Des vacances faciles?!Non.

Sujet: Des vacances faciles?!Non. Mer 30 Jan 2013 - 14:15

Nous sommes le vendredi soir et je viens de terminer mes rapports de missions. Mes professeurs m’ont dit de descendre avec le groupe 2 pour recevoir des documents. Je pris tous mes rapports et parti.
- A te voila ! Nous t’attendions. Donc je disais que vous alliez être en vacances pendant 3semaines...L’établissement nous a ordonné de vous remettre une bourse pour vous payer vos vacances. Comme certains n’ont pas beaucoup d’argent et n’ont pas de parents proches nous vous mettons à égalité...bref. C’est à vous de décider ou vous irez et vous devrez rendre un petit compte rendu de vos vacances.

Nous commençâmes a remuer dans tous les sens pour sortir.

-Attendez ! J’ai oublié de dire que ceux qui ne savent pas où aller pourrait faire une petite mission à Selenda pour rendre service, nous donnons une prime à ceux qui acceptent !!

Le groupe 2 parti en courant, me laissant seule devant le bureau des professeurs.

-Merci d’avoir accepté. Donc tu dois récupérer un document auprès d’un espion que nous avons envoyé la bas.

Il me jeta un porte monnaie rempli à craquer. Je l’attrapai doucement et remontai dans ma chambre pour faire ma valise. Je rassemblai toute mes affaires en boule et l’enfonçai mes affaires dans mon sac. Je vérifiai ensuite si je n’avais rien oublié dans ma chambre. C’est bon j’ai tout.
Bon me voila dehors je dois aller à Selenda Euh.... c’est loin ?! Je pris le chemin du transfert pour regarder où c’était sur la carte de l’entrée.

- Le départ pour Selenda s’il vous plait veuillez vous présenter devant le contrôleur[/b]

Je rentrais dans la salle et donnai l’argent nécessaire grâce à ma bourse, comme elle était pleine à craquer je la fis tomber par terre et les pièces roulèrent. Le contrôleur ferma la porte sur mon argent.

-Arg. !Mes sous !!!Attendez !

Trop tard... on était arrivé et il ne me restait plus beaucoup d’argent. Je quittai le transfert et pris un tapis volant pour m’emmener à Seborn. Au bout d’une heure je me mis à grignoter du chocolat, carreau par carreau pour économiser. Une demi-heure plus tard je n’avais plus que trois carré de chocolats. L’homme m’aida a descendre et je me retrouvais face à un petit chemin qui était plutôt mignon ...Je me mis en route vers Seborn.A la tombée de la nuit je rentrai dans une auberge.

- Bien le bonjour petite !

-Bonjour !

-Tu es toute seule ? Je ne vois pas tes parents !

-Euh...oui je suis venue seule.

-Tu veux rester manger où louer une chambre ?!

-Une chambre s’il vous plait

Elle me mit la clef sur le bord du bar. Je du me mettre sur la pointe des pieds pour l’attraper. Alala ! Franchement les grands ne pensent pas au enfants ! C’est du n’importe quoi ici ! Pff !

Je montai dans ma chambre...n°16...Trouvé.
Il y avait un grand lit avec une couette rouge bordeaux, une table et une bougie...Le plancher craquait à chaque pas. Je m’installai et descendis dans la salle à manger.

-Tiens voila le menu de la maison !
Olalaaaaa !C’est trop cher !!Je ne peux pas me payer sa ! Je rendis la carte et sorti dehors ...

Spoiler:

L'ilne feinta l'attaque du Sangrave avant même qu'il ne la touche. Elle contre-attaqua en le plaquant contre un mur. C'était dommage... L'homme ne manquait pas de style ni de technique, simplement de pratique. Quel gâchis ! S'il n'avait pas abandonné ses talents au Mal, il aurait pu faire un guerrier épatant. Le sourire de la victoire triompha sur son visage quand elle vit la lueur de détresse dans le regard de l'homme. Elle savoura cet instant puis lui trancha la gorge. Il mourut sans un bruit et s'effondra au sol comme une poupée de chiffon. Elle prit le temps de trainer le corps mou jusqu'à une bouche d’égout pour l'abandonner dans les eaux sales. Ce soir, les rats feront festin.

La grand-rue était bruyante et encombrée. Le soleil était déjà couché, mais les Lunes tardaient à se montrer. L'ilne la chercha du regard ; elles étaient cachées par les nuages. Étrangement, elle se sentait toujours mieux quand elle voyait les Lunes dans le ciel. Peut-être était-ce à cause de ses origines lupines et des légendes à ce sujet. Quoi qu'il en soit, la nuit était tombée et il se faisait tard. Il était temps de trouver un logis et une table pour souper. Elle n'avait aucune envie de dormir dehors ; les bancs de Seborn semblaient bien inconfortables. Et puis, elle n'avait aucune envie d'être dérangée par un vagabond en manque de présence féminine. Un meurtre dans la journée suffisait. C'est pourquoi elle se mit en quête d'une auberge ou d'un hôtel.

Elle retourna ses poches et, n'y trouvant aucune monnaie, elle observa les passants. Elle avisa une sirène* qui venait de la dépasser et décida qu'elle conviendrait. Avant même que l'inconnue se soit rendue compte qu'elle avait été volée, L'ilne était loin. Un regard à gauche, un autre à droite... Ouf, personne ne l'avait vue. Elle ouvrit le poing et fit le compte de son gain : il y avait là de quoi manger et dormir dans un hôtel honorable pour au moins deux personnes.

L'ilne regarda de nouveau autour d'elle. Il y avait une auberge à quelques pas de là ; l'enseigne indiquait qu'elle abritait aussi des chambres. Elle se dirigea jusqu'à la porte et vit une petite fille sortir de l'établissement. Que faisait-elle seule à cette heure ? La jeune femme s'approcha de l'enfant.

-Tu es perdue ?

* :

[Vous avez commencé sans moi !! Pour la peine gros pavé!!!! //SBAFF//]

*Flash back*

Je courrait aussi vite que je le pouvais. J'avais à mes trousses des vrirs.
J'arrivais près d'une plage. C'était parfait pour moi. Je me retourna vivement et regarda, il y avait des sorctelier et des vrir. Il faut dire que voler ce magnifique collier en or et ces quelques crédits-muts allait m'être bénéfique. Je m'apprêtait à m'enfuir quand je me fis pousser par un vrir qui me sauta dessus. Ne voulant pas voir ma mort je ferma les yeux, mais l'un des sortcelier ordonna au vrir de ne rien faire. Le vrrir se stoppa net.

-Alors ma belle, tu me rends mon collier et mon argent sinon sa va mal allé pour toi.

Dans ma tête c'était, pfff cause toujours mais ma bouche, elle, pronconca autre chose:

-Avec joie, si vous voulez bien dire à votre vrrir de s'éloigner . . .

Le sorctelier s’exécuta. Le vrrir était déjà à quelques mètres de moi, mais, il était toujours près à bondir. Le sorctelier me tandis la main, signe qu'il voulait que je lui rende le collier. Bon c'est hors de question, j’incantai un puissant téléportus sur les vrrir les envoyant les vrrir je ne sais où sur Autremonde. Qu'ils atterrissent aux Limbes, à Santivor ou même au desert de Salteren ca m'était completement égale.

Les sortceliers semblaient bluffer, bon c'est vrai, qui aurait penser à faire disparaître un vrrir . Je passa ma main dans mes cheveux et commença à chanter. Sencible à ma voix les sorcteliers avaient la bave aux lèvres et le regard vider.

- Les hommes sont beaucoup mieux quand ils ne parle pas.

Je caressa le visage d'un des deux sorcteliers et me dressa l'air sérieuse, j'incantais un sort d'effacement de mémoire puis je me mis à refléchir et sortit finalement cette phrase:

-Maintenant tapez vous la tête à reculons et disparaîssez de ma vue.

Les sortceliers s'éxecuterent, ils disparurent en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire. Loin des soucis je plongea ensuite dans l'océan

*Fin du flash back*

Voila comment j'ai obtenu ce jolie collier en or et ses quelques crédits-muts. Je passa ma main dans mes cheveux et me tourna. Il y avait une auberge. Je m'y rendis, j'eu la bonne surprise de me rendre compte qu'il me manquait des credits-muts. . . Non mais. . . Cette argent je l'avais gagné à la sueur de mon front ! Est-ce que vous savez ce que sa veut dire?? Non ??? Bah je vais vous le dire!! J'ai transpiré !!! OUi moi Leyla j'ai transpiré !! Alors ca va barder pour le voleur. Bon d'accord j'exagere, bien qu'il me reste une bonne somme d'argent encore . . . Laissez tombé ! Je me dirigea vers une servante. Quoi ?? On dit serveuse ?? Quelle est la difference ??

- Que veux-tu ma jolie???

-Je souhaiterai loger ici quelques temps . . .

-Bien alors. Monte je te rejoins en haut.

J'entendais une petite conversation, je me tourna et vis une fille bizarre et une petite fille. Oui la grande était bizarre, elle semblait étonement bourrin. Quant à la petite, elle sentais la tristesse des gens qui sont enfermé. . . Et. . . mais. . .

-Sa sent le chien ici . . .

Slurk !! J'avais dit ça à haute voix. . . L'auberge entiere me regardait maintenant.

Une dame pas très vieille, était devant moi...enfaite c’était un fille de euh...25 ans ?! (âge réel 21 ans. Mais Alice vois tout en grand...)Elle ouvrit la bouche et la referma mais je n’entendis rien tellement je la fixait
-Tu es perdue ?

-Euh...non...je suis avec ma mère et mon père...ils m’attendent dans une boutique la bas.

Je montrai une direction au hasard.

-Au revoir !
Je partis à la direction opposée de celle que j’avais montrée, en zigzagant de peur que mon plan ne marche pas. Il ne faut jamais parler aux inconnu(e)s.
Je commençai à marcher plus vite quand j’entendis :

-Sa sent le chien ici . . .

Euh...C’est elle qui a dit sa ?!Non...J’enlevai ma chaussure et sentis mon pieds. Pouaaaah !
Effectivement sa sent le chien mouillé ! Bon d’abord le casse-croute parce que je commence à avoir vraiment faim :burp ! A enfin ! Une petite boutique ! Euh ça ressemble à un bar...

-Hips !J’en r’veut Jean-Claude ! Hips ! Tournée générale pour tout le monde.
Je regardai par une fenêtre et je vis le type qui beuglais ça ,il avait un gros nez...rose, non rouge et les joues violette il était dans un sale état ,derrière, il y avait ses amis...dans le même état aussi. Bon hors de question d’y aller...J’espère qu’ils sont gentils dans les cuisines, il y a toujours une porte à l’arrière des bâtiments. Je vis des cuisinier et une femme avec un grand tablier blanc. Elle me regarda elle aussi :

-Petite, tu veux rester manger ?! Il est vrai que l’intérieur n’est pas pour toi !
Viens entre ! Il ya une table au fond de la cuisine !
Je rentrai silencieusement et grimpai le tabouret (1m20 de hauteur).Effectivement, ça se voyait que c’était le plans de travail car il y avait de la farine et du jaune d’œuf collés à la table. Pendant que je regardais combien il me restait d’argent pour payer la dame me lança :

-Tu aimes la purée et le jambon ?!Range cet argent, je n’en veux pas !Sa sentais bon... jambon....miam !

Elle arriva avec une grand assiette pleine de purée avec du jambon parsemé au dessus. Délicieux. Une fois que j’eus fini mon assiette et eu le ventre rempli je remerciai la gentille dame, mais elle semblait ne pas vouloir me laisser partir seule.

-Merci beaucoup madame ! C’était très bon !

-Tu es sure que tu ne veux pas rester ?!

-Non désolée je dois rentrer chez moi ! Au revoir et merci pour tout !
Je lui fis un signe de la main en m’éloignant. Maintenant en route vers la forêt !J’arrivais vers la forêt devant l’auberge et commençais à chercher un sapin pas très haut pour me faire une mixture qui sent bon pour mes pieds quand je revis la fille...........

L'ilne sourit à la petite fille puis lança :

-D'accord, bonsoir !

La jeune femme se retourna et entra dans l'auberge. Il régnait une bonne ambiance à l'intérieur. Ça sentait le vin et la bonne nourriture. Ce n'était pas du grand luxe, mais c'était déjà au-dessus de ce dont elle avait l'habitude. Mais ce soir, c'était différent. Elle avait de l'argent. Elle comptait bien en profiter ! Elle prendrait un bon repas et une bonne nuit de sommeil, et après, avec ce qui resterait, elle irait s'acheter un petit quelque chose. Peut-être de nouvelles flèches à son arc, certaines des siennes étaient abîmées. Ou une robe, pourquoi pas ? Elle avait envie de neuf... Vraiment, c'était une belle soirée !

Elle alla demander au comptoir s'ils pouvaient lui offrir gîte et couvert pour la nuit. Mais la serveuse, une rouquine à l’œil morne, lui répondit avec des excuses molles que tout était complet. L'ilne marmonna un «Pas grave» avant de sortir, maussade.

-Ça sent le chien ici...

Elle franchissait le pas de la porte quand cette phrase l'interpella et la fit se retourner. Comme à peu près toute l'auberge, d'ailleurs. Elle ne doutait pas que l'odeur venait d'elle, aussi décida-t-elle s'en aller rapidement, quand elle reconnut celle qui avait parlé. C'était la sirène de tout-à-l'heure ! Celle à qui elle avait volé ces crédits-mus ! Une personne normale aurait alors déguerpi le plus vite possible afin de ne pas être reconnue, mais L'ilne en fut vexée. Comment ça, le chien ? Elle n'était pas un vulgaire cabot ! Et elle ne sentait pas aussi mauvais, d'ailleurs ! Elle trouva tout d'un coup cette remarque très insultante, si bien que son ego en fut touché. En passant, elle trouvait étrange que cette sirène se promène avec des jambes et non pas avec une bulle d'eau autour des écailles comme les autres. Une originale ? Ou au contraire quelqu'un qui souhaitait se fondre dans la masse ? Quoi qu'il en soit, le flair de lycan l'avait démasquée sans problèmes. Avant de sortir pour de bon, elle se vengea en lançant d'un ton teinté de mépris :

-Ça pue la poiscaille, ici...

Vlan, dans ta face ! L'ilne referma la porte et, une fois dehors, elle se mit à courir. Elle ne tenait pas à être rattrapée par cette scrogneupluf de sirène. Fini l'hôtel, puisqu'on ne voulait pas d'elle, elle dormirait dans la forêt ! Comme au bon vieux temps, celui où elle était libre des responsabilités et des attitudes paranoïaques que lui imposait le rôle de bras droit du chef des Ombres... Elle rit en courant dans la rue. Cette soirée était non seulement belle mais aussi amusante ! Elle se perdit un peu dans les ruelles de la ville mais elle finit par arriver à la lisière. En vérité, c'était juste à côté de l'auberge ! Qu'elle était bête ! Toujours le sourire aux lèvres, elle marcha jusqu'aux grands arbres et aperçut une silhouette au pied d'un sapin.

En approchant, elle reconnut la petite fille de tout-à-l'heure. Elle comprit tout de suite que cette histoire de parents qui l'attendaient dans une boutique était du vent. La gamine semblait encore plus perdue que tout-à-l'heure. Peut-être n'était-elle pas très heureuse de la voir. L'ilne distinguait mal son expression dans la nuit.

-Tiens, re-coucou ! Tu cherches quelque chose, peut-être ?

Elle s'accroupit à sa hauteur et la regarda droit dans les yeux.

-Si tu commençais par arrêter de me mentir ?

Ce n'était pas un reproche, simplement une question pour tâter le terrain. Elle avait envie d'aider cette fillette. Peut-être parviendrait-elle à acquérir sa confiance. Elle vit les Lunes par-dessus son épaule. Oui, c'était une belle soirée...

J'étais debout, les gens me fixaient méchamment . . . . Quoi ?? Qu'avais-je dis c'est vrai que ca sentait le chien ici. Biensûr ce n'était pas une insulte pour l'auberge ainsi que son propriétaire, bah oui, c'est pas de sa faute si il y a des bêtes qui sentent le chiens ici. Dont la fille là bas là. Oh !! Mais qu'est-ce qu'elle est mal habillé !! Je n'ai jamais vu de personnes avec . . . Heu . . . *No comment*

Je passa ma main dans mes cheveux et regarda la pauvre fille. Je la toisa. Visiblement elle avait entendue ce que j'avais dis, elle semblait énérvé. C'est pourquoi elle me sortit la phrase suivante:

-Ça pue la poiscaille, ici...

Alors qu'est-ce que je disais! Il n'y a que la vérité qui blesse. Elle sait qu'elle put le chien du coup elle essaye de me clacher mais c'est rater. Sa réponse était minable, de 1 parce que moi je sais que je sans terriblement bon car je me suis parfumé à la Krouss, secondo j'en ai rien à faire, ce genre d'insulte ne m'atteint pas. J’utilisai une petite note ensorcelante sur 2elfes violets que je vis. Moi manipulatrice ?? Bof, ils étaient un peu souls je crois alors d'après vous qu'est-ce qui est mieu?? Marcher comme ci on a une seule jambe et avoir de la bave au lèvres ou bien avoir le privilège et la chance de me protéger et de me vénérer?? Bien sûr la deuxième option ! Bref, maintenant j'ai de beaux gardes du coprs.
...
Mais . .. . La lycanne avait disparu . . . A ouiiii ! Elle est partit suivre la petite qui sent le desespoire. Je m'y avança et écouta leurs petites conversations.

Dernière édition par Alice le Jeu 14 Mar 2013 - 16:33, édité 1 fois

-Tiens, re-coucou ! Tu cherches quelque chose, peut-être ?

Elle s'accroupit à ma hauteur et me regarda droit dans les yeux.

-Si tu commençais par arrêter de me mentir ?

-Euh...C’est à dire que...

Je jetai discrètement ma mixture pour les pieds dans mon dos. Je n’arrivais pas à soutenir son regard.

-Je ne vous connais pas... Vous ne me connaissez pas... Je ne suis pas du tout perdue...Bon...si...mais y’a une auberge devant ou je vais aller dormir ! Hein ?!Bonne nuit madame !

Je partis en tressaillant de peur. Elle m’avait fait vraiment peur ! Ses yeux luisaient dans le clair de lune comme ceux des chats et en plus elle me fixait.
J’avais l’impression qu’elle voulait être gentille, ne pas me faire peur mais je crois que c’est raté.
Et si... Non.... et si elle était au courant de ma mission et qu’elle voulait la faire rater...Sa allait se gâter ! Je serais renvoyé de l’école ! Aucune pension ne me prendra ! Ou en prison ! Je serai de nouveau seule mais je n’aurai plus de maison et après elle me retrouverait dans la rue !! Ah !
Je me frappai la tête pour essayer de rejeter ces horribles idées...A chaque fois je m’emballe un peu trop vite...Bon je dois garder mon sang-froid.

L’auberge était à deux pas. Heureusement parce que je voulais pas du tout rester avec la grande dame aux yeux de chats...

Je rentrai dans l’auberge et tout le monde regardait une fille et les deux hommes qui étaient derrière elle. Bizarre...J’ai l’impression d’avoir brisé un duel du regard et un gros blanc ou une dispute...Je n’en sais rien. Bon faisons comme si de rien était.
J’avançais devant tout le monde vers le barman chargé de l’hôtel. Il me donna les clefs de ma chambre je commençai à monter quand un homme se jeta sur la serveuse du bar qui appela son mari qui frappa le mauvais bonhomme et se fut une terrible pagaille! Les gens se tapaient avec des chaises en bois, les bourrés balançaient de la bière à travers la salle, les voleurs allaient dans les caves (histoire d’arranger leur fin de mois), et d'autres sauvaient leur peau.
Moi, en haut de l'escalier regardai la baston mais je perdis l'équilibre et tombai dans un tonneau de vin où il restait un fond, ce qui me mouilla et tacha de rouge homme ivre avec un gros nez rouge lança le tonneau dans lequel j’étais. Je criai de toute mes force pour que quelqu'un m'aide mais personne ne vint. La fille qui lançait des répliques à tuer était encore avec un homme...Le tonneau, en atterrisant me cogna la tête par terre.aïe. Je me retrouvai de nouveau dehors...
(pour moi leyla est dehors puisqu'elle a balancée une réplique dans l'auberge)

Sujet: Re: Des vacances faciles?!Non. Mer 13 Mar 2013 - 21:02

[Euh... Où est Leyla, au final ? Dans l'auberge ou dehors ?]

Hé ! Reviens là, toi ! Oh non, la petite a déjà filé... C'est qu'elle commence à m'agacer. Je suis quasi-certaine qu'elle ment. Bon, eh bien... Tant pis pour elle ! Elle dormira dehors, puisqu'elle y tient tant. Je veux bien l'aider, mais il y a des limites à ma patience. Je ne suis pas sa mère... Où est-elle, celle-là, d'ailleurs ? Peut-être que la fillette a fugué. Peut-être que ses parents la battent et que... Non, ce n'est pas mon problème. Qu'elle se débrouille. Ce n'est pas à moi de tenir de m'occuper des gosses des autres.

Zut... Je n'ai plus qu'à trouver une autre auberge où dormir. Je parcours les rues de la ville, mais je n'en trouve pas. Brolk ! Il n'y a donc qu'une seule auberge ouverte dans cette ville ? C'est bien ma veine, ça... J'espère que cette abrutie de sirène est partie. Je me dirige d'un pas las vers l'auberge. À force de tourner en rond dans la ville, je commence à me repérer. Ah non, c'était pas cette rue, c'était l'autre... Bon, oubliez ce que je viens de dire. Je me perds un peu puis je finis par apercevoir des lumières et à entendre des rires et des voix. Et surtout, de délicieuses effluves de nourriture. Mon estomac gargouille rien qu'en y pensant. Oh, Dieux... Qu'est-ce que j'ai faim ! J'aurais dû avaler le cadavre de ce Sangrave tout cru, au lieu de le jeter dans les égouts ! Quel gâchis ! ...Je plaisante, bien sûr. Oh, pitié, ne me regardez pas comme ça...

En approchant de l'auberge, je découvre de nouveau la petite fille. Elle est dehors, par terre, comme si elle venait de tomber. Elle a l'air de s'être fait mal... Je marche vers elle et je lui tends une main pour l'aider à se relever.

-Tu es sûre que tu ne veux pas de moi ?

J'essaie de prendre un air sympathique, mais je sais maintenant que je ne suis pas douée avec les enfants.

Sujet: Re: Des vacances faciles?!Non. Dim 17 Mar 2013 - 13:41

Je lui pris la main en tremblant pour me relever. Je me suis peut être trop méfié d’elle. Cette dame n’a pas la tête d’une kidnappeuses d’enfant ou d’un vampyr.
-Tu es sûre que tu ne veux pas de moi ?

[color=indigo]-Je suis désolée d’avoir doutée de vous, mais vous savez…Je n’ai plus de parents, ils m’avaient appris à ne pas parler aux inconnus, ne pas suivre les personnes que je ne connait pas, à rester polie quoi qu’il se passe, rester sage, cacher mon identité, éviter les rues d’Omois, et ça jusqu'à la propreté comme se laver les mains avant de manger. Ils m’ont appris tellement de choses, même si elles sont petites où insignifiantes, pour moi elles sont très importantes, et je les respecte à tout prix. Maintenant qu’ils ne sont plus là, je suis livrée à moi-même avec toutes ses règles de vie. Je les respecterai toujours. Vous êtes un cas spécial, désolée d’employer ce terme mais je n’ai rien trouvé d’autre. Donc c’est pour ça que j’ai décidé de vous faire confiance.[/color]

Je sentis des larmes couler le long de mes joues, et je baissai la tête pour ne pas qu’elle me voit pleurer. J’essuyai d’un revers de manche toutes les gouttes qui commençaient vraiment à me mouiller les pieds. Et me dirigeais vers l’auberge.

-Avez-vous mangé ? Parce que moi j’ai déjà mangé et j’ai loué une chambre dans l’auberge, vous pouvez venir y dormir maintenant, il faut qu’on arrive à l’atteindre, mais c’est la pagaille à l’intérieur !
J’ouvris la porte , 10 gardes avaient fait irruption par la porte arrière de l’auberge et étaient déjà entrain de se battre.
-Eh ! Vous là bas !Qu’est-ce que vous fichez là !L’auberge est fermé pour cause d’alcoolémie et violence !Elle a vendu trop de boissons alcoolisées à leurs clients, se qui a faillit causer la destruction du village !
Quatre gardes s’approchèrent.
[b]

Sujet: Re: Des vacances faciles?!Non. Dim 24 Mar 2013 - 15:04

Pauvre petite fille... Orpheline, battue par la vie, et si jeune déjà...

Je me surprends à m'imaginer mère. J'y ai souvent réfléchi. J'avoue qu'à première vue, ma situation n'est pas vraiment - pas du tout - idéale pour élever un enfant, mais... Ça me plairait bien. J'ai toujours voulu avoir des enfants. Oh, pas tout de suite. Un jour... Quand je me serai un peu éloignée de tout ça. Je ne sais pas vraiment quand. Mais le désir d'être mère est ancré en moi.

Je suis heureuse que la petite ait finalement confiance en moi. Elle s'est même excusée. Elle est adorable. Son histoire m'a fait de la peine... À quoi ressemblais-je, à son âge ? Elle ne doit pas avoir plus de dix ans... Je vivais encore chez le dragon. C'est l'année suivante qu'il est mort et que mon père et moi avons été transféré au palais de la Reine Rouge. C'est à partir de là que la vie a été vraiment difficile... Il arrivait à mon maître de me battre quand je faisais une bêtise, mais nous étions relativement bien traités. Ces souvenirs me font mal. Je les chasse de mon esprit. Je n'ai pas envie de penser à Papa maintenant.

Elle me demande si j'ai mangé. Elle est vraiment mignonne.

-Non, pas encore ! je lui réponds. Tant pis pour la pagaille, nos estomacs passent avant !

Elle ouvrit la porte. Wow... Quand elle a parlé de "pagaille", je n'ai pas pensé que c'était à ce point. L'auberge s'est transformée en véritable champ de bataille. Hm... Comment va-t-on pouvoir se frayer un chemin jusqu'au comptoir ? Ça risque d'être dangereux.

C'est alors que je vois quatre gardes s'approcher de nous. L'un d'eux nous interpelle :

-Eh ! Vous là bas ! Qu’est-ce que vous fichez là ! L’auberge est fermée pour cause d’alcoolémie et violence ! Elle a vendu trop de boissons alcoolisées à ses clients, ce qui a failli causer la destruction du village !

. . . D'accord. C'est sympathique, par ici... Bon sang, je ne remettrai jamais les pieds au pays des elfes ! Même pas moyen de trouver une auberge tranquille... C'est fou, ça ! Je me tourne vers la fillette - d'ailleurs, je ne connais même pas son prénom - et réponds, agacée :

-Bon, eh bien... J'imagine qu'on va devoir trouver un autre endroit où dormir.

Je lance un regard glacial au garde qui a parlé. Si, c'est de sa faute. Il n'a qu'à mieux tenir son foutu bled.

-Hrm... Bonne soirée.

Je tourne les talons, incitant la fillette à me suivre.

-Pas grave ! Tu aimes le camping ?

J'ai toujours une tente pliable sur moi. En fait, je me trimballe avec tout un tas de trucs plus ou moins utiles. C'est que c'est pratique, les poches agrandies par magie. Tout est dans mon short. Il m'a coûté cher par rapport à un vêtement normal, mais ça en vaut le coup...

Sujet: Re: Des vacances faciles?!Non. Sam 30 Mar 2013 - 15:30

-Pas grave ! Tu aimes le camping ?

-Je... je n’ai jamais fait de camping...Comment ça se passe ? On dort dehors, dans la forêt ? Et puis vous n’avez pas mangé....Au fait comment vous vous appelez, et qui êtes-vous ?
Je regardais le ciel étoilé quand je me souvins... . Zut !J’ai oublié mes affaires dans l’auberge !

-Il faut que je retourne à l’auberge !

Je courus vers l’auberge et passai par la porte arrière. Il n’y avait plus personne, mais je restai sur mes gardes. Je montai les escaliers jusqu’au couloir de ma chambre quand j’entendis des bruits...Des pilleurs, ils fouillaient les chambres désertes pour prendre l’argent et les affaires que les gens avaient laissé.
Je passai discrètement dans le couloir et regardai par la serrure de chaque porte...
Toujours rien a par des chambres dévastées. Le bruit se rapprochait... Les pilleurs devaient être à la deuxième chambre avant la mienne, je me faufilais dans ma chambre et rassemblais toutes mes affaires. Ils ne vont pas tarder a piller la chambre voisine ...vite ! Il faut que je sorte ! Trop tard ils sont déjà dans le couloir. Je chopais mon sac, ouvris la fenêtre et enjambais le garde-corps.
Je refermais la fenêtre sans fermer le loquet (de l’extérieur on ne peut pas) et avançais le plus loin possible sur le rebord en bois. le bois était un peu pourri, j’espère qu’il tiendra le coup. La bande de voleur étaient à présent dans ma chambre et je les entendais :

-Ah ! Comment ça se fait que il n’y a plus que quelques sucettes, alors que Loïs avait inspecté et dit qu’elles étaient remplies ?!

-Chef, la chambre a été vidée il y a quelques instants ! Il y a des traces de pas par terre ! Elles se dirigent par là !Euh... non ! de l’autre coté ! Zut ! T’as marché dessus ! Imbécile !

Je vais me faire repérer si ce type ne se tait pas...Pitiééééé !

-Je t’ai déjà dit qu’il fallait regarder le sens inverse des pas pour savoir où ils allaient !Mais là on ne peut plus

Ils étaient 6 et avaient une sorte de loup vert qui paraissait très gluant mais dangereux, drôle de bête...On dirait...non ! Un smurgle ! je croyais que ça n’existait que dans les histoires !A présent il y en avait un dans ma chambre...
Le smurgle commençait à flairer mon lit.

- Madame !!!dis-je en chuchotant. Madame ! Aidez moi ! Y’a 6 types et un smurgle dans ma chambre !Venez vite !
Je lui faisait de grands signes en imitant le smurgle

J'étais donc caché derrière un arbre. Après avoir longuement espionné la drôle de fille et la petite carotte (oui oui, c'est pas mal comme surnom ? ) j'avais décidé de retourner dans l'auberge en me faisant le moins remarqué possible. Je monta dans ma chambre et me coucha pénarde sur mon lit. Je me leva et constata l'état défectueux de ma longue chevelure blonde. J'étais fatigué de les avoir bouclé je décidais donc les lisser. Je sortis donc de mon sac un lisseur électrique et commença la procédure. Je leur appliqua un peu de lait de dauphin et ils furent de nouveau magnifiques, soyeux et brillants. Tant de qualité en une seule chevelure, il fallait le faire n'est-ce pas ?

Je m’apprêtait à me rendre dans le rez-de-chaussée quand j'entendis des bruits suspects. Je m'aventura du côté risqué et remarqua des gens qui voulaient volé ce qu'il y avait dans les chambres. Bien alors par honnêteté, je me fichais complètement de ce qui arriverait aux autres personnes, tout ce qui comptait c'était ce que moi je possédais. Ils s'approchèrent, je passa par une chambre et sauta par la fenêtre. Je vis alors la petite carotte. Elle disait:

- Madame !!!Madame ! Aidez moi ! Y’a 6 types et un smurgle dans ma chambre !Venez vite !

Ah c'était sa chambre. Well !! M'enfin, visiblement, la jeune femme mal habillée de toute à l'heure allait venir aider la gamine. Cool pas besoin de faire quelque chose alors. Elle semblait vouloir crier de plus belle, je lui lâcha alors en faisant tomber quelque mèches devant mon visage:

- Silence !! Tu vas nous faire repérer !!

Je suis la petite fille du regard. Cours, Forest, cours ! Elle entre dans l'auberge par la porte arrière. Je décide de l'attendre à côté de cette porte. Ça m'étonnerait qu'elle soit en danger là-dedans. Elle a juste à récupérer ses affaires. Je vérifie ma boule de cristal. Zéro nouveaux messages. Il faudrait que je pense à appeler Alex, un de ces jours. Mais pas maintenant. Bon... Qu'est-ce qu'elle fait, la petite ? Je ne lui ai pas encore demandé son prénom, d'ailleurs. Je patiente ainsi quelques minutes jusqu'à qu'une silhouette saute d'une fenêtre pour atterrir à quelques pas de moi. C'est la sirène blonde de tout-à-l'heure ! J'entends alors une autre fenêtre s'ouvrir. Je m'écarte du mur, intriguée, et vois la fillette me faire de grands signes paniqués en chuchotant :

-Madame !!! Madame ! Aidez moi ! Y’a 6 types et un smurgle dans ma chambre ! Venez vite !

Brolk ! Qu'est-ce qu'ils font là, ceux-là ? Ils sont obligés de venir nous empapaouter ? On était tranquilles... Bon, d'accord, je vole à ton secours, petite princesse en détresse ! Tu m'appelles depuis ta fenêtre, de ta minuscule chambre, de la plus haute tour de plus haut donjon des environs, gardé par un teeerrrriffiant monstre appelé SMURGLE ! Ah, mon Dieu Canard, j'en ai des frissons !

Je me rue dans l'auberge, grimpe quatre à quatre les escaliers et vérifie chaque chambre, dans l'espoir d'y trouver la petite princesse. Pas celle-là, pas celle-là, pas celle-là... Je suis si peu discrète que je finis par tomber sur les hommes dont elle m'a parlé. Je laisse échapper un «Merde» et force le passage en courant comme une dingue à travers le couloir. J'entends des bruits de course derrière moi. On dirait qu'ils sont à mes trousses. Ben quoi, qu'est-ce que j'ai encore fait ? Hors d'haleine, je trouve enfin la chambre dans laquelle la gamine s'est réfugiée, assise sur le rebord d'une fenêtre à demie-fermée. Salut, Princesse, j'amène du bazar dans ta jolie chambre... Les sauvetages discrets, ce n'est pas mon genre.

-Désolée Princesse, on va avoir de la compagnie !

Yes, un fight se prépare ! Je me penche à la fenêtre et crie à la pétasse blonde :

-HÉ, TOI ! TU POURRAIS NOUS AIDER !

Non mais c'est vrai, quoi ! Elle a fui sans même chercher à protéger la petite. Elle se la pète, elle n'a pas de cervelle et en plus, elle est lâche. J'y crois pas. Elle a intérêt à ramener ses fesses.

(désolée si c'est un peu cour...ça m'avait l'air super grand sur work... :$ :oops: )

- Silence !! Tu vas nous faire repérer !!

-Ils savent déjà que je suis là ! Enfin je pense ! Je préfère qu’elle vienne plutôt que de me faire manger par le smurgle !

J’entends ma sauveuse courir dans la couloir avec les hommes à ses trousses. Je fis ma tête de :« aidemoicarjesuissansdefenseetjevaismefairemangerparTAfaute ». J’espère qu’elle comprendra qu’on a besoin d’elle surtout qu’elle a l’air de savoir se battre. Allure de battante et elle a trop la classe.

Houlaaaaa ! Elle en fait un boucan ma sauveuse ! Pour une dame c’est pas très délicat ! Du moment qu’elle me sort de là...

-Désolée Princesse, on va avoir de la compagnie !

-Oui je sais ! Au fait je m’appelle Alice et vous ?!

J’ai vraiment peur, je commence à avoir le vertige sur le rebord de la fenêtre, moi ! Il fait froid, c’est la nuit, c’est haut, c’est en bois pourri, y’a un smurgle qui cour derrière la dame qui vient me sauver...
Il faudrait que je monte sur le toit pour rerentrer par surprise par une fenêtre d’une chambre à l’ opposé...En gros, rentrer par une autre fenêtre pour les tenir en tenaille.

-HÉ, TOI ! TU POURRAIS NOUS AIDER !cria ma sauveuse

-Madame ! Je vais grimper sur le toit pendant que l’autre fille, si elle veut bien nous aider, montera par les escaliers !
-Vous m’avez entendu en bas ?! Passez par les escaliers !

Je cherchais des prises sur le mur, tout ce que je trouvais c’était un grand lierre et le garde-volet de fer. Je sautais à cloche-pied sur le garde-volet. J’ouvris mon sac et attachais ma corde avec le petit clou que je garde toujours sur moi. Je plantais le clou dans une faille et m’élançais au bout de la code jusqu’au lierre.
Plus qu’un mètre. Je n’arrivais pas à l’attraper.
Je me mis à l’horizontale de façon à marcher sur le mur. J’arrivais facilement au lierre et décrochais mon clou. Je commençais mon ascension de la plante grimpante.
C’était la première fois que je réalisais une ascension pareille, celle des entrainements de l’école. Je pensais toujours que ça ne servait à rien ! Juste pour avoir une note et rapporter de l’argent à l’école... Comme si nous n’étions que de simples enfants qui volaient de l’argent pour l’école...Utilisés juste pour ça ? Raison de plus pour ne pas retourner à l’école...L’école n’est qu’une prison pour enfant et elle les exploite...Oui c’est ça...

Le lierre sur lequel je grimpais craquait, et se détachait à quelques endroits du mur, je repris mon clou et le plantais à nouveau dans le mur, si jamais la plante ne supportait pas mon poids.
J’arrivais en haut, de l’auberge et m’extirpais sur le toit. Voila, une chose de faite j’espère que la dame du bas viendra nous aider.

-HÉ, TOI ! TU POURRAIS NOUS AIDER !

.. Est-ce que c’était un orde ça ? Non mais qu’est-ce qu’elle croit ! Que je vais me ramener fièrement comme un petit chien ?? Non mais elle rêve là. Déjà, une tenue vestimentaire aussi laiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiide devrait être interdite. Non franchement, ce short la boudine terriblement et en plus son haut est hyper laid. C’est bien d’être simple, mais tout comme l’excès de folie tue la folie, trop de simplicité tue la simplicité. Je vais l’aider à s’habiller vous allez voir. Pendant que je réfléchissais, ce fut au tour de la gamine d’intervenir.
-Vous m’avez entendu en bas ?! Passez par les escaliers !
Entendue ?? Entendue quoi ? Zut j’ai pas écouté ce qu’elle a dit. Bon ça fait rien, j’aime pas les gosses, c’est trop gamin et ça comprend rien. J’aime les bébés mais je hais tout ce qui est entre 2 et 11 ans. Ce n’est pas ma faute, les enfants sont pénibles. Je ne sais pas comment les Babysitters font mais … Pfffffff ça doit être dur. Mais ce qui est mignon, ce sont les bébés, oh oui les bébés.

Spoiler:

M’enfin bref ! L’esprit déterminé à apprendre à la fille-qui a beaucoup de mal à bien s’habiller soit dit au passant-à s’habiller, je monta les escaliers. 1 par 1. Pop, pop, pop, pop- Quoi y’a pas le feu-. J’arriva enfin dans le couloir. La F.Q.A.D.M.A.S.C. était debout, faisant face au pilleurs. Je passa tranquillement comme si de rien était et lui dit :

- Toi là ! Tu as besoin d’aide pour t’habiller ?

Je ne lui laissa pas le temps de répondre :

-Je te comprends, le problème c’est que ton shirt et ton Tee-shirt sont TROP simple, du coup faudrait changer ça.

Je lui envoie un sort et lui donne une tenue un peu plus jolie et un look plus top.

Spoiler:

Oui oui je sais, j’ai bon gout. Je constata les horribles tenues des pilleurs, je leur fis la même chose, mais à la place … Ils furent touchés par des assomus…. Oups ?

[Désolé du retard, j''espère que ma réponse répond à vos attentes.]

Je jette un coup d’œil en direction de la fenêtre, inquiète. J'espère qu'Alice sait ce qu'elle fait. Elle m'a tout l'air d'une petite débrouillarde, mais imaginez qu'elle glisse et qu'elle chute ? Elle pourrait se rompre le cou ! Ah, rien que d'y penser, j'en ai le vertige... C'est débile. L'ilne, la grande guerrière, la sous-chef des Ombres... a peur du vide ! Je suis stupide, stupide, stupide !

J'entends du bruit dans les escaliers. Quelqu'un monte. Est-ce que c'est la pétasse qui sent le poisson ? En tout cas, la personne n'est pas pressée... Je sors de la chambre. Dans le couloir, les pillards se sont retournés en direction des bruits, ébahis. D'accord. J'ai affaire à des demeurés. Le mystérieux grimpeur d'escaliers se pointe enfin. Et c'est, attention, roulements de tambours... La Barbie ! Ouaiiis ! Que de suspens ! L'air hautain, elle dépasse les pillards comme s'ils n'existaient pas. Qu'est-ce qu'elle se la pète, brolk ! Elle roule des fesses, en plus. Je déteste ce genre de filles. Là, j'ai juste envie de lui donner une bonne baffe.

...Non mais elle blague, là ? ELLE A LE CULOT DE DIRE QUE JE SUIS MAL HABILLÉE ? Mais... Mais... J'en reste estomaquée. La biatch en profite pour me donner une leçon vestimentaire. Moi, je n'en reviens tellement pas que je ne réagis pas sur le coup. Je prends un air ahuri. Elle en profite pour me lancer un sort. Ah, les sortceliers, toujours à frimer avec leur magie... Hé, mais ! Je rêve ou elle vient de me... relooker ?! Je manque de m'étrangler. Elle lance aussi sa magie sur les pillards, qui s'effondrent à terre. En temps normal, je l'en aurais félicitée, mais là... Non. Vraiment, non.

Je sors de ma torpeur incrédule pour la gifler violemment. CLAC, prends ça dans ta g... tronche.

-NON MAIS ÇA VA PAS LA TÊTE ?! TU TE PRENDS POUR QUI ? PÉTASSE !

Je me souviens soudain d'Alice, qui doit peiner sur le toit. Brolk ! Je n'attends pas sa réponse et je continue en pointant un doigt menaçant :

-J'en ai pas fini avec toi... Mais il y a la vie d'une gamine en jeu.

Vite, je me rue dans la chambre. Je passe la tête par la fenêtre... Ah ! Je vois Alice. Je lui crie :

-Hé ! Tout va bien ? Tu peux redescendre. Tu veux que j'aille te chercher ?

Oh ! J’entends des voix...Celle de la fille qui m’a crié dessus ! Rooh ! La dame qui m’a toujours pas dit son nom, crie sur l’autre et elle à l’air d’être en colère...Sa chauffe en bas ! Finalement je suis bien sur le toit ! C’est tranquille, c’est joli mais un peu lugubre, c’est la nuit, pleine lune, j’entends des bruits différents des mélodieux et des cris....enfaite c’est effrayant ! :$ ...Tant pis pour mon plan ! J’ai trop peur !!!!! Maaaaammmaaaaaaaannn !!Paaaaaaaaaaaappaaaaaa !
Non... ils ne sont plus là...je suis seule, sans famille, ils sont partis il y a maintenant 2ans et j’arrive encore à les appeler mais ils ne viendront jamais... Des larmes roulèrent le long de mes joues, je ne pus m’en empêcher, elles redoublèrent, mais cette fois ci je ne les arrêtai pas.
Peut être que si je pleure maintenant, peut être que demain toute mes peines seront parties, mais je penserais quand même à eux...Tant pis, c’est mieux comme ça. Je me laissai tomber sur le coté et commençais à m’endormir(en même temps c’est la nuit !^^ Rolling Eyes

) quand j’entendis soudain :

-Hé ! Tout va bien ? Tu peux redescendre. Tu veux que j'aille te chercher ?

Je ne répondis pas, j’étais encore toute chamboulée, et comme ma voix change quand je suis triste elle saurait que je pleurais. Je peux redescendre seule, mais je descendrais plus tard... Je vais rester dormir ici...Et puis je suis fatiguée ! Pas envie de descendre ! Je me suis donné trop de mal pour monter ...Et puis zut ! Si je ne descends pas elle va s’inquiéter ! Je me laissai glisser le long du toit. Arrivé à la gouttière j’allais y accrocher mon clou mais il tomba dedans...Rah ! Chu trop fatiguée ! J’accrochais ma corde autour de moi et de la pointe du toit, une sorte de paratonnerre. Je suis complètement folle ! Un paratonnerre quoi ! Franchement (-e! Une corde en fer relié à moi et attaché à un paratonnerre ! Je suis suicidaire ou quoi ? C’est la fatigue... Je remontais sur le toit et décrochais la corde...
Enfaite je veux bien qu’elle vienne me chercher...Chu morte !
Avec ma voix toute engourdis je réussi a dire :

-Oui ! Viens !

Je me recouchais sur le toit et me rendormis. Je repensais à l’école, aux professeurs, directeur, ma mission.. Ma mission ! Euh... je dois... euh... je crois que un espion doit me donner un document sur je sais pas quoi ! Euh... je suis pas prête de l’avoir...Ce document, si ça se peut c’est la liste des courses que le prof avait oublié y’a une semaine chez son frère...
Faut pas que je me dise ça ! Je dois avoir ce fichu papier !... Je ne sais même pas comment est l’espion que je dois trouver....ça craint comme mission !
Je verrais ça plus tard,là je dors !

Sleep