Retour chez les fous [PV]

Sai, lui qui avait tant rêver de se moment. Qui avait tant espèrer qu'il n'arrive jamais, et voila le moment et t'arrivé. Il avait couru pour leurs échappés, mais même avec tout ses pouvoirs qui lui avait été donner il n'avait pas réussit a échappé a la fléchette qui l'avait peu a peu vider de toute force physique et mental. Le vampyr avait été trainer jusqu'a un laboratoire abandonné, les scientifiques en avait trouvé un autre où il pourrait poursuivre leurs experiences sur leur sujet préfèrer qui c'était enfuit il y a plusieurs années de sela. Sa avait été difficile de le retrouvé, sans le hassard -ou peut-être le destin- ils seraient surement toujours en train de chercher leur jouet. Ils l'attachèrent solidement avec du fer D'hymlia sur une table froide très familière au pauvre Sai, il tenta de se débattre mais la drogue de la fléchette aggisait toujours. Il finit par s'endormire, d'un sommeil sans rêve.

Une gifle partit toute seule vers la joue de l'esclave aveugle, se qui le réveilla aussitôt. Il sentit aussitôt une grande douleur lui traverser le coeur (Ho, sa rime !), Roko ! Il avait prit Roko ! Le familier Kroa était dans une cage très loin de son compagnion d'âme, il était si loin l'un de l'autre. Comment des être vivant pouvait faire sela a leurs semblable. Et encore se n'était pas finit. Le vampyr du nom de Sai versa un petite larmes, la douleur était puissante mais pas au point de hurler et de se rabaisser face a ses anciens maîtres. Trois des cinq scientifique préparèrent des séringues tendit que les deux autre s'approchait de Sai pour lui souffler quelque mots.

- Alors mon petit Sai content de revoir tes maîtres ? Ce n'est pas bien d'avoir tenté de nous tuer, pas bien du tout. Tu auras ta punitions.

L'autre caressa la joue blanchâtre du vampyr le sourire au lèvre. Sai frissona, il détestait se genre de toucher. C'était signe qu'il allait souffrir dans les minutes qui suive.

- Pourritures, je croyait vous avoir tuer.
- Et bien tu t'es tromper.

Avant même que le soldat presque parfait ne puisse ouvrir de nouveau la bouche, une énorme aiguile lui traversa le torce. Puis deux, puis trois. Et bientôt une dixaine. Il hurla de douleur, mais ce n'était pas finit. Ce n'était qu'un début. Les scientifiques riaient de son malheur. Comme quoi même après trois ans des monstres restaient des monstres.

Il était tard à présent. Sibby regagnait la petite chambre qu'elle louait depuis maintenant deux jours. Elle avait passait sa journée à se balader dans la ville et à obsever l'atitude des vampires. Du jour au lendemain elle avait eu envie de "changer d'air" et de découvrir de nouveaux horizons. Et c'était la Krasalvie qu'elle avait choisis: elle avait toujours eu envie de découvrir le pays des vampyrs. Il faisait nuit noir, et elle ne voyait pas grand chose. Elle avançait prudemment et rapidement. Elle espérait se souvenir correctement du chemin jusqu'à sa chambre, elle devait avouer que trainer dans les rues si tard lui faisait peur. Elle aurait du rentrer plus tôt.
Alors qu'elle passait près d'un genre de vieil hangar délabré elle entendit un cri à glacé le sang. Elle s'arrêta et un frisson la parcourrie. Soudain la peur l'envahie, elle voulu reprendre son chemin comme si de rien n'était lorsqu'elle entendit un deuxième cri de douleur. Une fois de plus elle frissona.
C'était surement la fatigue qui la gagnait ...

-"Ce n'est que mon imagination" se dit elle pour se rassurer.

Et un troisième cri de douleur. Cette fois elle en était sur, ses cri venait du hangar se situant quelques mètres plus loin. Elle s'approcha, ses sens de demi-elfe lui permit d'entendre quelques rires faibles. Sibby n'osait entrer, quelque chose lui disait de partir loin d'ici et de s'éloigner le plus vite possible. Mais sa curiosité l'emporta et elle poussa doucement et sans bruit la porte du hangar. Elle entra et avanca sans le moindre bruit. Elle arriva dans une grande salle, des dizaines d'objets étrange étaient posé un peu partout, on aurait dit du matériel d'opération. Elle se cacha derrière deux carton et ce qu'elle vit la fit frissoner: des hommes en blouse blanche enfoncé des aiguilles dans le torse d'un jeune homme. Sibby ne pouvait le décrire, elle ne le voyait presque pas, les hommes en blouse blanche la gênée. Son instin d'elfe prit le dessus, elle ne tenait plus en place, elle ne supportait pas de regarder ces "chirurgiens" planter des aiguilles dans le torse de ce pauvre jeune homme. Elle voulait l'aider et le délivrer, c'est alors qu'elle remarqua que celui-ci était attaché à la table d'opération avec le fer d'Hymlia. Sibby réfléchissait et elle devait faire vite et ne pas faire le moindre bruit.

Depuis sa mésaventure avec un BSH, Sieur Kento n'aimait pas trop la Krasalvie. Après cette histoire, il n'était pas venu dans ce pays pendant un bon bout de temps. Il y était quand même revenu une nouvelle fois, longtemps après, et cette fois-là, Jiao était mort. Depuis le Tatris n'aimait pas trop cet endroit, bien qu'il apprécie les vampyrs, aussi sérieux et logiques que sa propre race. Mais aujourd'hui, il y était de nouveau. Il ne savait pourquoi, chaque fois que le roi Lancovien avait une affaire à régler en Krasalvie, c'était le Tatris qu'il envoyait. Quoi qu'il en soit, Kento se promenait à présent dans un petit quartier tranquille et plutôt abandonné. Il aimait bien ces endroits-là, éloignés de l'agitation constante de la ville.

C'était une froide soirée et Kento s'empressait de rentrer après sa petite ballade, quand il entendit un bruit. Ou plutôt un cri. Puis un autre. C'était un cri de douleur, de souffrance, un cri de ceux qui font glacer le sang et qui font penser qu'on aimerait pas être à la place de l'auteur du cri. Et, généralement, quand on voit la scène, on s'enfuit, à moins d'être très courageux, ou plus souvent très imprudent. Léo et Félix n'étaient ni l'un ni l'autre, tout simplement curieux. Ils échangèrent un regard et leur même corps se dirigea vers l'endroit d'où provenait le cri. Un vieux hangar abandonné. Nouveau cri. Nouveau échange de regards. Ils étaient beaucoup moins assurés mais tant pis, ils continuèrent. La porte du hangar était déjà entrouverte, ce ne fut pas difficile d'entrer.

Là se trouvait un spectacle du genre de ceux qu'on est pas près d'oublier. Et surtout du genre terrifiant. Des gens en blouse blanche... opéraient... non, plutôt torturaient quelqu'un, qui était sûrement l'auteur de ces cris. Il y avait aussi une demi-elfe que les autres ne pouvaient voir, mais qui, comme Léo et Félix, observait la scène. Les bourreaux n'avaient vu ni Kento ni la demie-elfe, tout deux bien cachés. Le Tatris échangea un regard avec celle-ci et lui fit un signe indescriptible, montrant qu'il n'étaient pas un de ces horribles bourreaux.

Il fit un pas de côté et aperçut la pauvre victime. Un vampyr. Sieur Kento mit quelques secondes avant de le reconnaitre. Oui, il l'avait déjà vu, en Krasalvie justement... comment déjà ? Il essaya de se remémorer la scène et une image le frappa. Un lutin en train de se disputer avec ce vampyr, en compagnie d'une autre vampyr. Avec, derrière, un territoire brûlé. A l'époque, le ministre l'avait trouvé assez vantard, mais maintenant, il comprenait nettement mieux le vampyr dont il ne connaissait pas le nom. Et savait à présent d'où venait ses cicatrices.

Bon, ce n'était pas le tout, mais il n'allait pas laisser cet ho... ce vampyr dans cet état, et avec ces horribles gens. Oui, mais comment faire ? Il était seul, enfin deux en comptant la demie-elfe. Et puis, il n'avait aucune idée de quoi faire. Il regarda de nouveau la demie-elfe. Puis il se décida.

Il incanta à mi-voix un bouclier (on est jamais trop prudent) et s'avança, dévoilant sa présence aux yeux des bourreaux et du vampyr. Puis l'une des têtes demanda d'un ton sec et glacial :

-Désolés de vous interrompre, mais pouvons-nous savoir ce que vous faites ?

Bon, ce n'était pas très prudent, mais que pouvait-il faire d'autre ? Avertir les Brigades Noires ? Elles n'arriveraient jamais à temps...

Les scientifiques continuèrent de faire joujou avec le soldat vampyr pendant au moins dix bonnes minutes ou peut-être moins, juste le temps d'injecter une dose d'un je-ne-sais-pas-trop-quoi avec un peu de machin-bidule-chouette dans les bras du vampyr à l'agonie. Celui-ci avait criait une dernière fois avant de sombrer dans un abyme noir, il étaut tomber dans les pommes. Heuresement ou malheuresement il sentit avant de s'évanouillir deux odeurs, celle d'une elfe et d'un tatris. L'odeur de l'être a deux tête lui était familière, qui était-il donc ? Et pourquoi étaient-ils là ? Sai ferma lentement les yeux dans un dernier gémissement de douleur et d'impuissance. Il n'entendit pas les parole du Tatris comme il n'entendit pas non plus la réponse de ses bourreaux. Le scitentifique souriat, d'un sourire monstreux digne des pus cruel démon d'AutreMonde

- Nous créons l'être parfait, sa vous pose un problème Tatris ?

L'un des cinq "maîtres" du vampyr s'approcha de Kento jusqu'a aperçevois non loin de lui une jeune elfe. Elle devita voir quoi, quatorze / quinze ans ? Peut-être moins. Le scientifique a vrais dire sans fouter un peu beaucoup de son âge, il voulait juste savoir se qu'elle fesait là en compagnie d'un Tatris qui affichait un air supérieur. Qui était-il pour les regardait ainsi ? Eux qui était si proche de crée l'être unique sans aucun défaut. Sauf peut-être la perte de sa vu mais bon ça c'était un détail xD.

- Tatris... Et toi l'elfe, vous n'auriez pas du venir içi. Maintenant que vous avez vu notre... expérience ? Créations ? Oeuvre de toute une vie ? Peut importe. Vous aller mourir.

Aussitôt après avoir dit ses mots, cinq jets de magie de différente couleur (gris, marrons, rouge et violet) frappèrent le bouclier de Sieur Kento le fesant exploser.

Kento en était à présent sûr : ce pays était maudit. Chaque fois qu'il y posait un pied, il lui arrivait quelque chose. Il évalua rapidement la situation : d'un côté, cinq "médecins" complétements dingues mais dangereusement fous, et de l'autre, un Tatris imprudemment exposé et sans bouclier, et une demi-elfe dont il ignorait le taux de puissance. Bon sang, les Tatris n'étaient pas fait pour se battre... En tout cas, il avait une belle gaffe. Il aurait dû appeler les Brigades, comme tout Tatris sensé aurait fait. Car de toutes les façons le pauvre vampyr allait souffrir. Là, ils avaient une toute petite chance de s'en sortir indemne. Alors que si il avait appeler les Brigades...

Bon, le temps n'était pas venu aux remords. Réfléchir, réfléchir, réfléchir... Léo jeta un coup d'oeil aux bourreaux. La porte était proche. Quatres des fous étaient encore près du "lit d'hôpital" du vampyr. Le cinquième était beaucoup plus prés de Kento et de la demi-elfe.

Le Tatris recréa un bouclier, cette fois bien plus puissant. Mmm... pour gagner du temps, mieux valait occuper l'ennemi.

-Et ça vous sert à quoi, de torturer les gens ? C'est un bienfait pour Autremonde, peut-être ?

Les scientifique était peut-être fous mais une chose était sur. Il était diboliquement intelligent. Dingue oui mais intelligent. Ils savait très bien que le Tatris essayait de gagner du temps en parlant, ils déçidèrent d'un simple regard de suivre son jeu après tout ils avait tout le temp devant eux. Celui qui était le plus prêt des intrsu déçida de prendre la parole, ses camarade reculèrent et entourèrent leurs cobaye qui commençait en remuer signe que le réveil était proche.

- C'est le prix a payer pour toucher la perfection, vous ne pouvez pas comprendre. De toute façon il nous apartient. Depuis déjà 110 ans il nous apartient, nous nous somme ocupé de lui depuis son plus jeune âge. Ce qui fait de nous en quelque sorte ses tuteurs, non ? AutreMonde besoin d'un être parfait pour devenir parfait a son tour.

Il se tourna vers Sai avant de lache avec rictus déformant son visage une phrase montrant bien la folie qui dévorait son âme et concience.
- Si il souffre ce n'est pas notre problème tout son que nous désirons c'est la perfection, rien d'autre.

Sai ouvrit brutalement les yeux. Et hurla de nouveau, d'une douleur nouvelle. En effet, pendant que le Tatris était occupé en parlotte l'un des médecin fou avait envoyer un décharge éléctrique dans le corp du vampyr pour le réveiller. C'était réussit.

La Tatris incanta un bouclier et s'avança vers ses fous et dit :
-Désolés de vous interrompre, mais pouvons-nous savoir ce que vous faites ?
Sibby, comprenant qu'ils avaient à présent était repéré incanta à son tours un bouclier, sortis de sa cachette et vint se placer au côtée du Tatris.
-Tatris... Et toi l'elfe, vous n'auriez pas du venir içi. Maintenant que vous avez vu notre... expérience ? Créations ? Oeuvre de toute une vie ? Peut importe. Vous aller mourir.dis l'un des hommes
Les "chirurgiens" envoyèrent tous un jet de magie vers le bouclier du Tatris et le firent exploser. Le Tatris incanta alors un second bouclier et demanda :
-Et ça vous sert à quoi, de torturer les gens ? C'est un bienfait pour Autremonde, peut-être ?
Sibby voyait bien qu'il essayait de gagner du temps. Ce faisait le plus discrête possible elle essaya de repérer la sortie la plus proche. La seule sortie qu'elle trouva fut celle par ou elle était entré et celle ci était assez proche. Son sang d'elfe bouillonnait en elle. Elle ne supportait pas de voir ses cinq fous furieux torturé ce vampyr quelque soit ce qu'il a fait. C'était le moment ou jamais de mettre en pratique ce qu'elle avait appris dans ses livres. Peut être que si elle incantait un Pocus assez puissant elle réussirait a immobiliser deux ou trois savants fou en même temps, mais fallait-il qu'elle vise correctement et qu'elle ne rate pas son coup. Sibby se concentra, elle visa deux des savants fous qui se trouvait près du vampyr. Puis elle incanta :
-Par le Pocus personne ne bouge, car je commence à y voir rouge !
Les deux savants fou s'immobilisèrent. Les trois autres la dévisagèrent, pendant deux secondes qui lui parurent être une éternité. Puis l'un deux incanta un destructus que Sibby évita de justesse savant que son bouclier ne tiendrait pas. Elle était à présent proche du vampyr. Mais elle se rendit alors compte qu'elle avait un petit problème ... Elle n'avait pas pensé à la suite de son plan et elle allait devoir improviser. Deux des hommes fondirent sur elle, elle savait qu'elle n'aurait pas le temps d'incanté et elle joua donc sur ses atouts de demi-elfe, la rapidité, l'agilité et la précision. Elle évitait avec soin les coups des deux hommes et leurs incantions. Elle savais qu'elle ne pourrait tenir très longtemps comme ça.

Aline regardait la scène depuis un bout de temps. Elle se demandait pourquoi elle était venue ici. Mais en tout cas, elle aurait préféré ne pas voir cet... enfer pour Sai qu'elle voyait allongé sur une table, ou laboratoire en plus simple pour les autres. Elle ne savait que faire, et était inquiète. Comme elle ne voyait rien de derrière la porte, elle envoya Tomy explorer la scène. Ce n'était pas drôle pour Sai. Même si depuis 117 ans il devait avoir pris l'habitude, il souffrait, et messieurs les laborantins, l'être parfait ne doit pas souffrir, sinon l'être parfait n'est pas parfait. Elle se dit que le Pocus lancé par l'elfe était très efficace, car elle se retrouva complétement figée. Par on ne sait quel miracle, son familier était sauf, et se mit à la marteler à la figure avec son bec. Elle aurait préféré ne rien sentir, mais elle réussit à se remettre à bouger, à parler, et à... crier dans sa tête contre son familier :
"Idiot ! Tu m'as défigurée, ! Tu es incompétent, bon-à-rien !"
Son familier préféra se taire contre ses insultes. à la fin, Aline en eût marre et se tut à son tour.
"Qu'est-ce qu'on fait ?" demanda-t-elle à Tomy.
"Je ne sais pas. Je fais pic-pic-pic aux méchants ?"
"Pour les réveiller ?"
Sa question resta sans réponse, car elle ne sait pourquoi elle tomba. La porte s'ouvrit, et elle ne devait pas être belle à voir, ses cheveux lui tombant dans le visage. Elle retint de justesse sa jupe noire qui voulait rester en l'air.
"Tu passera pour un monstre, je pense !" lui dit Tomy.
Mais Aline n'était pas d'humeur à plaisanter.

Il ne restait plus que trois scientifique en blouse blanche contre aline qui venait d'arriver, Sieur Kento et Sibby.On ne pouvaiy compter Sai puisqu'il était groggy et était attaché en plus de ça. Trois contre trois, c'était a peu près équitable. Enfin sa l'aurait été si deux du camps des "gentils" n'était pas des enfants. Contre des adultes vampyrs ça allait être difficile de les battres. Sai qui avait quitté le pays des pommes (désoler j'ai pas trouvé mieux) regara autour de lui d'un oeil faible et fratigué. Il aurait bien voulu briser ses chaines et sauter hors de la table froide du laboratoire pour venir les aiders. Malheuresement il ne pouvait rien faire a parts observer et attendre. Un des scientifique observa d'un oeil critique la nouvelle venu. Tss, encore une imbécile voulant aier une personne qui ne devait absolument pas être sauvé, pour le bien d'AutreMonde et de la science.

- Ce laboratoire n'est pas un moulin, repartez ou mourrez !

Il n'attendit pas la réponse que déjà il attaquait de nouveau. Il envoya plusieurs carbonus sur eux mais seulement un atteignit sa cible.Celui-ci n'était pas grieement blessé mais assez pour que ses mouvement soit plus douloureux. Sai ferma un instant les yeux et murmura quelque parole dencouragement.

- Vous pouvez... y arriver. Courage...

Une autre jeune fille était arrivé pour les aider : pas plus agée que Sibby. Sibby commençait sérieusement à fatiguer. Le Pocus paralysant qu'elle avait incanté l'avais déjà un peu fatigué et elle se vidait peu à peu de son énergie. Il fallait qu'elle tente une offensive et maintenant si elle ne voulait tomber de fatigue et risquer de se faire tuer. Pendant qu'elle réfléchissait l'un des hommes incanta un Carbonus qui toucha Sibby au bras. Celle ci poussa un cri de souffrance, mais ne s'arrêta pas pour autant. Elle continuait à esquiver les multiples attaques des adultes en tenant son bras fermement comme pour étouffer la douleur. Elle pris du courage, ce concentrat une fois de plus.
-Par le Carbonus que cette maison brûle afin que les gens dedans brûlent ! incanta t-elle en utilisant les dernières forces qu'ils lui restaient.
Elle toucha l'un des trois qui restait, celui-ci s'éfondrat. Elle savait qu'elle ne l'avait pas tuer, juste assomer pour maximum une demi-heure, son jet de magie n'avait pas était assez puissant. Sibby n'en pouvait plus, elle sentait peu à peu la fatigue la submerjer et ses yeux se fermaient, malgré tout elle lutta. Elle serrait sa plaie, elle espèrait que la douleur la maintiendrait éveillée. Luttant contre la douleur, elle s'éforça à continuer d'esquiver les multiples attaques des deux hommes qui restaient. Elle se parlait à elle même:
-Ca va aller ... Ca va aller ... se répétait elle sans cesse.
Elle remarqua que sa main était immaculé de sang, Sibby avait beaucoup de mal à supporter la vue de SON sang tout particulièrement. Elle se reconcentra sur ses mouvement et essaya d'oublier la douleur de sa plaie et le sang qui en coulait.

Sai avait murmuré des paroles d'encouragement, et le carbonus lancé semblait très efficace. Elle n'aimait pas activer sa magie, car on voyait qu'elle n'était qu'à deux milles points, ce qui lui semblait ridicule. Mais là, elle n'avait pas le choix elle cria :
- Par le Rigidifus, que cet individu qui tue sois immédiatement transformé en statue !
(Ce que je suis original, avec le grimoire aux sortilèges !)
Malheureusement, cela ne marcha pas. Mince, c'est vrai, il ne tuait pas mais faisait souffrir ! Elle recommença :
- Par le Rigidifus, que cet individu têtu sois immédiatement transformé en statue !
Mais cela ne marcha pas non plus, si ce n'est qu'elle souffrait énormément. Son familier piquait les têtes des laborantins, il allait se faire attraper ! Mais têtu comme une mule, il faisait exprès de se sacrifier au combat pour la ridiculiser ! Elle décida d'hurler de toutes ses forces et plus :
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
Cela destabilisa les laborantins, qui lâchèrent leur attention. Elle pensa : "Vas-y l'elfe !" en espérant qu'elle profiterait de la stupéfaction des adversaires pour combattre.

La jeune fille incanta à son tour :
- Par le Rigidifus, que cet individu qui tue sois immédiatement transformé en statue !
Mais celà ne marcha pas. Elle retentat donc une seconde fois :
- Par le Rigidifus, que cet individu têtu sois immédiatement transformé en statue !
Mais sa deuxième tentative échoua à son tour. Elle avait aussi l'air de souffrir. Un petit oiseau piqué des tête au laboratin, ce qui semblait les énervaient plus que tout. Il évitait avec agilité leur tentative de l'attraper.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
Les "chirurgiens" semblaient totalement déstabilisé et se retournèrent tous vers la jeune fille. C'est alors que Sibby comprit ce qu'elle avait essayé de faire. Il fallait agir vite et avec précision. Elle puisa au fond d'elle les toute dernière ressource qui lui resté, tout ce temps passait dans les livres avait fini par payer, et elle avait plus se surpasser dans une vrai situation comme celle ci. Il en restait juste deux... juste deux encore capable de se battre. Elle serra les dents et incanta :
-Par le Carbonus que cette maison brûle afin que les gens dedans brûlent !
Elle savait que c'était son dernier coup et qu'après elle ne pourrait plus les aider. Elle était beaucoup trop épuisée à présent. Les deux laborintins prirent le coup de plein fouet, et c'est avec une vision troublée que Sibby vut les deux laboratins s'éffondré au sol, juste avant de tomber de fatigue à son tour.

Sieur Kento abandonna sa position de combat pour une plus décontractée, sans éteindre sa magie complétement. On ne sait jamais... Il jeta un regard méfiant autour de lui. L'une des têtes annonça :

-Je crois que c'est bon. Puis il incanta : Par le Levitus que ces fous décollent et que sans problème ils volent !

Les cinq corps inanimés des vampyrs fous (enfin, c'était ainsi que les voyaient Sieur Kento. Ils avaient sûrement leurs raisons) décollèrent et lévitèrent jusqu'à tous se poser par terre. Puis le Tatris incanta de nouveau et des cordes jaillirent de nulle part, ligotant les vampyrs sans ménagement. Puis il s'approcha de l'autre vampyr dont il ne se souvenait toujours pas du nom et incanta une dernière fois, pour l'elfe dans les pommes et le vampyr mal en point (décidément la magie c'est bien pratique) :

Par le Reparus, que la douleur s'éteigne et que jamais plus la victime ne geigne !

Jamais plus, c'était trop espérer, mais Kento aimait que ses incantations soient recherchées et riment. Une question de dignité. Quand tout fut à peu prés remit en ordre, il balaya la salle du regard. Ca ressemblait bien à un laboratoire, et, s'il n'aurait pas su ce qui s'y passait, il aurait pu croire que tout était parfaitement normal. Mis à part le fait que, de l'extérieur, on aurait dit un vieux hangar totalement abandonné.

L'elfe les avaient tous mis K.O. et le tatris les avaient ligotés tous et "réparé" Sai. Elle s'approcha de lui en regardant s'il allait bien, même si ce ne devait pas être la grande forme pour lui, posant la question existentielle numéro un avec "quand est-ce qu'on mange ?" :
- ça... ça va ?
Elle balayait la salle du regard, apercevant enfin l'elfe évanouie. La pauvre ! Elle s'était épuisée en incantant (tandis qu'elle elle n'avait presque rien fait à part casser les oreilles des personnes à un kilomètre à la ronde) ! Elle oublia d'un coup Sai et s'intéressa alors à l'elfe dont elle ignorait encore le nom :
- Par le Réveillus, on se réveille en plus qu'on arrête la veille !
Elle espérait très fort que cela marcherait. Si cela marchait plus que le Rigidifus sur les laborantins, elle devrait se remettre sur pied.

- Par le Réveillus, on se réveille en plus qu'on arrête la veille !
La jeune elfe ouvrit difficilement les yeux. Elle ne sentait plus la blessure que lui avait infligé l'un des laborantins et lorsqu'elle passa sa main sur son bras, la blessure semblait avoir disparue. Le Tatris ou la jeune fille lui avait surement appliquer un Reparus. Elle redressa lentement et regarda la jeune fille qui se trouvait près d'elle. Sibby lui fit un sourire rassurant. Elle sentit alors sa gorge la bruler. Elle avait soif ... Malheureusement elle n'avait pas d'eau sur elle. Elle observa le laboratoire : plutôt petit pour un laboratoire... En tout cas, si Sibby n'avait pas entendu ses cris, elle n'aurait jamais deviné que dans ce vieux hangar délabré se trouvait le laboratoire de cinq vampyrs fou furieux. Le vampyr se trouvant sur la "table d'opération" avait l'air d'aller mieux. Elle regarda la Tatris puis la jeune fille et dit d'une petite voie :
-Merci ...

Sai sentit la douleur disparaitre, il sentit ses blessure se refermer et la tristesse et a peur envaillir son coeur. Il voulait tellement que tout ceci ne soit qu'un cauchemar, que les scientifique soit bien mort et qu'il vive sa vie comme avant. Il vouait qu'on le prend dans ses bras, lqu'on le berçe e qu'on lui dise des mots encouragent, des mott doux. Un peu comme une mère, comme la mère qui n'avait jamais eu. Sai, toutefois, ne pleura pas. Comme d'habitude il essayait au maximum de ne pas montrer ses sentiments. Il chasse les vilaine pensé de son cerveaux pour réfléchir a sa situation. Il était toujours attaché et il ne savait pas qui était ses sauveurs. Se n'était pas des sangrave ça c'est sur, deux des personna présente était familière au vampyr. Pourtant il n'arrivait pas a donner des noms a ses personnes. Mais le plus grave était la disparition dans son coeur de son familier. Etiat-il mort ? Les scientifique l'avaitt-il cacher ?

- Qui êtes vous ? Où est mon familier ?

Les " merci de m'avoir sauvé" c'était pour plus tard. Les questions d'abord.

La jeune elfe se réveillait après le sort que lui avait lancé une sortcelière dont il ignorait le nom, comme toutes les personnes présentes dans le "laboratoire". Salle de torture, plutôt. Puis le vampyr torturé posa une question. Sieur Kento se retint de grimacer. Quoi, même pas un merci, rien ? Il n'osait pas imaginer dans quel état il serait s'ils n'auraient pas été là, tous les trois. Mais bon, après tout, il avait l'air mal en point. Non, il était mal en point, mais il faisait tout de ne pas le montrer. Ce qu'il arrivait plutôt bien. Il devait avoir l'habitude.

Quand il entendit la question, le Tatris ne fut pas surprit. Il répondit :

-Tiens, c'est justement ce que nous allions vous demander. Vous nous semblez familier, mais... impossible de nous rappeler de votre nom, jeune vampyr. Pour notre part nous nous nommons Sieur Kento...

Le "nous", ce n'était pas parce que le Tatris était snob (ce qui était tout de même vrai), c'était juste parce qu'ils étaient deux. C'était une caractéristique particulière de Kento. Quand l'un était en colère contre l'autre, il parlait en son nom en disant "je", et le reste du temps il disait "nous". Idem pour l'autre tête, elles avaient toutes les deux adopté cette manie.

-Quant à votre Familier, nous n'en avons aucune idée. De quel espèce fait-il partie ? Il est peut-être ici.

Sai était loin d'être bête, et il savait parfaitement se servir de ses pouvoir pour reconnaitre la race d'une personne. L'inconnu était donc un tatris, le vampy réfléchit un instant. Il avait déjà rencontrer un tatris dans le passé, non ? Oui, c'est ça c'était lui le tatris de l'autre fois. Sai était très en colère se jours là, on avait brpuler une bonne partit de son territoire ainsi que ses futur repas. Heuresement, grâce a la magie il aviat pus récuperer "ses terres". Bref, il connaisait déjà l'identité d'une des personnes c'était déjà un bon point. Sai prit uen voix avec plus ou moins d'assurance pour répondre a Sieur Kento.

- Je suis Sai... Sai Niwa. Je croit me souvenir de vous, votre odeur m'es familière. Ce n'est pas vous qui m'avait aider a récuperer mon territoire après qu'il n'est était brûler. Oui, c'est ça je ne me... trompe pas. Sieur Kento pouvez-vous me détacher ? La clef et ...surement dans les poche d'un des scientifiques.

Sai était encore faible malgrès le reparus qui lui avait été lançé, mais il sans ficher le principal était de retrouver Roko. Et cette douleur qui était toujours là de plus en plus puissante, comme si le familer étiat en train d'agoniser dans un coin de la salle.

-Mon familier est un Kroa, il fait que je le retrouve et au plus vite. Je sans qu'il...Qu'il lui arrive quelque chose. Il est peut-être déjà trop tard. Je vous en prit aider moi...

Sai commença par se débattre violement, tellement qu'il se blessa les poingnet sur le fer d'Hymlia. Il allait devenir fou si il retiat ainsi sans savoir le nom de ceux qui l'entouré et la situation de son doux familier bleu et noir. Une larmes coula de sa joue pâle.

Le tatris avait ligoté les laborantins et avait répondu à la question posée par le vampyr :
-Tiens, c'est justement ce que nous allions vous demander. Vous nous semblez familier, mais... impossible de nous rappeler de votre nom, jeune vampyr. Pour notre part nous nous nommons Sieur Kento...
Le vampyr répondit à son tour :
- Je suis Sai... Sai Niwa. Je croit me souvenir de vous, votre odeur m'es familière. Ce n'est pas vous qui m'avait aider a récuperer mon territoire après qu'il n'est était brûler. Oui, c'est ça je ne me... trompe pas. Sieur Kento pouvez-vous me détacher ? La clef et ...surement dans les poche d'un des scientifiques.
Alors comme ça il s'appelait Sai Niwa et le tratris se nommait Sieur Kento.
Sibby se releva et vint se mettre à côté du jeune vampyr et essaya de l'apaiser.
-Sibby, je suis Sibby et le reste n'est pas important. Calmez vous ... Nous vous libérerons et vous pourrez retrouver votre familier... lui dit-elle de la sa voie la plus apaisante.
Le lien entre le vampyr et son familier la fascinait. Il en devenait presque fou de savoir son familier en danger. C'étais à la fois fascinant et effrayant. Maintenant elle n'avait qu'une envie : quitter cet horrible endroit et rentrer dans sa petite chambre, voir même rentrer au Lancovit au moin là bas, elle se sentait en sécurité. La jeune elfe n'était pas du genre bavarde, loin de là. Et quand elle osait ce confier à quelqu'un c'était quand elle avait vraiment confiance en la personne concernait. Elle détestait laisser parraitre ce qu'elle ressent.
C'est alors qu'elle vis couler sur la joue du vampyr une larme.
-Sieur Kento ? Pouvez vous aller voir, comme l'a dit Sai, si l'un des scientifiques à la clès s'il vous plait ? demanda poliment Sibby.
Il ne fallait pas qu'ils restent ici trop longtemps. Si les fou furieux venaient à reprendre concience plus vite que prévu ça pourrait mal se finir pour eux. Ce n'est pas parce qu'ils avaient gagné une fois qu'il gagneraient une seconde fois.
Sibby se mit alors a chercher ce fameux Kroa. Elle regardait dans les genres d'armoires cabossé puis sur la table où était posé de multiple objets de torture (ça ne pouvait s'appeler autrement).

Aline emboîta le pas à sieur Kento et fouilla toutes les poches des scientifiques. Aucune trace de clé. Flûte, où serait-elle ? Par terre ? Aucune trace de la clé. Elle s'affola, quand son familier lui fit les yeux d'ange en les lui présentant.
"Où l'as-tu trouvé ?" lui demanda-t-elle.
"T'occupe" lui répondit Tomy.
Elle demanda alors :
- Je les ai, mais où est-il ?
Elle ne voyait Roko nulle part. Il pouvait être dehors, mais elle n'allait pas chercher dehors sans que les autres aient regardé, car elle était déjà distraite quand il s'agissait de trouver quelque chose à elle (son stylo, ses clés, son carnet...), alors pour les affaires de quelqu'un d'autre...

La jeune fille avait apparament trouvé les clés.
- Je les ai, mais où est-il ?
Celà faisait à présent un certain temps que Sibby cherchait après ce Kroa. Et elle commençait sincerement à désesperer. Elle se demandait aussi quand pourrait elle enfin rentrer chez elle au Lancovit. Elle fouillait les armoires et les tout les tirroir du vieil hangar, elle découvrait à la fin des des oultits tous plus effrayant les uns que les autres et elle ne préférait pas imaginer ce qu'aurait subit le pauvre vampyr si ils n'étaient pas arrivé pour le sauver.
Elles continuait a fouiller les armoires les unes après les autres. Le temps passait vite et ils devaient se dêpecher à retrouver ce fichu Kroa. Les savants fous n'allaient pas tarder à se réveiller.
- Mais où se trouve ce fichu Kroa ?! Il faut partir avant qu'ils se réveillent ! ajouta Sibby d'une voie paniquée.
Elle devait ce calmer : inspire, expire, inspire , expire. Elle avait lu cette technique de détente dans un livre terrien, mais apparament celà ne changea pas grand chose.

Roko finit par reprendre contact avec son sortcelier vampyr, au début Sai avat du mal à le croire mais la surprise fit vite place a la joie. Il demanda aussitôt où il était et si il allait bien, le familier Kroa lui envoya l'image d'une cage au fond de la pièce derrière une armoire. Sai se débattit encore plus mais cette fois avec le sourire au lèvre, il était en vie ! Roko avait été arraché a son maître dès le début, on l'avait lançé violement dans la cage sans se préocuppé de lui. Le choc fut si brutal que la pauvre bête tomba dans le monde des songe. La tête de l'animal était en sang, le vampyr prit peur. Sai se mit alors a parler d'une vois remplie de peur et de terreur:

- Il est là, derrière l'amoire au fond de la salle, Sibby, Sieur Kento ! Faite quelque chose, il saigne !

Sai tenta de se calmer, ils allaient le retrouvé et le soigner.

* Tout va bien. Je suis sauvé, Roko et sauvé. Les scientifiques sont vaincus et je prendrais va revanche plus tard. Je doit d'abord être liberer.

- Il est là, derrière l'amoire au fond de la salle, Sibby, Sieur Kento ! Faite quelque chose, il saigne !
Sibby regardait l'armoire. Elle était grande et avait l'air lourde. Elle se doutait que sa magie ne pourrait la soulever assez de temps pour la déplacer complétement, celà pourrait finir en accident et quelqu'un pourrait se faire écrasé. Sibby essaya de tirait l'armoire vers elle, elle eu tout juste la place pour passer son poignet extrémement fin. Elle sentait le métal des barreaux de la cage. Elle y allait en tatonnant délicatement la cage pour trouver le verrou. C'est alors qu'elle le trouva et dévérouilla la cage.
-Je l'ai ...
Elle priait pour que le Kroa se laisse faire et qu'il monte délicatement sur la main de Sibby, celà lui éviterait de devoir l'attraper et de risquait de lui faire mal.
-Viens s'il te plait ... Je ne te ferai rien ... dit elle d'une voie suppliante.
Mais rien n'y fit, le Kroa ne voulait pas bouger surement effrayer par cette inconnue. Sibby l'attrapa en évitant de trop serrée et l'enferma un creu de ses mains. Elle enleva délicatement sa main du dessus et lui applica un Reparus. Elle s'approcha alors du vampyr et déposa son Kroa près de lui.
-Arrêtez de vous débattre maintenant ... Vos poignets sont en sang. Calmez vous ... Mais il faut qu'on partent maintenant ! Ils ne tarderont pas à se réveiller !

Le kroa avait enfin était retrouvé, mais il leur fallait partir, tous. Les scientifiques allaient se réveiller d'un moment à l'autre, et il ne fallait surtout pas qu'ils rejoignent leur chemin, ils avaient gagné une bataille, mais n'en gagnerait pas une deuxième. Aline regarda la pauvre kroa, puis prit le chemin de la sortie. Brusquement elle se retourna, et pensa à voix haute :
- Si on part, les scienfitiques (elle bégayait), ils vont vouloir le reprendre, et ce ne sera jamais fini pour Sai. Il faudrait le mettre hors état de nuire pour longtemps, mais comment ?
Elle n'avait pas la réponse, mais espérait que les autres l'auraient.

-Merci, Sibby. Merci a tous.

Aline libérale le pauvre Sai. Aussitôt après le vampyr attrapa le Kroa est le serra contre son torce ou plutôt contre son coeur. Il murmura quelques paroles incompréhensibles pour le monde autour de lui. Sai posa Roko sur son épaule heureux et soulager de le retrouvé puis se mit debout sur la table avant de sauté sur le sol. Bizarre il se sentait plus léger voir même plus... fort.

*Que m'arrive t-il ?*

Sai secoua la tête puis se rapprocha de Aline, sa voix, il avait reconnu sa voix. La simpatique et curieuse jeune fille était là devant lui. Le soldat presque parfait ne pensait pas la revoir dans un endroit pareille. Il écouta la question d'Aline mais ne trouva aucune réponse. Et puis de toute façon il ne se sentait pas incapable de réfléchir pour le moment.