mes créas

(Je n'est fais que l'encrage du dessin ci-dessu)

Rire n'est pas qu'un beau sourire,
Rire c'est aussi s'ouvrir,
Au monde des multiples plaisirs.

Rire n'est pas qu'une impréssion,
Rire est une sensation,
De bonheur en promotion.

Rire n'est pas qu'une envie,
Rire est aussi la vie,
Quand une personne est ravie.

Rire n'est pas qu'une expression,
Rire est une partition,
Remplie de forte émotions.

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Quand je regarde par la fenêtre

Je voix tout ces êtres

Et la vie qui deffile

Les Parques et leur file

Je voix des gens déçus

Ou bien corrompus

Je m'efforce de faire des rimes

Décrivant ce film

Se déroulant sous mes yeux

Et me suis où je veux

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Poème par-ci,

Poème par-là,

Voilà ce que chante la sourisn

Quand il-n'y a plus de gros chat.

La souris aussi est poète,

Malgrès le fait qu'elle soit muette,

Le chat l'est petêtre,

Mais pas de tout son être.

Les bébés crient, les dernières flammes crépitent, les femmes pleurent. C’est un enfer, tout est détruit. Mamaoh la sage se détourne du village ravagé pour parler au villageoises et leurs enfants :
« Nos biens ont été détruit et pillés, nos maison saccagé par le feu et les hommes qui étaient restés au village nous ont été enlevé, à nous pauvres femme maintenant veuves. Il faut faire souffrir ceux qui ont fait tout cela ! Nous n’allons pas fermer les yeux devant se massacre ! »
Des hurlements d’approbation se firent entendre.
Un enfant d’apprenne quelques printemps demanda à sa mère aux yeux encore mouillé :
« - Maman où est papa, où est oncle Mirmo ?
- Loin, très loin Exwiin.
- Où ça très loin ?
- En haut, dans le ciel à nous contempler sur leur petit nuage. »

Errine s’emballa dans sa couverture et sortit de sa tente pour respirer l’aire fraiche.
Cela faisait maintenant 30 printemps que les Rescapés-de-la-terre-détruite avaient décidé de ne pas s’installé définitivement sur une nouvelle terre avant que la paix règne de nouveau.
La fillette s’assit près du feu. Elle aimait se blottir là et regarder les flammes danser tout en pensant à se quelle ferait une fois le jour levé. Errine avait à présent 15 printemps et était plus libre qu’autre fois. Elle avait atte d’avoir sa première arme et espérait que se soit une épée à double tranchants contrairement à celle de sa mère. Des pas se firent entendre et la future guerrière se précipita dans sa tente où elle s’allongea sur un matelas. Avant de s’endormir, elle se dit que demain, elle connaîtra enfin son avenir.

Les tambours résonnèrent et 4 jeunes filles s’avancèrent vers Mamaoh la sage. Celle-ci sortit de sa sacoche des os de crihin’gamo, une créature donc rien que la vue donnait envi de vomir. La vieille femme appela une des jeunes filles :
« Taänoh ! »
La fillette avança d’un pas laigé. La sage lança les ossements qui après êtres retombés ,formèrent des mots que seule Mamaoh pouvait déchiffrer, puis cria :
« Hache !»
Une femme extrêmement musclé apporta une magnifique hache. Taänoh s’empara de l’arme et caressa la fourrure qui enveloppait le manche avant de s’incliner et de rejoindre les guerrière confirmées.
« Sarillay !
Lance ! »
Une lance à la pointe bien aiguisée fut apportée.
« Killnafor !
Epée à double tranchants ! »
Une épée comme rares sont les personnes à en posséder une, fut apportée, une épée à la lame bleu et ajustée d’un saphir ovale.
« Errine !
Poignards ! »
Trois beaux poignards furent apportés sur un coussin de soie. Errine les prit avec mauvaise grâce.

Killnafor et Errine se retrouvèrent après la cérémonie. Là, Errine explosa :
« - Kill tu n’est qu’une infidèle ! Tu sais très bien que je voulais avoir l’épée à double tranchants ! En temps que meilleure amie par serment, tu aurais pus refuser l’armes et demander à se que les ossements sacrés te choisissent une autre arme ! »
- Calmes toi ! Je n’y suis pour rien si ils ont choisit pour moi l’épée à double tranchants ! Et puis tu n’es pas la seule vouloir en avoir une ! Moi aussi je voulais l’avoir !
- Tu n’es qu’une traître à notre serment !
- Tu sais quoi Err ? J’en ai plus qu’assez que tu sois la forte et moi la faible ! Je brise le serment ! »
Après avoir formulé sa dernière phrase, Killnafor tourna le dos à son ex-meilleure amie. Errine médusée, laissa couler quelques larmes avant de les essuyer. Elle n’avait jamais vu Kill en colère, c’était… bizarre.
Mamaoh l’aperçu et s’approcha d’elle :
« - Dis moi Errine Tsin’cha, que t’arrive t’il ? Tu es déçue ?
- Oui ! Mais il n’y a pas que sa ! A cause de vous et vos ossements stupides, Kill à brisé notre serment !
- C’est donc ça, les cris que j’entendais, tu t’es disputée avec Killnafor. Tu sais c’est normal de se disputer avec ses amis.
- Mais elle a brisé le serment !
- Et alors, ce n’est pas un serment qui vous relie toutes les deux. Ce sont vos ancêtres et votre amitié. »
Sur le coup la jeune fille resta sans voix. Quand elle releva ses yeux qu’elle avait baissés pour réfléchir, la vieille femme avait disparu. Elle resta sans bouger essayant de trouver un moyen de se réconcilier avec Killnafor. Elle devait s’excuser. Mais comment ? En lui disant :
« Kill je suis désolé, je n’aurais jamais dire tout ça même si je le pensais sincèrement au moment où nous nous sommes chamaillées. »
Non ce n’est pas correct. Elle devrait plutôt dire quelque chose comme :
« Kill je suis énormément navré de mettre emporté. Je t’implore de me pardonner. »
Ce n’est pas non plus ce qu’il faut dire, c’est beaucoup trop correct de la part d’Errine. Non, il faut qu’elle dise se qu’elle ressent, pas autre chose.
Alors qu’elle s’approchait de la tente où vivait Kill, elle entendit des rires. Errine avança et vit Killnafor avec Taänoh. Err comprit aussitôt que son ancienne amie l’avait déjà remplacé. A cette pensé, ses jambes cédèrent. Une fois relevé, la jeune fille se mit à courir. 2 déceptions, c’était trop lourd pour Errine. C’était la première fois que l’apprentie-guerrière était aussi déçue. Pour elle c’était comme si son cœur pesait une bonne 30ènes de kilos. Elle n’avait pas envisagé d’avoir pour arme des poignards et encore moins de se séparer de sa meilleure amie. Err en voulais aux ossements de lui avoir choisis les poignards, elle en voulait à Kill d’avoir brisé leur amitié, elle en voulait au monde entier. Elle avait l’impression que plus personnes ne l’aimait. Pas même M. et Mme. Tsin’cha qui ne lui portaient pas une grande importance.
Un grand vide se fit dans la tête de la jeune fille et tout devint flou. Un bourdonnement la torturait. C’était comme si la fin du monde approchait. Elle n’était pas sûr mais elle eu l’impression que quelqu’un l’observait. Elle se sentit basculer en arrière.

Quand Errine ouvrit les yeux, elle vit deux têtes penchées sur elle qui lui souriaient. L’adolescente tressaillie en se rendant compte qu’un des visages était celui d’Appolé, un des 4 sages du clan. Err ne l’aimait pas spécialement depuis le jour où il l’avait frappé parce qu’elle avait voulu lui dérober une de ses nombreuse amulettes. Sur le coup la fillette qu’elle était autrefois pensait qu’il n’avait pas besoin d’autant d’amulettes. Le deuxième visage était celui de la mère de Taänoh. Err voulu se relevé mais le sage l’arrêta d’un signe de la main puis lui expliqua que Madame l’avait trouvé inconsciente devant sa tente et qu’elle s’était sacrément amochée en tombant. Ce qu’il venait de lui dire était exacte car quand la gamine passa une de ses mains dans ses cheveux, elle sentit un liquide presque entièrement séché.

La blessée finit par convaincre ses hôtes de la laisser partir. Elle retourna dans sa tente. S’endormis les yeux humides et le cœur séré.

Le lendemain fut encore plus abominable que le jour des remises d’armes. La journée commença par sa première leçon du maniement des poignards. Sont professeur était un homme froid et sévère.
« -Monsieur, je suis exténuée, je peut arrêter ?
- Pas question ! Il NOUS reste encore 5 heures. répondit sèchement Janlioé Tehn’say en appuyant bien sur le « nous ».
- Et pourquoi ?
- C’est la tradition. raya l’odieux personnage.
- Je me contre fiche de la tradition, tout ce que je veux c’est finir ce cours. S’exclama courageusement Errine.

Son courage lui valu 10 couts de fouets et une humiliation générale. La punie assurerait qu’elle avait vu Killnafor et Taänoh pouffer de rire.


Cela faisait un mois qu’Errine avait reçu ses poignards. Malgré le fait que les armes soit en partie responsable de sa dispute avec Killnafor, la jeune fille commença à apprécier ses nouveaux compagnons, non seulement il n’était guère encombrant, mais on pouvait facilement les dissimuler.