Poème de la 'tite Tiva

Hum, commençons par un léger poème mignon mais sans intérêt, un peu médiocre par son manque d'originalité (c'donne envie d'lire, hein? Nananère

). Le style peut paraître maladroit, mais j'ai encore le temps de m'exercer, de mûrir et de m'améliorer.

Les chimères :

Les chimères,
Tant belles qu’éphémères,
Défilent devant nos yeux,
Pensées absurdes des envieux.

Qu’elles soient or ou saphir,
Elles se, au fil de nos désirs,
Métamorphosent en devenant
L’objet de notre convoitise
Mais disparaissent soudainement,
Comme emporter par la brise.

Je l'ai écrit y a un baille c'lui là! Je vais mettre des plus récents. Où devrais-je dire des anciens récemment rénovés. J'en écrit plus trop en ce moment. En fait, quand je les relit, je comprends pourquoi. Certains sont pourris. Pourquoi je les poste déjà? Ah oui, je m'ennuie. En espérant que vous ne vous étoufferez devant mes créations par horreur, cordialement, Tiva. (c'donne vraiment pas envie de lire).

Titre? L'original est pourrie. "Bienvenue en enfer" Shocked

j'arrive toujours pas à croire que c'est moi qui ai trouvé ce titre pourrie. scratch

Brouillard épais,
Pensées mêlées,
Perdues dans l’immensité
De ce monde ravagé.

Ruine et mort
Sont tout ce qu’il reste
Des idéaux d’or.

De l’ardent Sud et des plaines de l’Ouest,
Du glaciale Nord et du belle Est
Il n’y a plus que de vaste ville monotone
Plus de chatoyants Printemps, plus de brûlants Eté,
Plus de gelée d’hiver, plus de léger automne,
Ne subsistent à présent que grisaille et fumée.

Il est mieux c'lui là. Le début, un peu tiré par les cheveux. Sinon, ça peut aller. Je crois.

Tiune :

J’aime la nuit,
Son calme,
Ses bruits.

J’aime les nuits,
Elles sont si calmes,
Qui dans l’infini,
Nous ont ce soir plongé,
Corps et âme,
Et la tristesse apaisée.

J’aime la nuit,
Qui fait fuir l’agonie,
Déversant sur nous sa brillante pluie.

Les étoiles qui, telles de féeriques êtres dans le ciel, scintillent,
La douce lune qui nous sourit, ébahie par sa nocturne vie,
Car pleines de rêves, d’espoirs, d’histoires, de mystère et de magie,
Elle nous plonge dans l’univers aussi réel qu’il ne l’est pas : la vie.

Oui j’aime la nuit,
Son calme, ses bruits,

Oui j’aime la nuit,
Mais qui bientôt se finie.

Je précise que Tiune est le prénom d'une déesse (de la Mort, de la Nuit, de l'Air et du Temps) que j'ai inventé dans ma fiction, "Cosnovus". Je n'ai donc pas simplement mis le mot nuit à l'envers en rajoutant un e Nananère

.

J'ai écrit celui là à onze/douze ans pour un de mes personnages de Cosnovus:
(ma vie tourne qu'autour de Cosnovus, que voulez vous...)

Ellëborf :

Il fait de plus en plus sombre,
Je la fuis, je le fuis encore !
*/
Je me suis glissée dans l’ombre,
Près des ruines de ce corridor,
*/
Les yeux mi-clos dans la pénombre
De cette agonisante mort
*/
Rougeoie tellement dans les décombres
Le funeste sabre de rubis, d’or
*/
Ma respiration s’encombre,
Je pars, laisse ici mon corps.
*/
Elle est parvenue à m’attraper,
Lui, enfin, ne le pourra plus jamais.
L'histoire c'est que son cher et tendre a été corrompu par le méga méchant (Madéüs) et il lui a enfoncé une épée dans le corps, alors qu'il l'avais retrouvé car elle s'était enfuie. Je tiens à préciser qu'elle était enceinte, histoire d'ajouter au dramatisme de la situation.(chui cruel avec mes personnages).

Je finirais sur une note légère avec un poème au combien meugnon que j'avais écrit pour l'auteure de Tara Duncan, Sophie Audoin Mamikonian. Ce poème est tellement... pathétique qu'il me donne envie de vomir. Bon vomissem... bonne lecture! silent

De toute ma vie,
De tout ce que j’ai lu,
Jamais ne m’as si épris
Que ce qu’avec Tara j’ai vu.

Merci de tout cœur,
De tout les groupes de fans,
A qui pour leur grand bonheur,
Tu as créé Tara Duncan.

Oh, oh... Moi qu'ait écrit ça? affraid

J'espère que cela ne vous à pas trop déplue, mais il fallait que je m'occupe, je m'ennuyer ferme. Au plaisir de reposter...

Bien, écoute, c'est pas mal du tout. Mieux que ce que je peux faire en tout cas (mais bon, je suis pas une référence). Fait tout de même attention au sens de tes phrases et à l'orthographe car c'est important pour pouvoir les comprendres. Fait aussi attention à ne pas trop te répéter. Je suis sûr que tu peux faire encore mieux même si c'est déja très bien.

Ça fait un bail que je suis pas passée dans la partie artistique du forum

Oh. Des poèmes. J'aime la poésie . Alors je ne te ferai pas une critique détaillée, surtout que ce serait un peu long mais je vais tout de même te critiquer un peu 8D. Go.

Alors tu vas arrêter de dire que ce que tu écris, c'est moche parce que : de un, j'ai déjà lu pire, de deux, tu peux toujours progresser et de trois, c'est lourd à entendre. Oui, oui, je t'assure x). Tu as peur de recevoir des mauvais commentaires, donc tu te la joues " Oui, je sais que c'est moche ", pour ne pas être déçue, hein ? Faut pas, tu sais. Je pense sincèrement que tu as du potentiel, parce que tu utilises des mots de la langue soutenue, la langue poétique par excellence et qui est (un brin) difficile à maîtriser. Certes, il y a de drôles de tournures de phrases, mais ça se travaille.

Ensuite, les titres de tes oeuvres. Je les trouve bien, moi. Hormis peut-être le " Bienvenue en enfer " qui fait un peu " too much "... Disons qu'il ne colle pas avec l'atmosphère créée par le poème. Mais en passant, ça ne signifie pas qu'un titre est simple (ex : " Les chimères ") qu'il est nécessairement mauvais. Les poèmes de Baudelaire le prouvent bien : " Le balcon ", " L'horloge " ... Très simple, n'est-ce pas ? Et pourtant, la qualité de ses oeuvres est indiscutable, qu'on aime ou pas ! (Perso', j'adore <3) Puis, les fautes. Bon, il y en a, mais ça se corrige après une sérieuse et profonde correction.

J'attire ton attention sur " Bienvenue en enfer ", de nouveau. Au début, le rythme est saccadé. Par la suite, le rythme s'allongit si je puis dire. Tu fais des phrases plus longues, en somme. Personnellement, j'aurais continué à utiliser des mots, au lieu de phrases, jusqu'à la fin, parce que là, ça gâche un peu ; veille toujours à garder le même rythme dans un poème. Bien sûr, il en va autrement pour une nouvelle littéraire, où tu peux jouer avec le rythme.

Bonne chance pour la suite de tes poèmes, tu es bien partie en tout cas... et relis-toi bien, surtout !

pour le premier poème je n'ai que une ou deux remarque minime à faire sur la structure,( même s'il y a marqué poème et pas poésie) tu ne respecte pas le nombre de pieds et tu as deux stroffes d'un nombre de vers différent, la première est simple avec quatre vers avec des rimes suivies, mais la deuxième a déjà six vers avec rimes suivies puis croisée. Le contenu est bien.

pour le deuxième, encor des stroffes différente les une des autres. la première rimes n'en est pas une: épais et mêlée. la deuxième ne comporte que trois vers, le vers du millieu se retrouve donc seul. pour la troisième c'est les même remarques que pour ton premier poème.

pour le troisième encore la structure. Dans ce poème tu varie trop le nombres de pied, Ses bruits: 2 pieds et La douce lune qui nous sourit, ébahie par sa nocturne vie: une vingtaine de pieds

le quatrième je n'ai presque rien à dire, juste le dernier vers qui ne rime pas.

pour le dernier, toujours ce problème de pieds. la structure général suis un shémat prédéfinit. mais sinon je n'ai qu'une chose à dire. Que c'est mignon ;)

Merci pour les commentaires :) Et désolé pour...l'autodérision, en quelques sorte. J'ai oublié d'expliquer. Je les ai postés comme ils étaient sur Word, mais en fait, les débuts, je les ai écrit quand j'avais dix/onze ans (le poème sur tara complétement à dix ans), et les parties les plus longues et élaborés à 13 ans. Désolé pour le fautes aussi, j'ai tellement modifié les poèmes qu'aux bouts d'un moment... Désolé pour l'irrégularité, mais j'essaie de m'améliorer. D'ailleurs, je viens juste d'écrire un poème, j'espère qu'il est mieux:

Rêve d’enfant :

Par delà la plaine où nous gambadions à grands rires enfants,
Par delà l’enclos où nous nous occupions des bêtes si souvent,

Au-delà du cours d’eau parsemé de majestueux nénuphars,
Bravant toute raison, tu as plongé pour cette fleur,

Que j’avais tellement désiré, mais qui pour toi me faisait si peur,
Je ne pouvais que te supplier en criant, mais il était trop tard,

Dans l’onde si fleurie et prospère, tu avais déjà sombré,
Mes genoux avaient cédé, percutant alors le sol froid et mouillé,

Je savais trop bien que, ce trophée était pour toi inaccessible,
Mais fier comme un coq, voulant m’impressionner tu te disais invincible,

L’arbre noueux et plein de vie où nos noms nous avions gravé,
Aux racines, une stèle de marbre aux rainures mordorées,
Qui, à même le sol reposait, soudainement couvert de sang frais,

Alors ces gouttes qui de ma propre personne s’étaient écoulées,
Me semblait former les mots que tant de fois j’avais recassé, songé

« Inconscient, idiot ! Tu ne savais pas nager, ni même flotter ! ».

Par delà le sang qui remplissait les lettres de ton nom ciselé,
Par delà ce nom qui de la fleur sera toujours le plus désiré.

Il y a toi, moi, l’arbre du souvenir à présent mort lui aussi,

Et quand le souffle me manquera, quand j’en aurais fini avec la vie d’ici,
Comme lorsque nous étions enfants, nous courrons, de nouveau réunis,

Dans les plaines luxuriante ; peut être aura t’il au paradis,
Des fleurs nénuphars près des berges pour qu’elles puissent être cueillis.

Il est un peu long mais je l'aime bien I love you

Je l'adore mais à la troisième stroffe encore une rime qui n'en est pas une: frais et écoulées, il y a un mot qui manque à la quatrième stroffe, il n'y a toujours pas de shémat suivit.

Je tiens à préciser: avec mes professeurs, je n'ai jamais rien appris sur la poésie. J'essaie de me débrouiller du mieux que je peux avec ce que j'ai Nananère

D'ailleurs, si quelqu'un à des tuyaux à ce sujet, je lui en serrait très reconnaissante. Désolé pour la mauvaise rime, mais je pensais que "ais" et "é" avait le même son. Euh, et juste un tuyau pour toi Sirus: "Shémat" s'écrit "Schéma".

Merci encore pour le commentaire Timothy, il était très instructif et incroyablement juste. Pour le "Bienvenue en enfer", je me suis bidonnée comme pas possibleil y a un an, où, tentant de trouver un titre, ces mots avaient traversés ma pensée. Oui, légèrement "too much", en effet... Laughing

Je me suis... auto déraisonnée (si je puis dire) car j'ai l'habitude au critique de mon Moi intérieur. Un Moi intérieur qui est un peu lourd sur les bords :)

Oui les tournures de phrases sont... bizarres. J'espère que le poème que j'ai écrit ce matin (et non il y a des lunes comme les autres) est meilleur. Tout ce que je sais, c'est que je me suis éclatée à l'écrire. :D

Et j'ai modifié la majorité des erreurs du nouveau poème, sauf la mauvaise rime, car avec mon accent elle est juste lol!

» Un poème...
» Petit poeme
» Imprévu, ou les petits villages ne sont pas les plus tranquilles... [PV Tiva, Will et Alwin]
» ~Tiva D'Enato~ Émerveillement de tout ennuyé par votre prévisible bassesse.
» Ma ch'tite galerie