AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

Chroniques d'AutreMonde :: Planètes/Lunes :: TerrePartagez
 

 E.N.D {KEN}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Jules P. Grimes


Jules P. Grimes

Age du personnage : 19 ans

Familier : None
Couleur de magie : Pourpre
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Moyen


Métier : Première Sorcelière d'Omois
Résidence : Un appart' à Tingapour
Dans le sac : Des pétards, du maquillage, du parfum importé de la Terre, il faut dire que ceux d'AUtreMonde sont tellement écoeurants. . . du vernis à ongles, des clopes, un briquet, des bouteilles de diverses substances, des bijoux, des carnets de croquis remplis de dessins colorés, des crayons de couleurs vives, un mp3 autremondiens dernier cri pourpre qui m'a couté mes économies, un casque turquoise, des lunettes d'aviateur, un casque de moto, une moto volante qui commence a se faire vielle, un portefeuille un peu à sec en ces temps dur, des clés qui ne servent à ouvrir que les portes de mon immaginaire, un harmonica, des partitions illisibles, des romans terriens, et un tas d'autre inombrables babioles.

Affinités : avatar (c) Ecstatic Ruby

MessageSujet: E.N.D {KEN}   E.N.D {KEN} Icon_minitimeDim 29 Avr 2012 - 17:17


E N D
E.N.D {KEN} Sanstitredpi

It's the second time I meet you. And it's the last time I meet you.

Et je contemple mon œuvre. Mon œuvre ensanglanté, sale, malsaine. Le sang de mes géniteur coule sur mon visage. Ils n'ont eut que ce qu'il méritait, ces salaud ♪

Il y a deux jour de cela, j'avais retrouvé la trace de mes parent. Par hasard, dans ce bar de quartier. J'ai entendu leurs nom, et j'ai frémis de plaisir. En ce monde, tout ce paie, rien n'est gratuit. Même pour vous, salopard, même vous vous subirez les conséquence de vos actes . Un sourire sadique était apparu sur mon visage. Enfin. Enfin. Je n'ai vécu que pour cet instant. Tout ce que j'ai enduré, je l'ai enduré pour pouvoir enfoncer mes main dans votre cœur et l'arracher comme vous m'avez arraché ma joie. J'avais attrapé le barman par le col et lui avait placer le couteau sous la gorge. Plus qu'une chose importait: où sont il. Les Terrien son lâche, il se doutait bien que mes intention a l'égard de mes parent n'était pas bonne. Pourtant, il m'a dit sans résistance leurs adresse, et même leurs numéro de téléphone. J'avais relâché le barman et était sortie. J'avais tellement hâte! Tellement hâte d'entendre leurs cri et leurs pleurs, leurs supplications a mon égard lorsque je pointerait mon revolver contre leurs nuque! J'étais extasiée. Le soir, a mon hôtel, j’étaie resté une demi-heure devant le pistolet qui allait arraché la vie a ceux qui m'ont arraché ma décence. Et j'ai ris. Oh oui, qu'est ce que j'ai ris! Je me suis sentis toute puissante. Je savais que j’étaie folle. Et c'est bien là, la vrai folie. C'est de savoir que l'on est fou et que ça ne nous fasse ni chaud ni froid.

4H00 du matin. Je prend le premiers train, direction Toulouse. Le voyage me parut interminable tellement j'avais hâte. Dans ma poche, ma main tremblante caressai le revolver, titillait sa gâchette. La sueur perlait sur mon front, mon corps tout entier tremblait d’excitation. Pendant que le paysage défilait derrière les vitres, mon enfance me reviens en flash.
"Tu veux du gâteau, petite Alwin?" "Tu as besoin de quelque chose?"
Toujours a me demander si j'avais besoin de quoi que ce soit alors que je ne voulais qu'un peu d'amour. Mais ça ils ne l'auraient surement pas compris. Il avait peur de leurs propre fille. Ils l'a regardait comme un monstre, la craignait comme la mort. Et ils l'ont abandonner, cette pauvre petite Alwin. Elle a tellement pleuré, la pauvre petite. Pauvre petite Alwin. . . Elle est morte, la petite Alwin. Elle est morte, dévoré par le monstre de ma folie. Et est née une nouvelle Alwin. Moi. une Alwin remplie de haine et de rancune. Inhumaine. Vous entendez ça, papa, maman?! Votre cauchemar, c'est vous même qui l'avez créé. Votre tombe, c'est vous même qui vous l'êtes creusé.

C'est ce moment que choisit Nightmare pour sortir de ma poche. Un mois que ce petit être démoniaque me gâche la vie. Pourtant, c'est de ma folie qu'il est née.
Qu'y a-t-il, Alwin, chuchote-t-il a mon oreille, tu a des regret? Tu regrette d'être devenue le monstre que tu est?Tais-toi.Allez, ne fait pas ton innocente, tu n'y est pas pour rien, tu le sais. Ce n'est pas moi qui t'es rendu folle, c'est ta folie qui m'a créé, alors tu t'en prend qu'a toi même, heinTais toi! Alwin, réfléchit un peu, la vérité, c'est que tu as peur. C'est toi qui a peur d'eux et non l'inverse, c'est pour cela que tu veux les éliminer avant que ta peur ne t’élimine.
"TAIS-TOIIIIIIIIIIIII!!je hurle
Les rare voyageur me dévisage. Il se demande si je suis folle. J'ai envie de leurs crié que oui, je suis folle et de leurs demander en quoi ça les dérange, mais je n'en fis rien. Nightmare a déjà disparu. Lui, il ne doit rien a personne. Il apparait et disparait comme il veut et ne vit que pour me plonger dans les abysse de ma propre folie. Je me prend la tête dans les main. Et je souris. de toute manière, tout cela sera bientot terminé. Tout cela n'était qu'un cauchemar, et quand la balle de plomb viendrait se nicher dans ma gorge, je me réveillerai avec la désagréable impression d'avoir fait un cauchemar. L'espoir fait vivre mais moi je suis déjà morte.

J'arrive enfin, devant le nids des démons. Une grande battisse, puant la richesse. Et ben il se font pas chier eux. J'espère qu'ils ont une une belle vie car maintenant c'est l'heure de se réveiller. Ou pas. Non, je vais vous laissez dormir encore un peu. mais vous aller cauchemarder en revanche. C'est le prix a payer, pour mes ailes tranchés.

J'entre, l'obscurité règne. Normal, j'ai fait péter le disjoncteur. Depuis l'entrée, j’entends ma mère parler a mon père.
"Alors, Arold? Tu trouve les allumette?
Ridicule. Je claque des doigt. Ils se taisent. Un par un, les chandeliers de l'escalier s'allume tandis que je gravit les marches. Je pousse les grande porte du salon. Mes yeux sont rouge. Il s'enflamme. Je leurs souris.

"Papa, Maman, je suis rentré!

Ma mère crie. Un autre cri vint la rejoindre. Un enfant. Un pieux vient se planter dans mon cœur. Salaud. Ma magie crépite dans mes main. Noire. Elle est bel et bien noire cette fois. Désolé petit, mais je n'aime pas les remplaçant. Je ne suis pas une vielle poupée que l'on peut jetée. Non, vous pourrez me jetez dans un feux, dans un puits sans fond ou au fin fond de l’océan, je reviendrai, toujours, pour vous faire payer vos erreur. Je m'approche de ma mère, mais mon père s'interpose et me frappe. Encore?Je vacille et je ris.

"Comme aux bon vieux temps, hein, Papa?

Je le regarde, un mince filet de sang coulant le long de mon visage. Comme aux bon vieux temps. . . Mais je ne suis plus aussi faible qu'avant, papa. Je tire. Tu t'écroule. Elle hurle. Je ne suis plus une gamine. Je ne suis plus humaine, et c'est de votre faute. Je me tourne vers elle, le doigt sur la détente. Je tire, tu t'écroule, et le silence règne. Même le gamin se tût. Leurs sang a éclaboussé mon visage. Ils me dégoute. Je me dégoute. Je tremble, je tremble d'extase, de joie. J'ai enfin réussi. Un rire fou sort de ma gorge sans que je ne puisse le contrôler. leurs sang encore chaud coule sur mon visage. Je contemple les deux corps. C'est fini. Je place le revolver sur ma tempe. C'est fini.

Tout ce paie dans ce monde. Rien n'est gratuit, excepté la folie.

Revenir en haut Aller en bas
http://heart-of-devil.forumgratuit.com/forum
Austin Blue


Austin Blue

Age du personnage : 20 ans

Familier : /
Couleur de magie : Vermillon.
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Moyen


Résidence : Nomade.

MessageSujet: Re: E.N.D {KEN}   E.N.D {KEN} Icon_minitimeSam 5 Mai 2012 - 9:58

Le jeune homme sorti du bar en titubant, bouteille de Tzinpaf à la main. Tous ceux qui virent ce "vaillant" garçon saoul peuvent être fiers d'eux ; jamais il n'avait bu une goutte d'alcool de sa vie, jamais il n'aurait été désespéré au point de le faire.
Le bonhomme qui tenait le bar dont ce jeune homme sortait était même inquiet de voir un si gentil garçon boire autant. Il avait dû lui vendre au moins une dizaine de verres, voire de bouteilles.
Seulement, il y avait quelque chose d'autre qui avait paru anormal au barman Terrien chez ce garçon. Cela peut paraître complètement idiot, mais il avait cru sentir une aura...magique se dégageant de cet être que l'on nommait également Sortcelier. Mais le barman ne savait rien de tout ça... Comment aurait-il pu deviner que ce qu'il supposait était vrai ? Avec un peu d'intelligence et un cerveau, tant qu'à faire. Pfff, franchement, quels idiots ces Terriens.


*
* *

La première fois de ma vie que je bois, que je suis saoul. Étrange, étonnant, mais pourtant vrai. Je suis sur Terre pour... non, je ne me rappelle plus pourquoi. Bref, le principal c'est que je sais que je suis sur Terre. Mais où précisément ? Aucune idée.
Moi-même je me sens désespéré d'être désespéré au point de boire de l'alcool en étant désespéré, mais c'est sûrement parce que je suis désespéré. Bon, je crois que cela s'est fait comprendre, le mot qui me qualifie est : DÉSESPÉRÉ.
Techniquement (ou logiquement pour ceux qui trouvent ça plus logique (: roh, et je vais arrêter les répétitions, ça devient carrément pénible), je n'ai vraiment aucune raison d'être désespéré. J'ai tout ce qu'il me faut ; une mère, la vie, une petite amie, peut-être excepté un père.
Une petite amie, certes, mais une petite amie presque folle ? Est-ce la meilleure chose pour moi ? No, I don't think she's good for me, but... I love her !
Oui, c'est tellement classe de parler anglais ! Ca change des langues que l'on trouve sur AutreMonde...

Bip-bip-bip !

Tiens, un texto. Je sors ma boule de cristal. Une goutte d'eau tombe dessus, puis deux, puis trois, puis quatre, puis... Puis ces petites gouttes d'eau douces et légères se transforment en gouttes lourdes qui se font fortement sortir lorsqu'elles s'écrasent... Une averse, en gros. Quoi qu'il en soit, je lis le message que je viens de recevoir. C'est Alwin qui me laisse un message de sa douce voix me disant de la rejoindre chez ses parents. En ce moment, tout est étrange. Je croyais qu'Alwin ne voulait plus revoir ses parents... Pourquoi tiendrait-elle tant à me les présenter ? Peut importe ce qu'elle compte faire, je le sens à sa voix, quelque chose de bizarre va se tramer.

Je prends un train en direction de Toulouse, là où vivent les parents d'Alwin.

*
* *

Le jeune homme monte dans le train, totalement innocent. Il va s'asseoir à côté d'un vieil homme qui le dévisagea pendant tout le voyage. Ce qu'il ignorait, c'est que cet homme là, il le connaissait. Mais jamais il ne le reverra, car cet homme mourut deux mois après avoir pris le train avec ce garçon nommé Ken.
Ce dernier pose sa tête contre la vitre du train et observe les paysages pleins de vaches ou de chevaux, ces créatures Terriennes. Après quatre heures de train, il arrive enfin à sa destination, à Toulouse. Il descend du train et prend un taxi pour la maison des parents d'Alwin...


Je viens d'arriver à Toulouse. Je sonne à la maison des parents d'Alwin, mais personne ne vient m'ouvrir. Je me permets alors d'entrer malgré tout. Lorsque j'entre dans le salon, j'ai l'horreur d'apercevoir un homme et une femme par terre, mort, et un gamin d'à peu près deux ans assis sur un fauteuil, qui pleure sans faire de bruit, et qui fixe une jeune fille, Alwin, probablement sa grande soeur, un pistolet sur la tempe.
Je n'en crois pas de ce que je vois... Lorsque je disais que je la pensais parfois un peu folle, certes, mais pas à ce point... Pas au point de tuer ses parents et de se tuer après coup. Hésitant, je vais chercher le petit garçon, le mets dans mes bras et le berce doucement. Cela ne fait aucun doute, il sera traumatisé à vie. Je me rapproche d'Alwin, tente de lui ôter ce pistolet des mains, et de la prendre elle aussi dans mes bras. Une peur atroce me hante depuis maintenant deux minutes. Pas la peur qu'Alwin tente de me tuer, mais de se tuer.

Revenir en haut Aller en bas
Jules P. Grimes


Jules P. Grimes

Age du personnage : 19 ans

Familier : None
Couleur de magie : Pourpre
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Moyen


Métier : Première Sorcelière d'Omois
Résidence : Un appart' à Tingapour
Dans le sac : Des pétards, du maquillage, du parfum importé de la Terre, il faut dire que ceux d'AUtreMonde sont tellement écoeurants. . . du vernis à ongles, des clopes, un briquet, des bouteilles de diverses substances, des bijoux, des carnets de croquis remplis de dessins colorés, des crayons de couleurs vives, un mp3 autremondiens dernier cri pourpre qui m'a couté mes économies, un casque turquoise, des lunettes d'aviateur, un casque de moto, une moto volante qui commence a se faire vielle, un portefeuille un peu à sec en ces temps dur, des clés qui ne servent à ouvrir que les portes de mon immaginaire, un harmonica, des partitions illisibles, des romans terriens, et un tas d'autre inombrables babioles.

Affinités : avatar (c) Ecstatic Ruby

MessageSujet: Re: E.N.D {KEN}   E.N.D {KEN} Icon_minitimeJeu 28 Juin 2012 - 16:21



E N D

















Je lâche le revolver. Ta présence m’apaise. Elle calme ma folie plus que c’est centaine de cachet que j’avale pour faire passer ma douleur. Dans tes bras, je regrette tout. Dans tes bras j’oublie tout. Du moins j’aimerais oublier. Je veux perdre de vue tout mes malheur. J’aimerais ne plus penser a rien durant quelques instants. J’aimerais juste pouvoir être en paix. Être en paix ? Après ce que je viens de faire ? Je viens de tuer mes deux géniteurs. Je viens de tuer . . . deux personnes, de mes propres mains. Personne ne peut effacer les crimes, personne ne peut effacer les péchés. Mais on peut encore moins effacer les meurtres. La vie est bien trop précieuse pour moi. Pourtant, malgré tout ça, dire que j’éprouve du regret serait un mensonge. Non, je ne regrette rien. Je ne regrette rien. Car je suis arrivé au point de non-retour depuis bien longtemps. Je ne peux plus revenir en arrière. Mes mains tremblantes vienne s’agrippé a ton dos, des mains suppliante, mais néanmoins souillé par le sang. Mes jambes tremblent, elle ne semble plus capable de soutenir mon corps. Je me sens défaillir, mais tes bras me soutiennent. Comment peux-tu encore me soutenir, Ken ? Comment peux-tu encore me pardonner Ken ? Je ne t’ai jamais demandé de me pardonner. Je n’ai jamais demandé a personne de me pardonner. Je sens de chaudes larmes couler sur mes joues, couler le long de mon menton avant de tomber et de s’écraser sur le sol couvert de sang pour ne faire plus qu’une avec le liquide poisseux qui enduit le plancher. Tiens, je ne me pensais plus pouvoir pleurer. Je ne pensais même plus avoir encore un soupçon d’humanité. Apparemment je me trompais. Soudain mes tremblements redoublent, j’ai du mal à respirer. Et si . . . et si je faisais une connerie ? Je me débats, malgré ses bras qui me retiennent, je le repousse et m’éloigne au plus loin de lui. Tu est un ange, Ken, et moi un démon. Un démon couvert de sang, qui pue la haine et la peur en même temps. Un démon lâche au cœur vide, dépourvu de sentiment.

Je recule, encore et encore, dans l’espoir de me réfugier dans l’ombre, histoire de cacher ma laideur aux yeux du jeune homme. Pourquoi es-tu venu, Ken ? J’aurais préférée que tu ne me voies pas ainsi, que tu garde en mémoire la Alwin robuste que j’étais avant. Désormais, je suis . . . brisée. Je ne vis plus. Je survis. Je suis si faible, je ne fais que fuir, et je tue ceux qui m’effrayent. Je pourrais bien te tuer toi aussi, qui sais ? Je n’ai plus le contrôle. C’est Nightmare qui a le contrôle, c’est . . . c’est de sa faute. Pourtant, n’est ce pas moi qui l’ai créé. Alors a qui la faute ? Non, ce n’est pas moi. C’est sur que ce n’est pas moi. Je ne suis pas coupable. Je n’ai rien fait.

« Ne me touche pas ! » j’hurle

Je me prends la tête dans les mains, me recroqueville sur moi-même, mais ça tu ne le vois pas. Il ne faut pas que tu le vois. Il vaut mieux que tu crois je ne t’affectionne plus du tout. Il vaut mieux que tu crois que je suis bel et bien un monstre et que je me suis servie de toi. Oui, ce serait mieux pour tout le monde.

« Si tu t’approche, qui sait ce que je suis capable de te faire ? » je continue en un murmure.

Ma magie crépitait toujours autour de moi. L’atmosphère était lourde. Le feu noir brulait tout autour de moi. Ce feu noir qui te contaminerait si tu le touchais. La folie.
Même ma magie était folle désormais. Elle n’obéissait plus qu’à mes émotions et a mon instinct. Je n’étais même plus capable de la contrôler.


codage by apple
Revenir en haut Aller en bas
http://heart-of-devil.forumgratuit.com/forum
Austin Blue


Austin Blue

Age du personnage : 20 ans

Familier : /
Couleur de magie : Vermillon.
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Moyen


Résidence : Nomade.

MessageSujet: Re: E.N.D {KEN}   E.N.D {KEN} Icon_minitimeJeu 5 Juil 2012 - 17:39

« Si tu t’approche, qui sait ce que je suis capable de te faire ? »

Tu me fais peur Alwin. Mais je t'aime.
N'importe qui dirait que je suis aveuglé par l'amour. Mais non. Je suis juste amoureux. D'une folle, certes, mais d'une folle que j'aime, dont je connais le caractère et les capacités. C'est pour ça que j'ai peur de toi, Alwin. Je préférerais ne pas te connaître. C'est triste, mais je sais que tu es dangereuse, qu'il aurait mieux valut que l'on ne se rencontre pas, et encore moins que je t'embrasse. Cela aurait été mieux pour notre bien à tous deux. Mais ça, tu ne t'en rends sûrement pas compte.

*
* *

Ses grands yeux bleus fixent ceux, bleus aussi, de la belle Alwin. Il lui fait peur, comme elle lui fait peur. Ils s'aiment, mais ne seront jamais le couple parfait. Une flamme brûle en eux, une flamme qui se nourrit de leur amour, et qui s'attise chaque jour en puisant dans leurs émotions. Mais quelque chose rend cette flamme faible, quelque chose qui l'éteint peu à peu, en lui soufflant dessus, lentement, comme la brise. Une sorte de barrière qui maintient leur amour l'un pour l'autre quasiment impossible, invivable. Aujourd'hui, cette barrière s'est concrétisée, et semble s'incarner dans la magie noire de la jeune fille, cette magie qui l'entoure, comme pour la protéger de l'éventuel danger que pourrait être ce jeune homme tant amoureux, et si innocent. Il connaît les risques, le danger, mais il franchit cette barrière.

*
* *

Je ressens une intense brûlure, lorsque je franchis la ligne de la magie de ma bien aimée. Sa magie noire me fait frissonner, et me brûle jusqu'aux os. C'est pour lui prouver mon amour que je fais ceci. Car, Alwin, encore une fois, je t'aime plus que tout. Tu es dangereuse pour moi, mais tu as donné un sens à ma vie, à chaque fois que je te vois, mon coeur s'emballe, je suis fou d'amour pour toi.

Tout doucement, en prenant soin de ne pas me montrer trop brusque pour ne pas effrayer Alwin et lui montrer qu'elle est en sécurité, je pose son petit frère à terre, et aperçois quelques fines larmes se déverser sur ses joues. La magie noire l'entoure maintenant, et ses larmes transparentes se transforment en larmes de sang. Sang qui doit sûrement représenter la haine qu'a Alwin de découvrir un successeur pour la remplacer, cette jalousie infaillible qu'elle est capable de dégager, jusqu'à - vu son état - tuer les gens.

Un sourire se dessine sur mes lèvres, j'essaie désespérément de mettre cette jeune fille atteinte d'une folie jamais vue, en confiance. En fin de compte, je suis vraiment aveuglé par l'amour. Je devrais avoir peur d'elle, être horrifié, mais rien n'est assez puissant pour décrire l'émotion que ressentirait quelqu'un qui n'est pas amoureux de la meurtrière en question. Si j'étais « normal », j'aurais déjà quitté cette maison, je serais déjà en route pour rentrer chez moi, j'aurais embarqué ce petit avec moi, je ne l'aurais pas jeté tout droit dans les bras grands ouverts de la Mort.

*
* *

Son sourire d'ange toujours aux lèvres, un peu anxieux mais tout de même confiant, le jeune homme aux cheveux de charbon et aux yeux aussi bleus que l'océan se rapproche de sa bien aimée. D'un geste tendre, il passe sa main dans ses cheveux, et rapproche son visage de la jeune fille. Doucement et tendrement, il pose sa grande main confiante sur la petite main d'Alwin, qui tient son pistolet. Il n'aurait pas dû faire ça. Car ce qu'il ne sait pas, c'est que, tôt ou tard, il le regrettera.

*
* *

Je sens son souffle à quelques centimètres de mon visage, et murmure :

« Je ne sais pas ce que tu pourrais faire... Mais je sais ce que tu ne feras pas... »
Revenir en haut Aller en bas
Jules P. Grimes


Jules P. Grimes

Age du personnage : 19 ans

Familier : None
Couleur de magie : Pourpre
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Moyen


Métier : Première Sorcelière d'Omois
Résidence : Un appart' à Tingapour
Dans le sac : Des pétards, du maquillage, du parfum importé de la Terre, il faut dire que ceux d'AUtreMonde sont tellement écoeurants. . . du vernis à ongles, des clopes, un briquet, des bouteilles de diverses substances, des bijoux, des carnets de croquis remplis de dessins colorés, des crayons de couleurs vives, un mp3 autremondiens dernier cri pourpre qui m'a couté mes économies, un casque turquoise, des lunettes d'aviateur, un casque de moto, une moto volante qui commence a se faire vielle, un portefeuille un peu à sec en ces temps dur, des clés qui ne servent à ouvrir que les portes de mon immaginaire, un harmonica, des partitions illisibles, des romans terriens, et un tas d'autre inombrables babioles.

Affinités : avatar (c) Ecstatic Ruby

MessageSujet: Re: E.N.D {KEN}   E.N.D {KEN} Icon_minitimeMer 26 Sep 2012 - 14:54



I WISH I WAS
SOMEONE BETTER


















L'admiration, la jalousie. L'amour, la haine. La mort, la vie. Il n'y a qu'un pas entre chaque opposé. Et tu le sais, aussi bien que je le sais. Tu sais que l'équilibre de ce monde ne tient qu'a un fil. Je sais que ta vie ne tient qu'a un fil. Ce fil si mince, si frêle, ce fil qui représente ce qu'il me reste de raison. Tue le, tue le me souffle-t-il a l'oreille de sa voix envoutante, chaude et terrifiante. Mes principes s'écroule. Plus rien n'a de sens. J'ai peur, j'ai peur de tout. Tout ce qui m'entoure est horrible, terrifiant. Même toi, Ken, tu est terrifiant. Tu me glace le sang. Ne me regarde pas. Ne me regarde pas. Ton regard glacé me terrifie. Éloigne toi de moi, tu me répugne. Éloigne toi, vite. Pourquoi est-tu plein de sang? Tu est venue me tuer, c'est ça? mais qui est tu? De quoi je parle? De quoi tu parle? De quoi parlons nous? Je peine a garder mes sens émerger de cette mare de folie visqueuse et collante qui m'absorbe peu a peu. Je ne dois pas perdre de vue la lumière. Je. . . je dois. . . rester. . . consciente. . . de mes actes.

J'ai compris. J'ai compris. Ce sourire n'est pas sincère, tu veux m'amadouer? M'apater? M'attendrir? Non, tu a peur, tu empeste la peur. Tu as peur de moi, et tu veux me tuer, c'est bien ça? Je ne comprend pas, finalement. Qu'est ce que j'ai fais? Qu'ai je fais de mal? je ne suis qu'une pauvre petite fille. . . Je ne me souviens plus de rien. Je ne sais pas. . . qui je suis. Alors pourquoi veut tu me tuer. Je panique, je suis prise d’incessante convulsions. Grand dieux, que c'est désagréable! La peur, l'angoisse, toutes ces sensations qui me prennent au ventre, c'est atroce! J'ai l’impression que ma poitrine va exploser. La folie se fraye un chemin a travers mon existence, pour venir en imbiber chaque parcelles, en contaminé chaque recoins. Jusqu’à ce qu'il ne reste plus rien de moi si ce n'est une peur inimaginable. La folie se bat contre ma raison. Dans ma tête. Je les sens s'entretuer dans ma cervelle. Ça cogne, ça frappe, et ça résonne dans mes tympans, si fort que s'en est insupportable. es sens sont brouillé, ma vue trouble. Je pousse un derniers hurlement. C'est la fin. c'est la fin.

C'est trop dur.
C'est trop dur de réfléchir.

E N D


De vivant on peu passer a mort. Car il n'y a qu'un pas entre tout opposé.

Les sensations, les émotions disparaissent peu a peu. Laissant un vide. Rien que du vide. Ma main saisit sa chevelure, je redresse son visage de sorte a lui faire face, et me redresse doucement, sans quitter ses yeux du regard. De la pitié. Voila ce que j'y ai vu. De la pitié. Ça me donne envie de gerber. Pour un peu et je gerbait a ta face. Toute trace de peur ou d'hésitation avait disparu de mon visage, laissant place a un visage inexpressif. Tu ne comprend pas. je sens que tu ne comprend pas. Il n'y a rien a comprendre, immonde cafard. Je n'explique rien au insecte de toute manière. Le revolver toujours a la main, je l'enfonce dans son ventre. Tu as eu tort. Tu as eu tort d'oser avoir de la pitié a mon égard. La pitié. . . me dégoute. Cette fois, c'est toi qui fait pitié. Malgré ta taille, j'ai l'air beaucoup plus imposante que toi, maintenant, a te tenir par le crane et a tenir ta vie au creux de ma main gauche. J'approche son visage du miens.
J'appuie sur la détente.
Et ta vie s'achève.

Après un bref instant de peur, de panique, son corps retombe dans mes bras, sans vie, les yeux encore ouvert sur une expression d'horreur. Je sens son sang chaud éclabousser mon visage, puis coule le long de la courbe de mon menton. Je relâche le corps sans vie qui vint s'écraser avec les deux autres. On aurait dit un carnage de film d'horreur. Mais rien ne me répugne tant que ce que j'ai vu dans les yeux de Ken quelques secondes plus tôt. Je passe en main sur mon visage, étalant le liquide pourpre sur ma joue gauche. C'est fini. Alwin n'est plus. Il ne reste plus que la folie. Derrière moi, je l'entend rire.
C'est fini.
Je suis imperméable a tout sentiments.



codage by apple
Revenir en haut Aller en bas
http://heart-of-devil.forumgratuit.com/forum
Contenu sponsorisé




MessageSujet: Re: E.N.D {KEN}   E.N.D {KEN} Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
E.N.D {KEN}
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Chroniques d'AutreMonde :: Planètes/Lunes :: Terre-
Sauter vers: