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 Quand le mal décide de tuer l'amour

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AuteurMessage
Avalyvy'ia


Avalyvy'ia

Age du personnage : 16 ans dAutremonde

Familier : Vinda, une espèce non-identifiée.
Couleur de magie : Dorée
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Elevé


Métier : Ai presque fini mes études pour les Services secrets d'Omois (et suis donc en phase pratique) mais tu crois bien que j'ai des couvertures, pas conne hein!
Résidence : Omois et une maison de campagne à Selenda
Dans le sac : Une demi-douzaine d'armes, une bourse de crédits-muts, de l'eau, une brosse à cheveux.

Affinités : -Mystéria :je ne te connais pas bien mais on a un voleur à rattraper toute les deux je te rappelles!
-Janny :ben toi alors, si tu crois que je vais me laisser cracher dessus, tu vas avoir des surprises.
-Sveltana :alors là, je te fais pas confiance du tout, en fait, je ne fais jamais confiance aux gens qui me nomment "petit apéritif".
-Hana Sendo: je pense franchement qu'on pourra être copines quand on sera rentrés d'Outre Monde!

MessageSujet: Quand le mal décide de tuer l'amour   Quand le mal décide de tuer l'amour Icon_minitimeJeu 21 Mar 2013 - 16:13

Coucou, j'ai fait un petit texte pour une amie et, bien que ce soit assez mal écrit, j'ai décidé de la partager avec vous. C'est censé être la suite du premier tome des Hunger Games (ne prenez donc pas les deux suivants en compte!).

J'ai remplacé le nom de Katniss par Venice car c'est pour elle que j'ai fait le texte.
Merci de vos critiques!!!


Quand le mal décide de tuer l'amour.
Episode un



L’homme les regardait tous les deux, sur l’écran géant de sa salle de conseil. Ils semblaient si beaux, si propres, si innocents. Voilà pourquoi il ne s’en était pas assez méfié. Et il le regrettait amèrement, repensant à tous les moments où il aurait pu les tuer. Ou plutôt, la tuer, car si la fille, cette Venice de malheur, n’avait pas été là, Peeta n’aurait pas posé de problème.

C’était elle qui, au moment du dénouement tragique prévu par le Capitole, avait sorti ces maudites baies de sa poche, proposant le suicide à Peeta. Ils ont compté trois secondes, pour mourir en même temps. Mais au moment où ils allaient avaler, Seneca, le maitre du jeu, avait commis une énorme erreur. Il les avait présentés comme vainqueurs des Hunger Games.

Snow poussa un long soupir, sous l’œil de ses ministres attentifs et futiles. Snow ricana intérieurement : ses ministres étaient terrorisés depuis qu’il avait tué Seneca (il ne l’aurait pas laissé vivant après cette erreur !). L’un d’eux, le ministre de cérémonie, osa cependant intervenir :

- Monsieur Snow ? Comment faisons-nous pour la cérémonie de la Victoire ?
- Eh bien, trouvez quelque-chose vous-même ! Je croyais que vous étiez qualifié pour ce genre de choses ! Vous ne croyez quand même pas que je vous ai engagé par plaisir ? Mais si vous ne trouvez pas une solution rapidement, je connais beaucoup de gens qui voudraient bien prendre votre place alors faites attention ! répondit Snow en jetant un regard glacé au ministre.

Sur ces paroles menaçantes, le président de Panem sortit de la salle de conseil remplie de ministres terrorisés en se demandant comment il allait faire pour tuer les amants maudits du district 12.

~~~

Peeta regarda autour de lui. Il était toujours dans la même pièce blanche, pleine d’appareils qui faisaient « bib-bib ». Il n’avait vu personne depuis que Haymitch lui avait annoncé qu’il n’avait plus sa vraie jambe. A ce moment-là, il s’était effondré. Si Venice apprenait cela, l’aimerait-elle toujours autant ? Depuis ce jour, il était rongé par le doute. Et si son amour n’était qu’un mensonge pour les caméras ? Et puis, il ne savait pas pourquoi, mais Haymitch avait l’air de dire que Snow n’était pas content. Il avait passé des jours entiers à se tourmenter de la sorte. A présent, il essayait de ne plus y penser, même s’il guettait les pas de Venice derrière la porte qu’il ne pouvait pas ouvrir en raison de son manque d’équilibre.

C’était chaque fois la même chose : il se réveillait, il hurlait de douleur, n’étant plus sous l’effet anesthésiant du sommeil, et une perfusion lui injectait un liquide froid qui le soulageait. Ensuite il mangeait une espèce de compote de légumes au goût semblable à la purée de navets fourragers. Il avait alors une demi-heure pour ressasser ses pensées et puis, on le rendormait par un moyen inconnu. Cette fois-ci pourtant, il restait éveillé.

Soudain, un cri retentit. Puis un deuxième, suivi d’un autre encore.

- PEETA !!!!!!

Il reconnut instantanément la voix de Venice. Il n’eut pas le temps de répondre, elle était déjà dans la pièce, trébuchant à chaque pas, ce qui lui fit penser qu’elle aussi avait dû rester clouée au lit.

- Peeta ! Ô mon Dieu ! merci !!! Ils n’ont pas voulu me dire si tu étais encore vivant alors, je suis venue vérifier ! s’exclama-t-elle essoufflée.
- Vénice, calme toi, tu vois, je suis là, tout va bien ! répondit Peeta, ne voulant pas lui apprendre pour sa jambe.

Elle sanglotait à présent lui disant combien elle avait eu peur pour lui, quand on l’avait débarquée de l’hovercraft alors qu'on l’opérait. Ses longs cheveux bruns étaient dénoués et elle portait une chemise de nuit blanche qui flottait autour d’elle comme un nuage, l’illuminant légèrement. Elle était magnifique, comme d’habitude !

Il la prit dans ses bras et la berça doucement, comme quand elle était malade aux Hunger Games. C’est à ce moment là qu’il remarqua qu’elle avait énormément souffert des Hunger Games, et que la force qu’elle avait montrée n’était qu’un masque pour cacher sa faiblesse. Il l’avait prise par la taille et ne s’attendait pas à la trouver plus maigre que quand il lui avait lancé les pains. Il la regarda plus attentivement, soucieux et se rendit compte que son état était grave. Elle ne survivrait jamais à une épreuve comme celle qu’ils venaient de subir. Et cela l’inquiétait car il était sûr que Haymitch n’aurait pas pris la peine de l’avertir si Snow n’était que grognon. Non, c’était sûrement assez important.

Venice était à peine calmée quand Haymitch arriva dans la salle, essoufflé !

- Il faut que vous partiez immédiatement !!! Snow vient d’aller chercher ses ministres pour leur dire qu’il n’y aura pas de cérémonie !
- Et alors ? répondit Peeta, ne comprenant pas pourquoi Haymitch était si affolé.
- Peeta, tu n’as donc toujours pas compris ? Il vous en veut parce que vous avez osé défier le Capitole, et voilà pourquoi il a décidé que cette année, il n’y aurait pas de gagnant. Il a décidé de vous tuer ! Alors je sais que ça va être difficile pour toi, à cause de ta nouvelle jambe, mais vous allez devoir fuir.
- Une nouvelle jambe ? intervint Venice. Puis elle comprit.
- Non ! Peeta, non, ne me dis pas ça !!! C’est de ma faute n’est-ce pas ? s’exclama-t-elle, tourmentée.
- Venice, ne fait pas d’histoires, ce n’est pas de ta faute, et vous devez partir le plus rapidement possible, tous les deux !

Haymitch sortit alors un baluchon avec de quoi survivre un ou deux jours et les fit sortir par une porte dérobée. Surtout, ne vous arrêtez pas avant d’être sortis du Capitole. Je vais essayer de vous attendre au pied de la montagne la plus haute.

Il regarda Venice et Peeta avancer péniblement et soupira en les regardant. Jamais ils ne pourraient rentrer vivants à cette allure là !

~~~

Snow était en train de se préparer pour l’annonce anti-vainqueur quand les alarmes de son appartement se mirent à sonner toutes en même temps, en faisant le signal numéro deux qui signifiait « fugitifs ». Il mit immédiatement ses chaussures et courût dans la salle des détecteurs, les gens chargés de surveiller le Capitole.

- Ils se sont échappés !!! Incapables, activez immédiatement les caméras de la ville !
Il ricana intérieurement. Ils avaient mal choisi leur moment de fuite car actuellement, les rues étaient désertes : tout le monde au Capitole était rentré pour voir l’annonce obligatoire. Il leur fut donc aisé de retrouver les deux amants qui se trainaient le plus vite possible en trébuchant dans les rues proprettes.

Quelques minutes plus tard, Snow était confortablement installé dans sa voiture avec, derrière-lui, deux motards/traqueurs/bourreaux bien entrainés. Ils les rattrapaient rapidement, grâce aux détecteurs qui les guidaient depuis le bâtiment présidentiel.

A un moment pourtant, les détecteurs ne les retrouvèrent plus. Peeta et Venice semblaient avoir disparu de la Terre. Snow sourit, content : il allait enfin pouvoir utiliser les nouveaux détecteurs d’odeur. Et il ordonna a ses détecteurs de lâcher les bêtes.

~~~

Venice était fatiguée. Tous ses muscles avaient fondu et elle se sentait très faible. Cela faisait une heure qu’ils étaient descendus dans les nombreux canaux souterrains du Capitole et les galeries lui semblaient interminables, d’autant plus que, depuis que son père était mort dans la mine, elle avait horreur des lieux sous terre.

Elle était remplie de pensées négatives et marcher en silence ne l’aidait pas : elle ne pouvait alors pas s’empêcher de penser. Elle était encore choquée d’avoir appris que Peeta avait une « nouvelle jambe ». Pourquoi avait-il voulu le cacher ? Il n’avait fait que retarder le choc. Elle avait l’impression d’être la cause de cette amputation, car elle n’avait pas réussi à soigner Peeta comme il fallait.

Un bruit la sortit de ses réflexions noirâtres. C’était une sorte d’inspiration continue, comme si un énorme chien les reniflait en oubliant d’expirer.

- Peeta, qu’est-ce que c’est ? Tu entends ?
- J’allais te poser la même question. Je pense que nous sommes traqués ! répondit Peeta, qui essayait d’avancer tant bien que mal, Même si sa jambe lui avait valu de nombreuses chutes au début de leur marche.
- Que faisons-nous ?
- Remontons, c’est le seul moyen que je vois.

Ils trouvèrent une bouche d’égout suivie d’un couloir qui les mena dans un gigantesque théâtre ancien, avec loges et sièges en velours.Peeta alla voir derrière la scène de bois vernis, vérifier s’il n’y avait pas d’autre issue que les coulisses et la grande porte d’entrée.

C’est alors que l’on entendit un cri, suivi d’une fusillade, et des gouttes de sang éclaboussèrent la porte d'entrée immaculée.

La suite, dans le prochain épisode ! (épisode qui viendra que si vous le voulez)
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