Ethan James Creed

     Ethan J. Creed

     Don’t trust anybody, life is safer that way.

Derrière l'écran

    Prénom (ou pseudo) : Olivia

    Âge : 17

    Avez-vous lu les Tara Duncan ? Si oui, quels tomes ? Bien sûr ! Tous, sauf le dernier haha

    Vos activités préférées :Le badminton, la harpe, le dessin, le glandage et le trio manger/dormir/geeker, galérer mais s'amuser sur un cosplay d'Akali BM...

    Vos groupes/artistes de musique préférés : Paramore, ONE OK ROCK, Lana Del Rey, X Ambassadors, Dotan, U2...

    Vos livres/auteurs préférés : Licia Troisi et Alain Damasio sont mes favoris, Ken Akamatsu (mon dieu), les Tara Duncan, Harry Potter, Hunger Games, Pierre Bottero, Divergente (uniquement en livre) La Guerre des Elfes et pleins d'autre hélas...

    Vos films/réalisateurs/acteurs/séries préférés : Horns, Tron, Twilight (+ Mords moi sans hésitation), Hunger Games, Orange is the New Black, Arrow, Game of Thrones, Impastor, pleins d'animes (SAO, DanMAchi, Gatchaman, Inu to hasami wa tsukaiyou, Tokyo Ghoul, Working, Gangsta, GATE, God Eater, Overlord, Prinson School, SHOKUGEKI NO SOMA, Rokka no Yuusha...) et tellement d'autre que j'ai la flemme d'attraper mon disque dur pour les citer...  

    Où habitez-vous ? (Simplement dire le pays.) Sur une île perdue :D

    Ce que vous préférez dans les forums : Tout *w*

    Est-ce votre premier forum ? Du coup non :3

     

Votre Personnage

    Nom(s) : Creed

    Prénom(s) : Ethan, James

    Surnom(s) : Ethy

    Sexe : Masculin

    Orientation Sexuelle : Aime les études :D

    Race(s) : Humain

    Âge du personnage : 15

    Métier : Etudiant en TS

    Niveau de magie : Élevé (bien qu'Ethan n'en ai pas conscience pour le moment)

    Niveau de combat :Normal

    Familier : Réponse

    Histoire :
« Ethan, mon petit cœur, maman va te raconter une histoire…

C’est l’histoire d’une sorcière, une gentille sorcière, qui vit dans un monde différent, un autre monde. Ses parents aussi étaient deux sorciers, qui s’aimaient beaucoup, ils vivaient dans un petit pays, le Lac-aux-vies, et menaient une existence paisible, avec leurs deux enfants jumeaux. L’ainée, une fille, a développé une puissante magie très tôt, alors que l’autre, son frère, n’a jamais montré une quelconque aptitude magique. Lorsqu’il compris qu’il n’aurait jamais de pouvoir comme les autres sorciers, il jalousa et détesta sa sœur, terriblement blessé de ce qu’il considérait comme un handicap. Elle se senti mise de côté, moquée, mais ne se plaignait jamais, car elle savait que son frère était mal, à cause d’elle, et s’en sentait coupable. Les deux enfants grandirent, sans développer la complicité et l’amitié qui caractérisent les jumeaux, et lorsqu’il fut assez âgé, le frère parti de la maison familiale, en quête d’un moyen d’acquérir du pouvoir, et de l’importance, peu importe le prix. Bien sûr, il trouva la personne qui lui permit d’accomplir cela, un méchant sorcier très très puissant, qu’il ne faut pas fréquenter. Alors le frère de la petite sorcière changea de tout au tout, il devint mauvais. Face à son choix, elle éprouva le désir de s’éloigner de ce monde et de ses conflits, beaucoup trop important, et traversa les mondes. Elle s’établit sur Terre, et elle trouva la paix après de longues années : elle rencontra l’amour, mais ne parvint jamais à oublier son acte. Une lumière éclaira sa triste vie, son enfant, qu’elle chérit comme elle put. Personne ne savait pour son secret, son origine, et elle espérait que son fils n’apprendrait jamais la vérité, de peur qu’il ne désire s’aventurer dans ce monde dangereux.

Mais dors et oublie tout ça pour l’instant, mon chéri, cela ne te sers à rien… Cependant n’oublie jamais : tout est vrai, crois en l'invisible et l'infini, dépasse les frontières du réel, mon fils. »

Le lendemain, ma mère était partie. J’avais neuf ans.

Je ne peux expliquer ses raisons, elle n’a laissé qu’une note, destinée à mon père et moi : « Je vous aime fort, essayez de me pardonner… Kathya. »

Et même cela, nous n’avons pas compris sur le coup, qui était Kathya ? Ma mère s’appelait pourtant Elizabeth, enfin, c’est ce qu’elle avait toujours prétendu. Elle nous avait donc menti, à mon père, son amour, et son fils, et pourtant nous n’avons jamais pu apprendre la vérité sur son compte, bien que l’on ait fait appel au gouvernement pour la chercher, car elle semblait avoir disparu de la surface de la terre… Il a donc fallu faire comme si elle n’avait jamais existé, répondre aux questions gênantes des connaissances : « Mais où est passé ta femme ? », « Comment Ethan le prend-t-il ? », des questions aux réponses aussi évidentes qu’inutiles.

J’étais mal, j’aimais fort ma mère, et elle m’avait abandonné.
Lui pardonner ? Jamais.

Cependant, plutôt que de m’enfermer sur ma peine, j’ai préféré trouver un moyen efficace d’oublier : travailler et apprendre. Je me suis découvert une passion pour l’archéologie, j’ai lu des ouvrages d’éminents professeurs dès mes 10 ans, et j’ai voulu tout savoir sur ce domaine, si bien qu’à l’âge de 13 ans je maîtrisait le grec ancien à la perfection, je connaissais les bases du latin, l’histoire par cœur, surtout la période préhistorique, et chaque secret de géologie… Oui, la perte de ma mère m’avait transformé en génie, il m’était facile de mémoriser ce qui me plaisait, et j’avais un but : je désirais ardûment, du haut de mes trois pommes, un prix Nobel, de pair avec mon doctorat d’archéologie. Ma passion m’animait, sans elle je ne serais qu’un corps sans vie, trop blessé par ma mère, les dépressions de mon père qui l’avait conduit à l’état d’alcoolique et à sa maladie. Au moins, lui était là, même si ce n’était qu’à moitié, et, entre deux phases d’ivresse, il me disait : « Fonce, fils, réalise tes rêves, ne finit pas comme le vieux déchet que je suis », ou des phrases du genre…

Le fait est que j’ai sauté trois classes, et que je me trouve actuellement en terminale S dans un lycée français situé au Sud de l’Angleterre, dans la ville de Torbay, alors que je n’ai que quinze ans. Les autres m’appellent le petit génie, l’intello ou le fou, mais peu m’importe, je me concentre uniquement sur mon but…mon rêve.

Ou pas.

Evidement avec ce genre de vie, un mal n’arrive jamais seul. J’hésite à penser que je suis complètement dingue, ou que c’est le monde autour de moi qui l’est, parce que j’ai vu ce que les romans fantastiques appellent la magie. Ou je l’ai rêvé, je suis incapable de faire la part du réel... Le fait est que cela m’a réellement marqué, presque autant que le départ de ma mère !

C’était lors d’une sortie pédagogique en seconde, nous étions au Science Museum de Londres, et comme d’habitude…je m’étais perdu sur le chemin du retour vers le bus (no comment please). Ne me demandez pas comment j’ai pu m’éloigner d’un groupe de trente personnes, je n’en ai aucune idée !!

Le fait est que je me suis retrouvé devant un bar au nom bizarre, et qu’un drôle de gars en gris est passé à travers la fenêtre en vitrail coloré à la manière d’un personnage de western…assez marrant à raconter, plutôt flippant à vivre ! Il s’est relevé et ses attaquants l’ont rejoint, et lui ont balancé des jais de feu et d’autres trucs que je ne pouvais identifier. Tout mon être me criait : « Cours ! », mais j’étais fasciné par la scène, il s’agissait de magie ! En plein cœur de Londres ! Je me suis caché au coin d’un mur, et ait continué d’observer le combat hors normes…pendant plus de vingt minutes…et j’ai perdu toute notion du temps. Mais l’explosion qui clôtura l’affrontement que fit détaler… Une fois bien éloigné, je fis un point sur la situation : j’avais été témoins d’un combat magique ! Ou j’avais pris beaucoup de drogue sans m’en apercevoir, qui sait… Par miracle, un professeur m’a trouvé, sermonné, et reconduit au bus, sans comprendre mon état de choc.

C’est ainsi que j’en devins presque fou intérieurement, moi, un scientifique, venait de voir le monde physique chamboulé par l’apparition d’une force qui n’apparaissait que dans l’imaginaire des hommes…de quoi remettre en question notre existence même ! J’ai eu le malheur d’en parler à mon père et à un ami…le premier m’a envoyé chez le psy, et le deuxième m’a fait passer aux yeux de tout le lycée pour un fou… Plus jamais je n’ai évoqué cela, et j’ai changé d’école…

Coïncidence ou pas, alors que je m’étais juré de ne plus jamais penser à l’événement…nous avons emménagé à Torbay,  où une légende urbaine raconte qu’une sirène longe les grandes plages du sud de la ville…


    Description physique :
Je me réveille en sursaut. Mon portable a du sonner, mais je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est. Je me redresse sur un coude, en me frottant les yeux, encore endormis, et regarde l’heure.


Je me rallonge en grognant : aujourd’hui non plus, pas de grasse matinée. C’est pourtant dimanche.

J’en ai vraiment marre, à chaque fois c’est la même chose, j’ai une sorte d’horloge interne depuis la rentrée, c’est désespérant. Je prends un bouquin pour passer le temps, jusqu’à 9h à peu près. L’heure tourne rapidement, et j’ouvre les volets de ma porte fenêtre. Une intense lumière baigne immédiatement ma chambre, je savoure l’instant. C’est rare de pouvoir profiter d’un ciel aussi bleu, et d’un temps si clément, surtout sur la côte… Décidé à prendre mon café dehors, sur la terrasse, pour faire le plein d’oméga 3, je retourne à l’intérieur, et en profite pour enfiler quelque chose d’un peu plus chaud que mon mince pantalon de pyjama. Comme souvent, en passant devant le miroir de mon armoire, je m’observe. Pas parce que je me contemple, mais plutôt parce que j’attends de voir mes traits juvéniles laisser place à un aspect plus âgé. Enfin, je ne m’en plains pas non plus…

A vrai dire, j’aime bien l’enfant que je suis, et quelque part, on voit sur mon visage que tout n’est pas facile, la maturité précoce a durci mes traits, je dois l’avouer, le psy disais que ça se voyait aussi dans mes yeux noisette… Je passe une main dans ma crinière rebelle, en remerciant ma mère d’avoir eu des cheveux lisse et fin, et mon père de m’avoir fait hériter de la couleur des Creed, l’or. Je ne voulais pas ressembler à ma mère, je voulais l’effacer de ma vie… Cependant j’ai sa carrure : je suis mince et élancé, contrairement à mon père qui est une armoire à glace, et j’espère atteindre un jour son 1m80…mais j’ai bon espoir je suis déjà assez grand pour mon âge (environ 1m70). Je n’aime pas, mais alors vraiment pas, le sport, je vais courir quand il fait beau, mais ça s’arrête là, d’autant plus que j’ai un problème au cœur… La joie de vivre ! Par contre, qu’est-ce que j’apprécie de m’allonger au soleil, bras tendus, pour absorber un maximum d’oméga 3…et ma peau en témoigne car elle aborde un léger ton doré pas trop moche. Mon visage est caractérisé par quelques grains de beauté, d’un nez légèrement retroussé, et de hautes pommettes.

Je me détourne du miroir. Aller, allons prendre ce café.


    Description mentale :
Les gars, honnêtement, vous n’allez pas me supporter.

Je m’appelle Ethan James Creed, j’ai 15 ans, et j’aime me sentir supérieur, alors je vous le dis cash : le prenez pas trop mal quand je vous regarde de haut, parce que ce ne sera pas la dernière fois. En plus, vous allez finir par me frapper, avec mon humour noir à deux balles, et mon ironie parfois sordide. Mais voilà, on ne change pas les gens, et je n’ai pas envie de changer. Oui, ça m’arrive de me remettre en cause, mais bon, j’aime bien ce que je suis, comment je suis. En plus, il paraît que l’air blasé, avec une tendance pour l’impassibilité totale, rend mystérieux, et c’est pas mal comme première impression…si au moins les vous voyiez ça avant mes lunettes et ma blouse de chimie. « Intello », on dirait que c’est marqué sur mon front : Oui je prépare mon avenir, ça vous dérange ? Je mets toutes les chances de mon côté pour m’assurer une vie pépère, pas vous ? Je ne vous aiderai pas.

Oui, je suis cynique, odieux, un gros batard d’après certains, parce qu’il ne passe pas ses devoirs à moins qu’il n’y ait négociation. Laissez-moi rire, vous croyez vraiment que cela me touche, toutes vos bassesses d’adolescents désespérés qui pensent que tout leur est dû. Allez voir ailleurs si j’y suis.

Sinon, parlons un peu de moi. Je tiens à préciser : je ne suis pas mégalo, juste égocentrique. J’ai des objectifs clairs, et je ne laisserai rien ni personne entraver ce chemin. Certains disent que je suis un fou obsédé par l’ambition et les études. Ils ont raison, mais mon autre obsession, celle que personne ne connaît, vient de mon expérience à Londres…où j’ai vu de mes propres yeux de la magie, et qui agit sur mon esprit comme un traumatisme…

Ma mère est une sorcelière.
Je suis un sorcelier.
Mais je ne le sais pas.



   

Votre perso est interviewé !

   « Que pensez-vous des Sangraves ? »
   Précision du language ? Ethan n'a pas encore conscience de l'existence d'Autremonde et de ses conflits. En vrai j'aimerai bien qu'il les rejoigne :D

   « Vous trouvez quelqu'un dans une très mauvaise situation qui pourrait le conduire à la mort. Vous pouvez le tirer de là, mais c'est à vos risques et périls, vous pourriez succomber vous aussi. Que faites-vous ? »
   J'observe la situation, et j'hésite. Honnêtement je ne peux répondre à moins d'avoir vécu cette situation...

   « Vous vous trouvez devant une table sur laquelle sont disposés quatre objets : une part de gâteau, un couteau, un vieux grimoire et un bijou resplendissant. Vous ne pouvez en prendre qu'un seul avec vous. Lequel choisissez-vous ? »
   Le grimoire, ça sert à faire apparaître le gâteau, le couteau et le bijou !

   « Seriez-vous capable de tuer si vous pensiez avoir de bonnes raisons de le faire ? »
   Euh...c'est quoi ces questions bizarres ? J'en sais rien j'ai 15 ans moi !

   

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