?

J'écoutais à peine. J'étais revenue dans ce fichu pays de Krasalvie pour rien? Je pris la parole alors, toujours fulminante de colère:

-Chère Impératrice, ayant vécu dans ce pays depuis ma jeune enfance, et l'ayant quitté pour l'incapacité à gérer les problèmes, je peux donc vous affirmer que si vous avez un accord diplomatique à passer, personne ne sera apte à vous répondre.
Maintenant, si vous veuillez bien m'excuser, le devoir m'appelle. Je dois me retirer pour interviewer le frère du président, cet incapable étant une nouvelle fois absent. Heureuse de vous avoir rencontrée

Je m'inclinais devant elle, puis me tournais vers la Reine des Elfes:

-Majesté, je vous salue également. Heureuse d'avoir également pu vous rencontrer, cela a été un tout aussi grand honneur.


Je m'inclinais une nouvelle fois. A force de m'incliner, je vais finir par me briser le dos!! Puis, je sortis de la pièce, mon bloc-note à la main. Maintenant, il ne me reste plus qu'à trouver le frère du président.
Ce qui ne risque pas d'être facile avec la vampyr insolente de toute à l'heure qui me rattrapa rapidement, me forçant à rester à l'entrée de la salle

Ouh là. O.O
Toute cette parlotte me donnais mal a la tête,frenchement je ne pouvais même pas en placer une ....
Imperatrice ceci T'avila cela Drakul bla bla bla,heureusement la salle se déboucha avec le départ de l'autre elfe dieu merci je n'ai pas eu a la boire ..
Je sentis la colère monter en Lisbeth quand j'entendis une parole interesssante :
- Chère Impératrice, ayant vécu dans ce pays depuis ma jeune enfance, et l'ayant quitté pour l'incapacité à gérer les problèmes, je peux donc vous affirmer que si vous avez un accord diplomatique à passer, personne ne sera apte à vous répondre. Maintenant, si vous veuillez bien m'excuser, le devoir m'appelle. Je dois me retirer pour interviewer le frère du président, cet incapable étant une nouvelle fois absent. Heureuse de vous avoir rencontrée.
La demi vampyr venait de disparaitre de la salle...Je me depecha de la rattraper et me dit:Mon oncle ....Hors de question cette fois c'est a mon tour:
-Je vous demande pardon ??Mon oncle lui non plus n'est pas disponible pour le moment .......
Ayayay !!Qu'allais-je repondre maintenant ....
Ah je sais:
-Mais cela dit je peut repondre a vos questions,Drakul n'n'étant pas la je suis responsable du château.
Hahaha qui a le pouvoir au château a aussi le pouvoir sur le royaume.
Je me mis a songer

Je n'étais pas la seule en colère face à cette enième absence de Drakul.Franchement,un président qui n'est jamais là n'est pas un bon président!On dirait qu'il est au-dessus de tout le monde!Raaah,il m'enerve,il m'enerve...J'essayais alors de me distraire pour garder un calme olympien et remarquais les yeux de Janny.Ils étaient pleins de colère.Je souriais en voyant cela et compatissais pour une fois.Celle-ci prit alors la parole:

-Chère Impératrice, ayant vécu dans ce pays depuis ma jeune enfance, et l'ayant quitté pour l'incapacité à gérer les problèmes, je peux donc vous affirmer que si vous avez un accord diplomatique à passer, personne ne sera apte à vous répondre.
Maintenant, si vous veuillez bien m'excuser, le devoir m'appelle. Je dois me retirer pour interviewer le frère du président, cet incapable étant une nouvelle fois absent. Heureuse de vous avoir rencontrée

Ce qu'elle disait était fort vrai mais ma réplique n'avait été que pure ironie.En tout cas,cette jeune fille me plaisait bien.Je sais,je sais,je me repete un peu,là mais j'avoue que normalement j'avais un peu de mal avec les BSH même s'ils consommaient peu.Je les considerais comme une menace pour le peuple de mon empire.Pour moi,normalement,quand on commençait à boire du sang humain,on était bon à enfermer.Ils étaient souvent suicidaires,ceux-là...Soudain,la jeune Janny me sortit à nouveau de mes pensées:

-Majesté, je vous salue également. Heureuse d'avoir également pu vous rencontrer, cela a été un tout aussi grand honneur.

Elle s'inclina alors devant T'avila et commença à se diriger vers la grande porte rouge qui menait à la sortie.La vampyr de tout à l'heure l'arrêta alors:

-Je vous demande pardon ??Mon oncle lui non plus n'est pas disponible pour le moment .......

Son oncle?Elle voulait dire qu'elle était...non,ce n'est pas possible!Avais-je devant moi une potentielle heritière du trône?Et en plus,moins compétente car plus jeune?Et elle voulait en quelque sorte remplacer tout le monde,je n'avais qu'une seule chose à dire : Ouaiiiis!Grâce à elle,j'allais peut-être pouvoir changer ce contrat de malheur!

-Mais cela dit je peut repondre a vos questions,Drakul n'n'étant pas la je suis responsable du château.

Ah et elle acceptait en plus!Heureuse comme jamais,je me tournais vers la jeune vampyr:

-Mais Damoiselle,nous pourrions peut-être regler ce petit contrat ou il ne faut bien sur qu'une minime signature venant de votre belle famille ou de vous..

-Je vous demande pardon ??Mon oncle lui non plus n'est pas disponible pour le moment .......


Aurais-je devant moi la fille du président? Dans ce cas, je sais pourquoi son visage m'est familier. C'était une de celles qui m'humiliait à l'école. Et je ne suis pas prête de l'oublier. Mais je ne peux que fulminer, en espérant qu'elle ne se souvient pas de moi. Mais, voilà qui va plaire à Lisbeth. Elle va pouvoir signer son traité.

-Mais cela dit je peut repondre a vos questions,Drakul n'n'étant pas la je suis responsable du château.

Hum...Même si l'idée d'interviewer cette fille me répugne, je sais que je n'ai pas trop le choix. Je dois absolument rendre ce boulot. Je laisse donc l'honneur à Lisbeth:

-Mais Damoiselle,nous pourrions peut-être régler ce petit contrat ou il ne faut bien sur qu'une minime signature venant de votre belle famille ou de vous..

Je vois la fille grimacer légèrement, mais accepter d'un signe de tête. Elle signe sans mot dire, un air très concentré sur le visage. Puis elle se tourne vers moi, avec un air exaspéré, comme pour me demander "et vous la demi, vous voulez quoi?"
Je lui répond, de tout le respect que j'arrive à réunir, et je n'en ai pas beaucoup:

-Eh bien, je en suis pas ici pour chercher les ennuis. Je suis rédactrice dans un Jourstal, et je dois interviewer le Président des Vampyrs sur certains points. Cela ne vous dérangerait pas de répondre à sa place?

La fille acquiesce d'un signe de tête, et nous sortons un moment. Elle répond bon gré mal gré à mes questions, et je note tout sur mon calepin. Puis, en temps que rédactrice, je me doit de citer le nom de la personne interrogée. Et je ne connais pas son nom. Je demande:

-Serait-ce trop demander que votre prénom?

Au regard furibond qu'elle me lança, c'était trop demander. Mais je n'ai pas le choix.

[Pardon,mais je ne suis pas d'accord...Je n'ai jamais voulue signé ce "traité",fait plus attention power game,tu ne peux pas controler mon personnage en donnant ses réactions......M'enfin bref...]


Cette histoire d'interview me soule...m'enfin...Je vais lui donner mon nom qu'on en finisse au plus vite.
-Je m'appelle Erika.
Je tourna enfin mon dos de cette pauvre fille qui me semble familiére.
Je me tourna Lisbeth..Elle ne m'inspirait pas du tout confiance..Sa devait étre une de ces filles qui était trés trés ...Peut être trop sérieuse,et qui defendrait son royaume béc et ongle.
Bref...Je passa ma main dans mes cheveux et me dirigea vers la porte.
Vous allez penser que je ne connait pas la politesse...Et bien non,c'est fait éxprés.
[Désolé mais je n'avait pas beaucoup d'inspi]

[Heu, vous m'avez doublée deux fois xD pour la peine, gros pavé! /SCHPAF/]

Les couloirs du châteaux étaient très longs.
Trop longs.
Comment surveiller tous ses endroits en même temps?
Il me fallait envoyer des petites scoops.
Je m'arrêtai en plein milieu d'un passage, sans faire attention aux domestiques.
Après avoir farfouillé dans mon sac sans fond pendant quelques minutes, je tenais dans ma main vinght minuscules scoops et une tablette de contrôle.
Je fis la moue.
Encore une mission impossible.

Pendant un bon quart d'heure, j'installais toutes les caméras à toutes les entrées, et potentielles sorties.
Je montais les escaliers en marbre blanc, puis les redescendais, puis en utilisais d'autres.
Le sang bouillonnant, j'avais réussi en un temps record à explorer toutes les parties.
Je récapitulais tout dans ma tête pour éviter les oublis.
Les cuisines, le sous-sol, les étages publics, les étages privés...
Ces derniers m'ont vraiment donné du fil à retordre.
J'ai du utiliser mon précieux matériel de Voleur Patenté de dernier cri.
Je me mordis la lèvre.
J'espérai que ces gadgets à un crédit mut d'or seraient efficaces.
Sinon, T'avila risquait de... disons m'arracher les yeux pour faire court.
Le château du Président Drakul était vraiment impressionnant.
Les murs bruns aux reliefs magiques, ses sol en marbre importé de Terre, ses statues de pierre, ses magnifiques tableaux, ses boiseries anciennes cirées et dorées, ses fauteuils rouges, ses plafonds noirs incrustés de diamants...
Pour moi, la seule chose qui manquait étaient les fenêtres.
Si seulement les BSH ne craignaient pas le soleil...
Mes scoops étaient donc placées dans les salles importantes, sur les rares balcons et surtout, aux portes d'entrée.
Personne ne pouvait les voir.
Elles avaient l'allure de mouches.
Impeccable, pour la saison d'automne.

Je me remis en route pour la pièce centrale du premier étage.
Juste au dessus de la Reine, Lisbeth, Janny Eidelweiss et de la BSH.
Je m'assis dans un confortable fauteuil bordeau, à côté d'une mince fissure dans le parquet que j'avais repérée en positionnant mes scoops.
Ma pièce était close.
J'étais donc tranquille pour écouter leur conversation et surveiller ma tablette.

A peine eus-je le temps de me concentrer sur la discussion, je me penchai sur ma tablette.
Un serveur posais une tellière à sang sur la table d'une chambre.
Celle du Président.
Or, Drakul n'était pas dans le bâtiment.
Et on ne met pas une tellière sans tasse sur un plateau.
Surtout quand il n'y a personne.

Je bondis de mon fauteuil et me mis à courir.
Mon coeur battait à une vitesse folle.
Je poussais tout le monde, reversant les plateaux, les piles de linges en lévitation.
Tout!
Tic.
Tac.
Tic.
Tac.
Les secondes passaient.
Mes jambes me semblaient trop petites.
Mon souffle me semblait trop faible.
Chaque seconde me paraissait trop courte.
Arrivée au deuxième étage, je défonçai la porte.
Avec un Bombardus.
A travers les flammes, je vis la tellière.
Je m'arrêtai juste devant.
Je retins ma respiration.
Je soulevai le couvercle.
Tic.
Tac.
Tic.
Tac.
Je blanchis.
Je reposai délicatement le couvercle.
Je sortis de la chambre.
Et je me mis à courir.

- Allez-vous en! Fuyez! Une bombe va exploser dans deux minutes! Dégagez!

Les femmes de chambres se mirent à crier.
Les serveur aussi.
Le truc que j'ai vu pouvait sauter au moindre choc.
Et absolument personne ne pouvais l'arrêter, même magiquement.
Énième cours de Voleur Patenté.
La seule solution?
Courir.
Je fonçais vers le rez de chaussé, dévalant les escaliers tellement vite que je me pris les pieds dans les tapis et tombai à deux reprises.
Je voulais que le temps s'arrête.
Et que les Tic-Tac qui résonnaient dans ma tête cessent.

Enfin j'arrivais.
La Reine, L'Impératrice, la BSH et la tueuse étaient là.
Un Sangrave aussi.
Il tenait la BSH par les cheveux.
Il était recouvert de bâtons de dynamite.
Et menaçait de mettre tout exploser.

- Où est le Président?! rugissait-il.

Je restait immobile.
Il ne pouvait pas me voir, me tournant le dos.

Le temps n'avait jamais été aussi vite compté.

-Ecoutez....J'ai fait un déplacement qui m'a couté très cher pour voir ce cher Drakul alors vous allez me l'amener parce que sinon je pense que ça ira très mal....Il n'a pas quelqu'un qui pourrait le dépanner?

L'imperatrice n'était donc pas au courant? Visiblement, elle se retenait de fulminer. Sa majesté était également très agacée. Où était donc ce fichu Drakul!

La jeune naine BSH prit alors la parole:

-Chère Impératrice, ayant vécu dans ce pays depuis ma jeune enfance, et l'ayant quitté pour l'incapacité à gérer les problèmes, je peux donc vous affirmer que si vous avez un accord diplomatique à passer, personne ne sera apte à vous répondre. Maintenant, si vous veuillez bien m'excuser, le devoir m'appelle. Je dois me retirer pour interviewer le frère du président, cet incapable étant une nouvelle fois absent. Heureuse de vous avoir rencontrée.

Fichus vampyrs! Tellement mal organisés! Elle s'inclina devant Lisbeth, puis se tourna vers la Reine.

-Majesté, je vous salue également. Heureuse d'avoir également pu vous rencontrer, cela a été un tout aussi grand honneur.

Elle s'inclina encore. Extrêmement polie. Elle devait souvent avoir a faire avec les personalités politiques. Intéressant.La petite vampyre, restée muette jusque là, s'eveilla soudain.

-Je vous demande pardon ??Mon oncle lui non plus n'est pas disponible pour le moment ....... Mais cela dit je peut repondre a vos questions,Drakul n'étant pas la je suis responsable du château.

Sa majesté fronça un sourcil. Cette jeunette, une fille de Drakul? Peur être pourrait-elle résoudre leurs problèmes.

-Mais Damoiselle,nous pourrions peut-être regler ce petit contrat ou il ne faut bien sur qu'une minime signature venant de votre belle famille ou de vous...

Lisbeth avait visiblement pensé la même chose. La jourstaliste demanda alors à la jeune héritière de lui accorder une interwiew, et celle ci s'exécuta avec déplaisir. Sa majesté se retrouva donc seule en compagnie de Lisbeth, et de ses conseillères.

- Majesté Impériale, quel accord venez vous signer? Cela ne m'étonnerais pas que cet incap... Le président Drakul ce soit trompé et que nous ne signiions point le même.

La Reine n'entendit pas très bien la réponse de Lisbeth, car il y eu une explosion. Bien. Mauvais signe. É'éree et V'iladra avaient disparu, applicant le protocole d'urgence en cas de problèmes. Mais Sa majesté restait, pour protéger Lisbeth. Sa puissante magie pouvait être utile, mais une Reine elfique était certainement la meilleure des assurances vies.
Au milieu du bazar déclenché, un sangrave surgit, tenant la fille de Drakul. Dame Edweliss à côté. L'homme en gris était couvert de dynamite. Un complot de sangraves, comme Majesté l'avait prévu! L'espionne ne devait donc pas être loin. Omois risquait donc d'avoir une dette envers Selenda.

- Où est le Président?! Hurla l'individu.

C'était donc probablement une tentative s'assassinat contre Drakul.
Cela agaça prodigieusement Sa Majesté. Qui ne pouvait le pulveriser sur place car il tenait la jeune vampyr. L'air s'emplit d'une odeur de violettes en décomposition, signe de son énervement.

- Monsieur le Sangrave, nous n'en avons aucune idée. Nous le cherchons tout autant que vous. Si vous voulez bien lâcher cette demoiselle à présent.

La vampyr, plus qu'agacée, me répond:

-Je m'appelle Erika.

Je notais consciencieusement son prénom sur mon calepin puis retournait dans la grande pièce afin de prendre congé de mes charmants hôtes. Mais subitement retentit une explosion si forte que je dus me boucher les oreilles. Puis, un Sangrave apparut, tenant Erika par les cheveux. Il hurla, au risque de faire exploser la pièce à nouveau:

- Où est le Président?!

Super, un complot contre le président. Non, pas pour me déplaire. Mais bon, je ne peux pas montrer ça. T'avila, la grande et puissante Reine des Elfes, lui répond calmement:

- Monsieur le Sangrave, nous n'en avons aucune idée. Nous le cherchons tout autant que vous. Si vous voulez bien lâcher cette demoiselle à présent.

Bien parlé. Mais j'ai une autre tactique. Je connais cet homme de vue, et je peux le faire chanter sans difficultés. Je m'avance vers le Sangrave et lui dit, un peu ironiquement, en me penchant vers lui, en lui sussurrant, mais de façon à ce que tous puissent entendre:

- Enfin, gentil toutou, tu vas lâcher cette jeune fille, ou Janny Edelweiss ira raconter à Maggy que tu n'as pas respecté ses réels ordres à ta dernière mission...Imagine sa fureur dévastatrice quand il l'apprendra, et de ma bouche surtout...

Mon tour avait marché. Sous les yeux stupéfaits des personnalités haut placées de cette salle, l'homme tressaillit sous l'effet de mes paroles. Il murmura tout bas d'une voix suppliante:

-Je vous en supplie Mademoiselle, ne dites rien au Maître Suprême, ou il me carboniserait vivant! C'était une grave erreur, et je ne la recommencerais pas. Mais ne lui dites rien! Quant à ma mission, si je ne trouve pas le président, Magister me tuerait pour avoir failli à la mission qu'il m'a attribuée!

D'une voix sèche et autoritaire, je lui répondit:

- Lâche cette jeune vampyr. Tu iras dire à ton maître que Janny t'a ordonné de ne pas respecter ses ordres. J'arrangerais cela personnellement avec lui, on verra s'il ose me tenir tête.

L'homme, confus, balbutia des excuses et lâcha la fille du président. Puis alors qu'il tentait de s'enfuir, une flèche le paralysa net. Je m'approchais de lui et plaçais mon couteau sous sa gorge tressaillante:

- Ainsi s'achève ta misérable vie. Il est hors de question que j'aille voir ton stupide maître. Pour qu'il tente encore de me recruter? Jamais. Remercie moi pour cette faveur que je t'accorde, tu n'auras de comptes à rendre à personne.

Puis, sans plus d'hésitations, je lui tranchais la gorge. Je me retournais vers Lisbeth, Erika et T'avila qui semblaient ne rien comprendre, et vers l'espionne fraîchement arrivée prête à me tuer. Je levais les mains, et dit en soupirant:

-Je suppose que je dois des explications, n'est-ce pas?

J'étais à présent à côté de T'avila.La grande T'avila,celle que tout le monde craignait...et que je detestais secretement.Je me retenais de sortir une remarque ironique.Un long silence se fit entendre,un blanc comme dirait les jeunes puis T'avila parla:

- Majesté Impériale, quel accord venez vous signer? Cela ne m'étonnerais pas que cet incap... Le président Drakul ce soit trompé et que nous ne signiions point le même.

Je souriais au mot incap....Oui,effectivement ce président était un incap..Là,je reconnais qu'elle avait raison.J'allais lui répondre quand le sol trembla.Mais ce n'était pas un petit tremblement,c'était un de ces gros tremblements qui vous font trembler de peur.Le bruit se faisait entendre aussi.Cela ressembalit à une explosion de je ne sais quelle arme.La fumée noire était telle que l'on ne voyait rien...enfin au début car au bout d'un moment deux ombres se dessinèrent puis elles se rapprochèrent et nous nous retrouvons face à un sangrave assez nerveux tenant la fifille du président par les cheveux.Aïe,je la plains,ça doit faire mal...Le sangrave ne parla même pas,il cria:

- Où est le Président?!

Ok...je ne savais pas quoi répondre à cette question quand T'avila le fit à ma place:

- Monsieur le Sangrave, nous n'en avons aucune idée. Nous le cherchons tout autant que vous. Si vous voulez bien lâcher cette demoiselle à présent.

Lacher la fille du président?Oh nan,elle est pas marrante!Pour une fois que je pouvais me venger de quelqu'un sans en être accuser!A mon grand étonnement,Janny,la BSH ''modérée'' s'approcha du sangrave.Je fronçais les sourcils..

- Enfin, gentil toutou, tu vas lâcher cette jeune fille, ou Janny Edelweiss ira raconter à Maggy que tu n'as pas respecté ses réels ordres à ta dernière mission...Imagine sa fureur dévastatrice quand il l'apprendra, et de ma bouche surtout...

En voyant le sinistre sangrave tressaillir,je ne pûs m'empecher laisser echapper un hoquet de surprise.Comment savait-elle?Serait-elle...non,ce n'était pas possible...

-Je vous en supplie Mademoiselle, ne dites rien au Maître Suprême, ou il me carboniserait vivant! C'était une grave erreur, et je ne la recommencerais pas. Mais ne lui dites rien! Quant à ma mission, si je ne trouve pas le président, Magister me tuerait pour avoir failli à la mission qu'il m'a attribuée![color=violet] du sangrave était bien présente.Il faut dire que l'on devient beaucoup plus émotif quand notre vie ne tient plus qu'à un fou.

- Lâche cette jeune vampyr. Tu iras dire à ton maître que Janny t'a ordonné de ne pas respecter ses ordres. J'arrangerais cela personnellement avec lui, on verra s'il ose me tenir tête.

L'homme s'embrouilla en excuses et lacha la fille du président.Je pensais qu'elle allait en rester là,le laisser partir mais non.Une flèche passa à un petit millimètre de lui.Je compris l'avertissement et reculais,ne voulant pas tacher ma robe de taches de sang.Janny avait à présent mit un couteau sur la gorge du sangrave.

- Ainsi s'achève ta misérable vie. Il est hors de question que j'aille voir ton stupide maître. Pour qu'il tente encore de me recruter? Jamais. Remercie moi pour cette faveur que je t'accorde, tu n'auras de comptes à rendre à personne.

Je faillis vomir quand,sans aucune pitié,elle lui trancha la gorge net.La meurtrière se retourna alors vers T'avila,Erika et moi.On ne savait que dire.Le spectacle qui s'était donné à nous était si bizarre,si sanguinaire...Confusion.

-Je suppose que je dois des explications, n'est-ce pas?

-Vous lisez dans mes pensées,jeune fille.Allez-y,vite.

C'est incroyable le nombres de catastrophes qui peuvent arriver en cinq minutes.
La fille de drakul est prise en otage.
Dame Edweliss la sauve, coupe sans remords la tête d'un sangrave.
Et avoue plus ou moins le fait qu'elle à une grande influence parmis eux, et qu'elle connait leur chef.
Elle propose des explications, à la grande joie de l'impératrice d'Omois.
La fille dû président hurle sur ses subordonnés, qui paraissent vraiment pitoyables.
Si la Reine avait eu des espions comme ceux là, elle les aurait probablement fait executer. Ou plutôt E'rée l'aurait proposé, et se serait fait une joie de les torturer. Les elfes sont certainemant plus impitoyables que lez vampyrs.
Puis, pour finir, l'espionne M'enil perdit son sang froid.

- Janny Edelweiss vous êtes supportable et je me moque bien de vos explications! Vous êtes une tueuse, et vous êtes de mèches avec les Sangraves! Vous ne devriez pas être ici! Une bombe est sur le point d'exploser et vous tuez le seul type capable de l'arrêter! Ni vous ni personne d'autre n'en est capable!

Sa Majesté regarda son sujet. Celle ci, voyant le regard de sa Reine, compris instantanémemt qu'elle avait fauté. C'est ça le problème, avec les obsédés de vengeance. Il en oublient que parfois politesse et diplomatie riment avec survie. De toute évidence, un différend opposait ces deux jeunes femmes, et sa Majesté se fichait de savoir lequel, dû moment que cela ne gâchait point ses plans.

- Bon, je répète qu'il y a une bombe dans la chambre du Président. Elle explosera dans... trois minutes. Quelqu'un a des suggestions?

Bien. Le sujet M'enil s'était repris. Sa Majesté pris alors la parole.

- Je vous propose de continuer cette discution, ailleurs, ce qui serait probablement plus prudent, etant donné qu'une bombe va probablement exploser d'ici quelques minutes. Je vous remercie pour cette.. intervention, sujet M'enil.

Sa majesté appuya sur le mot "intervention", pour bien preciser a l'intéréssée d'être plus prudente dans ses paroles.

- Je vous en prie, Majesté impériale et princesse des vampyrs, passez devant.

Manière discrète de leur signaler que les Elfes venaient de leur "sauver la mise", comme diraient les terriens. Puis la Reine hochat la tête en direction de l'hybride, pour lui montrer qu'elle ne l'oubliait pas, et se retourna vers son espionne.

Arrivant un petit peu en retard,un garde de la jeune princesse arrivait et lui demandait si elle allait bien.Il se fit disons..engueuler par celle-ci qui le traita d'incapable.Bon,il faut avouer,que là,il n'avait pas été efficace du tout.Donc c'était normal qu'il se fasse engueuler.Je ne prefere pas imaginer ce que T'avila aurait fait,elle.Le garde ne serait certainement plus vivant à l'heure qu'il est.La princesse autorisa à son tour que Janny parle.

Peut-être que si je n'avais pas été aussi curieuse de savoir ce que Janny nous cachait,j'aurais remarquée la haine qui commençait à être visible dans les yeux de la jeune M'enil.Je me saurais probablement demandée pourquoi elle était autant en colère et j'aurais fais une enquête.Mais comme je l'ai dis,n'ayant pas des yeux dans le dos,je ne vis rien.Mais j'entendis,très,mais alors vraiment très bien le hurlement plus que le parole qui sortit de sa bouche:

-
Janny Edelweiss vous êtes supportable et je me moque bien de vos
explications! Vous êtes une tueuse, et vous êtes de mèches avec les
Sangraves! Vous ne devriez pas être ici! Une bombe est sur le point
d'exploser et vous tuez le seul type capable de l'arrêter! Ni vous ni
personne d'autre n'en est capable!

Je me retournais vers la jeune elfe que je n'appréciais guère.Ses yeux bleus étaient glacials et elle semblait se contrôler pour ne pas égorger Janny.C'était assez..dangereux,je dois dire.Je remarquais alors que la jeune elfe se calmait,d'un seul coup.Hum..Je soupçonne T'avila de ne pas être pour rien dans ce brusque arrêt.

-
Bon, je répète qu'il y a une bombe dans la chambre du Président. Elle
explosera dans... trois minutes. Quelqu'un a des suggestions?

Des suggestions?Enfin,à part sauver notre peau en allant à l'opposé d'ou se trouvait cette bombe?Je n'en avais aucune.La désamorcer?Nan,trop dangereux.Dangereux,tiens..Mais si c'est Lou qui le fait,ça pourrait être très pratique.Cela me permettrait d'éliminer une ennemie sans que personne ne se doute de rien..C'est..parfait.Malheureusement,Sa Majesté T'avila prit la parole,comme pour gâcher mon plan:


- Je vous propose de continuer cette discution,
ailleurs, ce qui serait probablement plus prudent, etant donné qu'une
bombe va probablement exploser d'ici quelques minutes. Je vous remercie
pour cette.. intervention, sujet M'enil.

Je souriais en m'apercevant qu'elle avait bien appuyée sur ''intervention''.Et puis j'adore quand elle appelle Lou sujet,ça me donne encore plus de droits par rapport à elle.Le mauvais point,c'était,que d'un point de vue diplomatique,je ne pouvais pas opposer une autre idée face à celle de T'avila.Je grognais doucement.Lou ne perdait rien pour attendre..

- Je vous en prie, Majesté impériale et princesse des vampyrs, passez devant.

En comprenant le sous-entendu,je grimaçais avant de pénétrer en dehors de l'enceinte du château.Je m'amusais alors à décrire les têtes que faisaient les vampyrs.Au début,cela me fit rire puis ça commença à m'inquiéter.Je me retournais alors et remarquais que le château fumait..c'était le cas de le dire.Comme une furie,je m'approchais de la porte grande ouverte tout en gardant une bonne distance quand même avant de crier:

-Vous allez bien?Allez,répondez.Vous êtes pas devenus des poulets rotis,j'espere?

-Vous lisez dans mes pensées,jeune fille.Allez-y,vite.

hé oui, c'est un talent. Je sais. Mais je n'ai pas le temps, car l'espionne se met à hurler, ce que je ne supporte pas. Je fais ce que je peux pour garder mon calme, mais c'est très dur. En règle générale elle serait en OutreMonde depuis longtemps. Mais je suis en présence de L'Impératrice et de la reine des Elfes, mieux vaut éviter je pense. Calme Janny. Respire. lentement. Expire. Voilà.

- Janny Edelweiss vous êtes insupportable et je me moque bien de vos explications! Vous êtes une tueuse, et vous êtes de mèches avec les Sangraves! Vous ne devriez pas être ici! Une bombe est sur le point d'exploser et vous tuez le seul type capable de l'arrêter! Ni vous ni personne d'autre n'en est capable!

Moi? De mèche avec eux? Hi hi. Quelle bonne blague!
Et je ne suis pas capable d'arrêter la bombe? je la connais celle-là. C'est le joujou de Mag', il voulait l'utiliser pour son prochain crime. N'en connaissant pas d'autre, c'est forcément celle-là.
cet imbécile m'a tout confié.

-Bon, je répète qu'il y a une bombe dans la chambre du Président. Elle
explosera dans... trois minutes. Quelqu'un a des suggestions?

Oui, bien sûr. si on me laisse en placer une évidemment.
T'avila intervint aussitôt:

- Je vous propose de continuer cette discution,
ailleurs, ce qui serait probablement plus prudent, etant donné qu'une
bombe va probablement exploser d'ici quelques minutes. Je vous remercie
pour cette.. intervention, sujet M'enil.

Hi hi encore. Elle l'a appelée Sujet. Quel affront!

- Je vous en prie, Majesté impériale et princesse des vampyrs, passez devant.

Hum, et moi j'existe? Non bien sûr.
Nous sortîmes et je remarquais que le château fumait. Lisbeth avait du faire la même constatation car elle courut comme une furie et nous interpella:

-Vous allez bien?Allez,répondez.Vous êtes pas devenus des poulets rotis,j'espere?

Je commence vraiment à adorer l'humour de l'impératrice. Je la rejoignis et lui murmura:

-Vu que je n'ai pas pu donner d'explications, ce sera pour après. Magister comme un imbécile m'a dit comment désamorcer son nouveau jouet en oubliant que je refuse toujours d'entrer dans ses rangs, et que par conséquent, cela pourrait se retourner contre lui. il reste deux minutes et je l'ai localisée. J'y cours, et si sa Majesté la Reine des Elfes, sa colérique espionne et la fille du Drakul vous demandent où je suis, expliquez-leur. Merci beaucoup.

Puis sans attendre sa réponse, tout en sachant que c'était très impoli, je courus vers l'escalier et cherchai la bombe. je la trouvais enfin.
J'incantais pour la première fois de ma vie de la magie noire, le sortilège qui la désactiverait. Puis à bout de forces, j'eus le temps d'appuyer sur le bouton rouge alors que le compteur affichait 12 secondes restantes avant de m'écrouler à terre.
J'eus énormément de mal à retourner auprès des autres. Cette stupide magie m'épuisait. Evidemment je n'en touchais pas un mot aux autres, et tentait difficilement de tenir debout. Puis, avec un grand sourire feint, je demandais:

-Maintenant que j'ai désamorcé cette bombe, et si Mademoiselle l'espionne me laisse parler, je pense que je vous dois de grandes explications. Mon récit sera plutôt long donc si vous souhaitez aller dans un lieu plus calme cela ne me dérange pas.