Métier : aventurière sans avenir... ou future jourstaliste ? Résidence : Omois Dans le sac : interroger les gens jusqu'à leur mort... eh oui, elle est démoniaque, dasn son genre !
Sujet: Une petite nouvelle - Avis ? Sam 20 Nov 2010 - 18:52
Je dis "petite", car elle ne fait que cinq pages.
Spoiler:
Rencontre avec son père et conséquence « Alya ! criait une voix. - J'arrive ! » répondit l'intéressée. Aujourd'hui était un jour spécial pour Alya. Sa mère avait enfin accepter qu'elle voit son père. Elle ne comprenait pas pourquoi elle avait accepté aussi facilement quand elle le lui avait imploré ce lundi. Elle le lui avait demandé bien des fois avant, et elle avait toujours refusé. Elle ne voulait pas revoir son ex qui l'avait trompé juste avant la naissance d'Alya. Elle avait rompu ses fiançailles avec lui dès qu'une amie le lui avait dit. Et elle avait toujours fait en sorte afin que sa fille ne puisse pas le voir. Mais cette semaine, elle avait brusquement changé d'avis. Elle souriait quand elle lui avait rappelé qu'elle voulait savoir qui il était.. Voulait-elle aussi le revoir ? Alya le pensait, mais elle n'en était pas totalement sûre. Elle avait redouté toute la semaine qu'elle ne revienne sur sa décision, mais elle n'avait pas annulé le rendez-vous au restaurant de luxe de la ville, Godson. C'était un restaurant trois étoiles, et très cher, mais elle avait insisté pour que mon père accepte au téléphone. Elle ne passait jamais le téléphone à elle, et ne mettait pas le haut-parleur mais elle arrivait à comprendre le sujet de ses discussions en tendant bien l'oreille et en devinant les réponses de mon père. Elle allait toujours dans une pièce où Alya n'étais pas pour répondre au téléphone, à priori pour ne pas la déranger. Mais elle savait parfaitement que c'était pour qu'elle ne suive pas le fil de la conversation. Cela lui faisait mal au cœur qu'elle ne lui fasse pas assez confiance pour ne pas sortir du salon quand elle y était et que le téléphone se mettait à vibrer. Elle n'utilisait pas le téléphone fixe, préférant son nouveau téléphone tactile avec accès à Internet, plus pratique. Alya ne la comprenait pas : pour elle, le téléphone mobile, c'était moins gros, donc moins pratique. Mais sa mère ignorait ses commentaires par rapport à l'appareil téléphonique. Alya se dépêcha de se brosser ses cheveux mi-long et lisses, d'un brun assez clairs, plus clairs encore que ses yeux en amande. Sa frange venait d'être retaillée, et elle s'était fait trois mèches blondes, une du côté droit et deux du côté gauche. Sa mère l'avait grondé pour sa coiffure, mais comme c'était elle qui payait ses habits, chaussures, coiffures, bijoux, maquillage... elle ne pouvait rien lui dire. Son maquillage argenté était de fête, habituellement, elle mettait le maquillage le plus discret possible. Elle s'était mis un jean tout simple, droit, et une tunique violette clair, à col roulé, acheté la veille en rentrant du collège, avec ses amies Lila et Anna, qui adoraient le shopping et l'invitaient souvent à la boutique de vêtement à côté du collège, très branchée mais à des prix abordables. Alya n'avait pas énormément d'argent par mois, sa mère ne voulait pas lui en donner trop, de peur d'en faire une fashion victim. Mais sans vouloir vexer sa mère, elle était victime de la mode, et avait du mal à résister au nouveau pantalon de chez Luxoria, et donc à économiser. Quand elle y arrivait, cela ne durait pas longtemps avant qu'elle n'achète une sacoche, un nouveau sac de cours car son ancien datait de plus de six mois, etc.. Alya avait beau être en quatrième, elle n'arrivait toujours pas à gérer son argent de poche. « Alya ! Qu'est-ce que j'ai dit ? Tu viens ou non ? la rappela sa mère. - Dans une minute, maman ! Le temps de mettre mes chaussures ! » s'excusa Alya. Elle attrapa rapidement ses bottines en cuir noir, talon dix centimètres, et les enfila sur ses chaussettes. Enfin prête, elle sortit de sa chambre, traversa le salon, et arriva à l'entrée. Sa mère l'attendait. Alya fut éblouie : sa mère avait quitté ses habituels joggings et T-shirts pour une robe bleu marine. Le résultat n'était pas superbe, mais c'était un bon début de beauté, car sa mère était vraiment horrible dans ses vêtements « confortables ». La voir sans habits de sport l'avait stupéfaite. « Ça me me va pas ? Je peux aller me rechanger, tu sais, s'inquiéta sa mère. Non non, tu es magnifique ! Reste comme tu es, c'est super ! Elle ne voulait surtout pas qu'elle se rhabille comme d'habitude. Elle se demandait où elle avait dénichée cette robe, vu elle n'en avait jamais mis avant. Mais elle ne lui posa pas la question, de peur de la réponse, qui serait dans un vide-grenier ou un truc dans le genre. Elle dépassa la porte d'entrée pour être dehors, et se dirigea vers la voiture, garée devant. Comme elle habitait en centre-ville, il était rare que sa mère puisse se garer pile devant chez elle. Alya monta dans la voiture dès que sa mère l'eût ouverte, s'asseyant confortablement derrière. Sa mère allait d'abord chercher son père, et donc elle ne pouvait pas faire le trajet devant. Sa mère démarra, et Alya vit sa rue défiler à travers les vitres et la quitta en lui adressant un signe de sa main. C'était idiot, mais elle allait en territoire inconnu, vu que son père habitait à une vingtaine de kilomètres de là, dans un village nommé Valembourg. Elle voulut dormir dans la voiture, mais n'y arriva pas. Qu'allait-il se passer durant ce paisible samedi midi ? Elle se dressa à l'approche du village, quand les poteaux d'indications indiquait le petit village à un seul et nique kilomètre. Elle avait envie de faire demi-tour, abandonner l'idée de ce repas à Godson. Elle ne savait pas ce qu'elle allait dire à son père. Alors quand la voiture se gara dans le parking public, elle attendit avec sa chair de poule arriver un homme grand, aux cheveux noirs et aux yeux aussi noir que sa coiffure et... transperçants. Était-ce lui son père ?. Il semblait car il ouvrit la portière avant, s'engouffra par l'ouverture, et dit en souriant d'un sourire qui me semblait forcé : « Bonjour Marie. » Marie, c'était sa mère. Son père s'assit, et l'embrassa sur la joue. Alya étant assise à la place droite-arrière, voyait parfaitement sa mère devenir rouge comme une tomate. Son père était grand, sa tête frôlait le toit de la voiture. Il ne l'avait pas salué, elle, et il lui semblait qu'elle n'existait pas. Qu'elle était une intruse. « Oh Marie, si tu savais, tout le mal, qu'pour toi j'ai fait... chantonnait son père. - Oh Gérard ! » soupira ma mère. Il semblait qu'il s'étaient vu avant, car ils ne seraient pas comme des tourtereaux à la première rencontre depuis douze ans. Alya soupira. La voiture avançait lentement. Ma mère ne conduisait pas bien, riant à toutes les plaisanteries de mon père, et moi, je n'aimais pas l'air parfaitement idiot qu'elle prenait en écoutant. Parfaitement bête. Alya en voulait à sa mère de ne pas lui avoir dit qu'elle le fréquentait. « Alya ? l'appela sa mère. Nous sommes arrivées. Tu peux te réveiller. En effet, Alya s'était endormie dans la voiture, bercée par le grondement sourd du moteur. Elle se remit droit sur son siège, et sortit. Son père lui avait ouvert la porte, et elle l'avait remercié d'un petit « merci » discret, si discret qu'elle se demandait s'il l'avait entendu. Il le semblait, car il avait un léger sourire à avoir entendu son remerciement, mais Alya avait mis du temps pour le percepter. Ce fut... magique. À ce sourire, il lui semblait qu'il n'en existait pas de semblable, et que c'était... très rare de la part de son père. Ce n'était pas le faux sourire forcé qu'il avait arboré en entrant avant dans la voiture, c'était un vrai, unique. D'une valeur inestimable. Elle rougit. C'était obligé, tellement ce sourire était... Attirant. Elle voulait qu'il reste là, à sourire, bêtement, tenant la portière de la voiture ouverte. Elle était bouche béat. Son père lui fit un clin d'œil, mais sa mère la rappela de sa rêverie : « On entre ? » dit-elle en désignant le restaurant. Son père referma la portière en douceur, et rejoignit sa mère. Alya fut déçue qu'il ne reste pas et préfère aller au restaurant. « Je ne mangerai pas ce midi, dit-il. J'ai trop mangé au petit-déjeuner, et mon ventre ne pourrait pas supporter. » Ah bon ? Il pouvait se forcer, quand même ! Mais ni sa mère ni elle n'émit de réflexion. Ce fut silence jusqu'à la salle de restaurant. Un serveur leur montra leur table. Il avait un faux sourire, et penchait souvent la tête, comme pour dire oui. Alya s'était assise en face de son père, sa mère étant assise à côté de son père. Personne ne parlait. À la fin, son père ouvrit la bouche pour un sujet de discussion. Il parlait de l'ambiance de ce restaurant. Chic. Des rideaux lourds rouges et oranges à toutes les fenêtres. Ma mère vanta les plats, bien qu'elle n'avait jamais mangé ici, disant que sur le Net, on disait que le caviar était délicieux. Mais mon père ne s'intéressait pas à la nourriture, ne répondant que par des « sûrement », « bien sûr », ou « certes ». Bref, il n'accrochait pas. Alya ne parlait pas. Elle regardait son père. Mais elle avait beau le regarder, elle ne savait définir sa beauté. Elle semblait irréelle, tellement elle était belle. Elle avait noté ses yeux totalement noirs, assortis à ses cheveux, mais dans ses traits... C'était indescriptible. Il était impossible de dresser de lui un portrait robot, de le dessiner, et encore moins de le peindre. Il était trop beau, voilà tout. À le dévisager, son père devait se douter de quelque chose. Tout d'un coup, elle vit la chose qui clochait : son âge. Il semblait avoir à peine atteint sa majorité, bien que sa mère lui avait dit qu'il avait la trentaine passée. À quoi était-ce dû ? Sa jeunesse semblait impossible. « Je vais aux toilettes. Tu m'accompagnes, Alya ? » Au début, elle avait compris d'entrer dans les toilettes des hommes, mais elle s'était doutée l'instant suivant que ce n'était que l'emmener jusqu'à la porte. Elle se leva donc, et l'accompagna à travers un long couloir à la porte des W.C. pour hommes. Et là... une des choses les pires se produit. Enfin, c'était ce qu'elle pensait. Elle tomba, sûrement ayant du mal à marcher à cause de ses talons. Elle s'attendait au choc du sol dans son dos, mais dans un élan surhumain, son père se précipita pour l'empêcher de se briser les côtes. Son cœur battait très fort dans sa poitrine, du fait de la chute qu'elle aurait pu faire. « Tu veux aller dehors prendre l'air ? » demanda son père. Alya ne sut refuser, et son père l'emmena à l'extérieur, par l'entrée, après avoir fait un signe de la main à sa mère pour indiquer que ce n'était pas grave. Elle marchait en titubant. Le moindre pas lui semblait incertain. Je faillis tomber à plusieurs reprise, mais elle se raccrochait au bras de son père. Une fois dehors, elle respira l'air frais, et se sentit tout de suite mieux. « Viens, lui murmura son père d'une voix suave. Je vais aller à la voiture voir s'il y a un petit remontant pour toi. » Alya se sentait maintenant très bien, mais un peu... déboussolée. Elle suivit son père dans la voiture sans discuter. Elle monta à l'avant, comme hypnotisé par ces : « Où est la trousse de premier secours ? ». Elle ne fut pas surprise quand la voiture démarra, et s'éloignant du restaurant. Ils n'allèrent pas loin, à seulement un kilomètre de là. Ils se retrouvèrent à la campagne, au milieu des champs. Elle descendit alors. Elle ne pouvait détacher son regard de son père. Il était si... Beau, hypnotisant, majestueux, un peu intimidant. Rectification : très intimidant. Alya fut au comble de son bonheur quand ils s'assirent dans l'herbe, côte à côte. Son père semblait avoir quinze ans. Elle entendit au fond d'elle battre pour la première fois son cœur à une vitesse qu'elle n'éprouvait alors que quand elle faisait du sport, et encore, du sport extrême, comme de la course de vitesse. Elle s'approcha de lui. Il saisit sa jambe et la fit faire une roulade arrière. « Je sais ce que tu éprouves pour moi. Mais sache donc, pour ta peine, que ta mère m'a fait passé pour ton père pour que tu acceptes ma présence alors qu'en fait, je n'était que son... Disons copain. » Alya écoutait sans vraiment comprendre les mots. Elle buvait toutes les paroles qui sortaient de sa bouche. Elle réalisa après une minute de silence qu'il n'était pas son père. Elle se risqua à lui poser une question : « Mais... Quelle âge as-tu ? » Son père haussa les épaules en grognant. Il ne semblait pas se soucier de son âge. Il poussa un long soupir avant de reprendre la parole : « Je suis assez jeune. Je n'ai que quarante ans. » Que quarante ans ? En temps normal, Alya aurait rétorqué, mais là, elle se contenta de hocher la tête. C'est alors qu'il la prit dans ses bras. Fermement, mais Alya frissonna à l'approche de sa peau qui était plus froide que la sienne. Son pseudo-père semblait vouloir l'embrasser. Alya réprima un frisson. Quand elle sentit sa main caresser ses cheveux, et les mettre tous du même côté, elle sentit son cœur exploser. Tout allait si vite. Trop vite, peut-être. Mais elle ne voulait surtout pas ralentir. Continuer, quitte à mourir. « Là, c'est bien là... » murmura-t-il avant de pencher ses lèvres à son cou. Alya sentit le baiser et frissonna de nouveau. Il était si... Intense, c'était le mot. Elle ne disait rien, se laissant faire. Elle voulait que le mot devienne éternel, sans fin. Elle savait qu'il serait unique. Elle bougea sa tête, très doucement, pour voir comment il réagirait. Il ne fit que la serrer plus fort, et Alya sentit qu'elle avait maintenant des bleus au bras, et non-négligeable. « Laisse-toi faire, chuchota-t-il alors à son oreille, articulant chaque mot et se détachant de son baiser. Laisse-moi faire. » Le souvenir du plaisir intense qu'elle avait alors disparut. Tout ne fut que souffrance. Son père s'était approché de sa gorge, mais cette fois, la mordit, en trouant sa peau. Et Alya sentit sa vie s'en aller en même temps que le vampire festoyait de son sang. Elle avait horriblement mal au cou. Elle aurait voulu mourir, là, à l'instant même. Se suicider. La douleur semblait interminable, et de plus en plus violente. C'était un vrai supplice, à chaque seconde. Elle se sentait devenir de plus en pus faible, et le vampire devenir de plus en plus fort, la serrant de plus en plus. La mort venait, elle en était sûre. Elle revit toute sa vie défiler devant ses yeux... La mort de son chiot, Victor, écrasé par une voiture. Et comment elle aurait pu éviter sa mort. Elle voyait chaque épisode qu'elle pensait raté de sa vie repasser, mais corrigé. Arriva le dernier : elle se voyait, elle, refuser de monter dans la voiture qui la mènerait à son lieu de mort, et lui lancer des répliques telles qu'il finirait par se désintéresser d'elle et choisir une autre victime. Il le vit s'approcher d'une autre table du restaurant, et aborder la jeune femme qui y mangeait avec son mari et ses quatre enfants. « Non ! se cria-t-elle à sa conscience. Je ne veux pas de mort ! ». Mais elle voyait le vampire mordre à l'endroit qui lui faisait maintenant mal depuis quelques minutes, et mourir à petit feu. Mais bientôt, elle ne put réfléchir convenablement, son cerveau n'étant plus convenablement irrigué. Elle se débattit dans sa tête, mais sombra deux secondes plus tard dans l'inconscience.
Le Petit Journaliste de Metz, le 25 novembre 20xx (dernière page, celle des morts par suicide et/ou assassinat : C'est avec grand regret que nous apprenons la mort déplorable de Alya Uline, fille de Béatrice Uline. Elle a été découverte près de la ferme de Grandjean, totalement vidée de son sang. La situation reste encore inexpliquée, bien que les enquêteurs s'acharnent sur le sujet. Il semblerait que le meurtrier ait voulu faire croire à une mort surnaturelle, mais les enquêteurs soupçonnent du point qu'il s'agirait d'une mort par étouffement, vu les traces sur son corps de serrement. La police enquête. « La mort d'Alya Uline restera inexpliquée jusqu'à la fin des temps », déclare sa mère, qui demande aux policiers de stopper l'enquête. Mais l'enquête ne stoppera qu'en décembre, s'il n'y a pas de nouveaux indices.
Ouh là, je trouve que je me suis dépassée. Au début, je voulais faire un livre avec des chapitres, mais là, j'ai un peu décroché à la fin, et je n'ai fait qu'une nouvelle. Mais je trouve que c'est quand même bien.
Wanda
Age du personnage : Vingt-deux ans. Elle dit.
Familier : Bloups. Couleur de magie : Plouf. Niveau de magie :
Inexistant
Niveau de combat :
Plutôt élevé
Métier : Conseillère technique en explosif et mécaniques, vendeuse d'arme avec permis. Résidence : Un appart avec son frangin. Dans le sac : De l'engrais chimique, du charbon et du souffre. Un sachet de sucre aussi.
Affinités : Ariel ! ♥ Arielarielarielarielariel. Ariel. ARIel. AriEL. aRiel. arIel. ariEl. arieL. Leirariel. Aririel, Aelri. Elari. Elria. A-ri-el. ARIEL. A-r-i-e-l. Ariiel ! Arieeeel ! -> Son frangin. C'est beau la famille. (surtout quand ça vire à l'obsession.)
Sujet: Re: Une petite nouvelle - Avis ? Dim 21 Nov 2010 - 0:52
C'est trop... suprablissimement génial (avis: ne pas chercher l'adverbe en gras précédamment employé dans un dictionnaire. Il fait parti de mon vocabulaire personnel :D) !!! Mais, une ou deux questions que je me pose: La mère d'Alya était t'elle au courant de la... vampirisation? Si non, comment se fait t'il que ni elle ne Alya n'est trouvé sa bizarre qu'il propose à sa fille de l'accompagner au toilette? Enfin bon, c'est deux question qui me viennent en tête comme ça, à toi dis répondre si tu veux... Et puis, ta nouvelle (en plus d"être excellente), je l'imaginerais bien comme un prologue d'un bon roman policier.
Anna Dr'til
Age du personnage : 14
Familier : Dian, un renard pas toujours présent Couleur de magie : rouge foncé Niveau de magie :
Elevé
Niveau de combat :
Plutôt élevé
Métier : Aucun en ce moment Résidence : Un peu partout sur Autremonde, mais plus principalement au Lancovit Dans le sac : porte-monnaie pas tellement rempli... Quelques armes, juste au cas où...
Sujet: Re: Une petite nouvelle - Avis ? Dim 21 Nov 2010 - 10:03
ça pourrait l'être... En réponse à tes questions : sa mère est... Ensorcelée, comme Alya, en présence du vampire, et ne peut pas bien réfléchir... On ne sait pas si elle est au courant, c'est au lecteur de décider.
Jar'tylanhnem Duncan
Age du personnage : 19 ans
Familier : inexistant Couleur de magie : Violette Niveau de magie :
Très élevé
Niveau de combat :
Plutôt élevé
Métier : Empereur d'Omois. Résidence : La suite la plus luxueuse du palais de Tingapour Dans le sac : secret d'État. (de la paperasse, deux ou trois livres, des boules de cristal, des vêtements de rechange, des potions de soin et du poison, un taludi, un DRAC)
Affinités : Mara : sœur jumelle. On se croyait inséparables, jusqu'à ce qu'on prenne des chemins différents, trop peut-être. Malgré tout, on sera toujours là pour veiller l'un sur l'autre.
Tara : sœur ainée & ex-héritière du trône. Meurtre raté. Et pourtant tu t'es acharnée à essayer de me faire confiance. Je suppose que je te suis redevable maintenant. Fait chier.
Magister : "père" décédé. Vous m'avez tout appris. Jusqu'à ce que vous me laissiez tomber. Dommage pour vous.
Selena : "mère" dont j'avais oublié l'existence. Le temps ne se rattrape pas, alors qu'est-ce que ça peut bien faire si l'Amemorus a été levé ?
Amber : tu me crois si je te dis que je suis désolé ? Pour une fois, c'est sincère. Merci pour ton silence et tes confidences.
toi ? (MP si t'as envie d'un lien)
Sujet: Re: Une petite nouvelle - Avis ? Dim 21 Nov 2010 - 12:35
Vraiment génial ! J'aime bien le mystère qui règne autour du faux père vrai vampire. :)
Aline Shannon
Age du personnage : 13
Métier : aventurière sans avenir... ou future jourstaliste ? Résidence : Omois Dans le sac : interroger les gens jusqu'à leur mort... eh oui, elle est démoniaque, dasn son genre !
Sujet: Re: Une petite nouvelle - Avis ? Dim 21 Nov 2010 - 13:02
Comme Ana, Alya découvre son père, même si ce n'est pas le vrai. Si je ré-accroche à l'histoire, je pourrais faire un roman policier, mais je ne pense pas que je vais faire un gros livre avec cette histoire. Je fais déjà deux livres en même temps, alors ça me suffit.