L'art de se bousculer. [PV]

tout était allez très vite la BSH m'avait voler le collier et la dague avait foncer droit vers mon coeur mais la jeune vampyr dénommée Anna c'était interposer et avait reçu le poignard en pleine main alors ce fut un moment terrible, je ne savais que faire aussi je fit la seule chose a faire:
"Aurore rattrape moi ce collier maintenant" ordonnai-je mentalement a mon félin
puis j'incantai en direction d'Anna :
"Par le reparus, que la blessure disparaisse, et que la douleur cesse, puis voyant que mon familier n'arrivait pas a atteindre la vampyr elle invoqua de nouveau sa magie,Par le Contraignus, que ce collier soit a moi, car il n'a pas d'autre choix "
et le collier s'envola rapidement puis je l'enfoui dans ma poche, mon plan n'avait pas totalement fonctionné, j'avais certes soigné la blessure de la jeune vampyr qui m'avait sauver et j'avais récupéré le collier mais avec mon familier nous devions maintenant géré un siamois en colère et une vampyr très énerver, et la foule ne faisait rien pour m'aider les passant nous dévisageaient mais ne bougeaient pas, certain d'entre eux restaient nous regardaient attendant que le combat commence, mais je ne pouvais surement pas le gagner surtout que je ne pouvais utiliser la magie sylvestre, trop reconnaissable, je devais me débrouiller autrement, comment faire? Je prit une profonde inspiration, j'allais faire quelque chose d’impensable, je transphormai mon familier et moi'même en vampyr et en siamois, peut-être serions nous a force égale. Mon familier me dit alors deux mots a l'interieur de mon crâne:
" MAUVAISE IDÉE"

Bon, les évènements s’enchaînèrent un peu plus vite que prévue. La réponse que lui fit Anna ne la surprit pas une seconde, mais elle comprit automatiquement que si jamais elle avait pu, Anna l’aurait giflé. Et pas en douceur. La sangrave/vampyre de la brigade noire menaça une fois de plus Luna. Un dilemme s’imposa à Phébé : Devait-elle dire à Anna qui était Luna, ce qui sauverait (peut-être) la BSH, mais qui voudrait dire qu’elle connaissait bien trop les sangraves pour ne pas en être une, ou devait-elle laissait Anna comprendre toute seule, ce qui était plus risqué pour Luna mais qui lui sauvait la peau (pour un petit moment).

Au final, elle n’eut pas à se décider. Ce furent les évènements qui choisirent. Luna frappa Anna, ce qui sembla mettre la vampyre dans un état de colère ‘’froide’’. Phébé discerna sans peine le poignard, dans sa poche. Sûrement parce qu’elle en avait un sous la main elle aussi. Puis Thalia dut dire quelque chose qui fâcha Luna. L’elfe sortit ensuite un collier. Phébé hésita un instant avant de reconnaître le bijou d’une des cousines de la reine. Seul hic : Il n’y avait pas d’elfe dans la ligné royale.

Luna aussi devait être arrivé à cette conclusion. Parce qu’elle reprit brusquement sa véritable apparence. Ce qui pouvait passer pour un acte de stupidité extrême, vu qu’elles étaient dans les rue de Travia, plus précisément près des boutiques, là où le plus de monde se réunissait. Mais pour la tête que fit Anna, ça valait bien le coup. L’ennui, c’est que de plus en plus de personne se réunissait autours d’elles. Et que mis à part Phébé, personne ne semblait l’avoir remarqué. Au passage, la vampyre aperçue une sublime paire de botte, talon haut (environ 7-8-9 cm). Avec ça, elle pourrait dépasser (un peu) le mètre 50. Triste obsession que de vouloir à tout prix grandir. Peter Pan n’aurait pas été d’accords. Mais lui, il était grand pour son âge.

Pendant qu’elle réfléchissait à combien de centimètre exactement devait faire les bottes, enfin, le talon des bottes, Luna tenta d’envoyer un poignard vers Thalia. Anna s’interposa et la lame lui déchira la main. Ou quelque chose comme ça. Quoi qu’il en soit, Anna était par terre avec la paume déchirée, le genre de blessure qu’on infligeait dans les prisons de la forteresse parce qu’elles n’étaient pas facile à guérir, et que dans tous les cas, elles laissaient des cicatrices.

Thalia invoqua un réparus en direction d’Anna, avant de lancer un contraignus au collier que tenait Luna. Anna sauta sur Luna et la fit tomber au passage, tandis que Thalia réfléchissait. Quant à la blessure à la main d’Anna, elle ne semblait que partiellement guéri. Tandis que Luna et Anna roulait par terre, les gens qui s’étaient réunis autour d’elles laissèrent échapper un gémissement de peur, même si ils ne firent rien. Des moutons qui attendaient que quelqu’un prenne une décision pour eux. Mais qui finirait bien par en prendre une. Et c’était justement ça le problème.

« Rend moi ma taille normal et agis! »
« Malik, tu es au courant que ce que tu me demande est peut-être très stupide? »
« L’idée en tant que telle n’est pas stupide, c’est ta façon de la mettre en œuvre.»
« Et bien merci, mon cher scorpion! »
« Mais de rien, petite idiote. »

Discourt typique entre deux personne qui s’aime bien, mais ne se supporte pas. Phébé réfléchit un instant : Elle savait parfaitement ce que lui conseillé son familier, mais ne savait pas si les gens autour d’elles les croiraient. Doucement, elle sortit un poignard de sa poche. Il ressemblait plus à la lame d’un rasoir qu’à un poignard en tant que tel, mais c’était parfait pour ce qu’elle avait besoin. Puis, elle leva le sort qu’elle lançait constamment à son familier. Le scorpion devint immédiatement minuscule, ne dépassant pas la taille du pouce. Il se glissa silencieusement le long de son bras, sachant à la perfection ce que sa partenaire allait faire. Elle s’avançât vers les deux autres vampyres, et tira Anna vers elle. Son familier, quant à lui, fit exactement ce qu’elle voulait.

De façon presque imperceptible, elle plaça le poignard contre le cou d’Anna. Elle n’entendit aucuns murmures dans la foule : apparemment, les gens avaient crus à l’illusion qu’elle tentait de donner, celle d’une jeune vampyre qui vient en aider une autre. Puis elle murmura, pour que la foule n’entende pas ce qu’elle disait :

-Anna, évite de bouger s’il te plaît, je n’ai pas plus que ça envie de percer ta jugulaire, ça pourrait-être mortel. Ça compte aussi pour toi, Thalia, tu ne voudrais pas que ta sauveuse meure à cause de toi, n’est-ce pas? Elle crut discerner un léger sourire sur le visage de Luna, et poursuivi : Quant à toi, Luna, je me vois dans l’obligation de te signaler qu’un scorpion noir est… quelque part sur toi, et qu’il n’attend qu’un geste pour te piquer. Et s’il le fait, tu auras trois ou quatre minute pour trouver un antidote, avant d’arrêter de souffrir définitivement. Elle laissa passer une trentaine de seconde, le temps qu’elles digèrent les nouvelles informations, et souris : Maintenant, Luna, tu vas changer d’apparence, pour en prendre une moins connue. Puis, on va discuter calmement, tout le monde va ranger ses poignards ou son familier, et on va fournir un prétexte aux personnes qui nous entourent pour qu’ils ne croient pas ce qu’ils voient. Des questions? Non, très bien.

Si sa main gauche menaçait toujours Anna, la droite, elle s’attarda un instant sur la blessure de la vampyre. Un instant de trop, sûrement. Elle sentit la douleur qui passait dans sa main et maudit simultanément quatre personne : Magister, qui n’avait pas à jouer avec ses gènes, Luna, qui n’était pas obligé de poignarder tout le monde, Anna, qui n’avait pas à prendre le coup, et enfin, elle-même, qui n’avait pas à ressentir plus ou moins de la pitié pour la vampyre.

Quoi qu’il en soit, elle ressentait désormais la douleur dans sa main comme si c’était elle qui avait la main percé. Quant à Anna, elle devait se demander pourquoi elle n’avait plus mal à la main, sans que sa blessure soit guérie.

Les propos de la petite vampyre la surprirent. Elle savait qui elle était réellement,, où alors elle ne l'aurait pas poignarder. La douleur à sa main disparut d'un coup, comme ça, mais Anna vit que restait la cicatrice. Pourquoi la douleur avait-elle disparue d'un coup ? Anna resta perplexe un petit bout de temps.
Anna lança un Mintus. Puis un transmitus dans un endroit moins... peuplé. Une ruelle où jamais personne ne se promenait ou n'habitait, vu les maisons aux carreaux tout cassés. Le problème, c'est qu'elle avait emmené tout le monde à cinq mètres à sa ronde, y compris un passant qui regardait en l'air. Et qu'évidemment, dans sa précipitations, elle n'avait pas incanté (avec un couteau s'enfonçant dans sa gorge, elle n'allait pas parler). Anna ne sut si c'était vrai ou pas, mais le couteau semblait s'enfoncer un peu plus dans sa gorge. Et sa vie se rapprocher encore plus dans la mort.

Jamais je n'aurais imaginer qu'une des vampyr prendrait une autre vampyr en otage, ou encore que la vampyr invoquerait un transmitus, tout allait au plus mal, surtout que la rue était presque deserte, les passant restèrent hagard un instant avant de regarder le scène avec appréhension, mais en me transformant de nouveau, je vis qu'en faite il avait peur, c'est alors que l'improbable arriva: des gardes, des gardes royaux c'est alors que je me rendit compte d'une chose la blessure c'était un transfert unique, ce n'était plus Anna qui était blesser, c'était Phébé, seul les sangrave avaient cette possibilité et exclusivement entre eux, il y avait donc un espion dans les rang des brigades noires, et je ne pouvais témoigner en tant qu'agent ça ruinerais toutes mes couvertures et toutes mes chances de Le retrouver, lui qui m'avait détruit, je ne pouvais pas la dénoncer mais les gardes eux ... Alors que j'allais leur crier de les regarder je vis avec horreur et amertume qu'il s'agissait de garde gris, peut-être l'un des quartier secret, mais je ne pouvais les laisser nous remarquer alors j'incantas tout bas pour qu'on ne nous voit pas mais pour pas qu'il ne perçoivent aucun signe de notre présences, a mon soulagement, ils passèrent sans nous remarquer, mais il était possible qu'il s'agissent s'une tactique afin de scruter le terrain avant d'agir, je tentai de gagner du temps, je préférais pouvoir lutter librement contre une vampire sans qu'un de ses "Spectateurs" ne s'évanouisse car maintenant je pouvais permettre la localisation de la forteresse grise aurore a mes coté réagit a mes pensée:
"évite de nous faire enlever si il est la-bas tu vas en baver et moi aussi...
- je sait mais tu préfère quoi te faire enlever et pouvoir tous les sauver où en faire mourir trois ou quatre personnes
- mais lance un nouveau transmitus
_ je vais essayer "
Je pris mes forces qui me restais et incantas mentalement
" Par le transmitus ailleurs emmènes moi, ainsi nos vie tu sauveras"
Mes pouvoirs entrèrent en action =s et on se retrouvas devant une échoppe de magnifique étoffes, qui furent très vite par terre et notre "situation" sur la vitrine

[Désolée du retard, mais le nouveau design' me zappe toute inspiration]

Tout s'était passée si vite que Luna n'avait le temps de rien comprendre. Quand tout s'arreta enfin de bouger la BSH se rendit compte que cela avait était une très très grosse erreur que d'avoir mit au grand jour sa véritable apparence. Mais heureusement, elle n'était pas la seule à ne pas être en très bonne posture: Anna se retrouva avec un poignard sous la jugulaire, poignard qui était tenu par Phébée, qui semblait determinait à transpercer la gorge. En meme temps les Sangraves était sans pitiée. La scène avait quelque chose d'ironique, dans le fait que Phébée était vraiment petite et Anna plutot grande. Mais toute ironie disparu quand Phébée murmura d'une voix serieuse:

Anna, évite de bouger s’il te plaît, je n’ai pas plus que ça envie de percer ta jugulaire, ça pourrait-être mortel. Ça compte aussi pour toi, Thalia, tu ne voudrais pas que ta sauveuse meure à cause de toi, n’est-ce pas? (Luna eut un vilain sourire quand Phébée dit ça, qui disparu dès qu'elle poursuivit) Quant à toi, Luna, je me vois dans l’obligation de te signaler qu’un scorpion noir est… quelque part sur toi, et qu’il n’attend qu’un geste pour te piquer. Et s’il le fait, tu auras trois ou quatre minute pour trouver un antidote, avant d’arrêter de souffrir définitivement. Luna était obligée d'accepter à regret car elle haïssait se faire subir des ordres. Phébée laissa passer une trentaine de seconde, le temps qu’elles digèrent les nouvelles informations, et souris: Maintenant, Luna, tu vas changer d’apparence, pour en prendre une moins connue. Puis, on va discuter calmement, tout le monde va ranger ses poignards ou son familier, et on va fournir un prétexte aux personnes qui nous entourent pour qu’ils ne croient pas ce qu’ils voient. Des questions? Non, très bien.

Luna cracha par terre montrant qu'elle acceptait de suivre les ordres de Phébée uniquement car elle y était forcée. Elle se rendit alors compte que quelques personnes commençait à s'approcher, et que si il reflechissait ils appeleraient des gardes pour leurs signaler une bagarre en presence de Sangraves. La vampyr imagina alors un plan tordu pour se sortir d'affaire. Elle récupéra sa dague la rangea dans son corset, incanta pour se donner l'apparence d'une demi elfe, svelte, aux cheveux roses, vétue d'une combinaison d'un simple ensemble bleu foncé. Elle se racla la gorge et lança alors d'une voix plus grave que la sienne, en esperant que les autres rentreraient dans son jeu:

Surprise ! Nous sommes des artistes de theatre de rues, et nous avons organisé cette pièce pour vous... divertir pendant vos courses ! elle apercut que Thalia allumait sa magie pour lancer un transmitus et abrégea: Bon mais maintenant la pièce et finis, nous devons partir. Nous reviendrons peut être en esperant que cette pièce vous a plus. Au revoir à tou...

Elle n'eut pas le temps de terminer son mot que déjà elle fut aspirer par le transmitus de Thalia, qui les menèrent dans une vitrine. Luna ne s'en rendit pas tout de suite compte, car elle incanta pour retrouver sa véritable apparence, et avoir sa dague à la main. Elle s'appreta à toutes les menacer, alors qu'un hurlement lui parvint. La vendeuse venait de se rendre compte que des filles armées venait de pénétrer dans son magasin. Luna soupira car Phébée avait bien préciser "endroit discret". Elle soupira un presque innaudible "Tu parles d'un endroit discret" avant d'incanter un transmitus pour les mener dans un bar où on ne faisait pas attention à qui venait y boire. Luna commanda cinq verres de Tzinpaf, quand elles furent apparues devant le serveur nain, avant de les mener à une tables un peu reculée où elles pourraient parler librement. Elle s'assis sur une banquette, posa sa dague sur la table et soupira en croisant les bras avec un léger sourire:

Je n'arrive pas à croire que je ne vous ai pas déjà toute tuer... Enfin bon. Là nous serons tranquilles, pas mal de Sangraves viennent ici, tant qu'on paye les serveurs se fichent de qui nous sommes. Bref, Phébée j'espère que ceux que tu avais à nous dire est important. J'ai une victime sur le feu actuellement.