Si un jour tu ressens l'envie de travailler, assieds-toi, et attend qu'elle te passe... (Critiques attendues)

Un petit texte que j'ai écrit quand je m'ennuyais en maths , un délire qu'une de mes amis aiment beaucoup et je le partage donc pour elle.Bon , il y a sûrement des fautes mais la flemme de relire et je veux voir si c'est bien avant de continuer.

'' Ecrire, ce n'est pas vivre. C'est peut-être survivre.''

''Ecrire, c'est une façon de parler sans être interrompu. ''

Je commençais à avoir des crampes au poignet et aux zygomatiques. Force en est de passer l’après-midi à signer des autographes et à sourire sur les photos. Pourtant, ces courbatures m’étaient bénéfiques. Je ne me lassais pas de découvrir ces enfants, adolescents ou adultes qui venaient à moi pour la simple raison qu’ils avaient aimé mon livre.
La file d’attente s’étendait jusqu’à l’extérieur et je savais que j’allais rester là encore un moment.
Ce matin, je me souvenais encore à quel point j’avais l’estomac serré. Le doute m’envahissait depuis plus d’une semaine et à mon réveil il avait atteint l’apogée. Mes Taraddicts allaient-ils apprécier ce nouveau roman que j’avais écrit ?
Avant de pénétrer dans l’immense Fnac à Paris, j’avais tenté de respirer profondément, au bord de l’hyperventilation. Mais bien sûr tout se passait bien. Beaucoup de Taraddicts étaient au rendez-vous certains parés des armoiries d’Omois ou du Lancovit, portant des oreilles d’elfes en plastique. Ils me surprenaient à chaque fois pas leur inventivité.
« Pour Alice, la magie est en toi » signai-je sur la première page du livre « Tara Duncan et l’invasion fantôme ». La jeune fille me remercia, les yeux pétillants et brillants. Son sourire radieux valait toutes les lunes d’Autremonde. Je souris à mon tour et pris un autre ouvrage appartenant à un garçon déguisé en elfe. Waouh !
Soit il avait un excellent magasin de déguisement soit il avait du passer des heures à la confection de ce chef d’œuvre. Je lorgnai ses longs cheveux blancs, son arc finement sculpté. J’étais effarée ! Il serait un bon candidat pour le concours de déguisement !
Une heure plus tard, je stoppai la séance de dédicaces. D’un bout à l’autre, mes fans criaient :
« Sophie, Sophie, Sophie ! »
C’était fantastique.
- Vous êtes fantastiques ! dis-je dans le micro en écho à mes pensées. Je sais que beaucoup d’entre vous n’ont pas encore pu recevoir un livre dédicacé mais sachant que nous avons tous à patienter encore un peu, j’ai décidé de vous faire passer le temps. Je vais donc vous lire quelques lignes du premier chapitre !
Hurlements dans la salle, électricité le long de ma colonne vertébrale.
Sur la table où je m’étais installée, régnait un désordre monstre. Sous les amas de cadeaux offerts par les Taraddicts chéris, je retrouvai l’un des nouveaux tomes. Les premières pages glissaient entre mes doigts et je tombai enfin sur le premier chapitre. Un silence cérémonial s’était installé dans la foule. Je levai un œil indiscret histoire de vérifier que le silence n’était pas du à une fuite improbable du public.
D’un mouvement de main, je remis une mèche blonde derrière mon oreille. Je les faisais languir… Oh la vilaine ! Chacun de mes gestes étaient épiés et donnaient lieu à une inspiration générale. J’aurai bien éclaté de rire si le suspens et la tension ne m’avaient tenue en respect.
- Tara et l’invasion fantôme, commençai-je, Chapitre 1 ou comment…
Je m’interrompis net quand une agitation en haut de l’escalier de droite attira le coin de mon regard. La foule se tourna derechef vers mon point fixé Qu’est-ce qui se passait ?
Bah, sûrement quelqu’un qui devait sauter pour mieux voir… et embêter un peu tout le monde en faisant ça.
Je repris :
- Chapitre 1 ou comment…
- J’ai dit NON ! s’écria une femme en haut de l’escalier.
Dans un mouvement uniforme, toutes les têtes se tournèrent vers ce fauteur de troubles. On entendait aussi une série de « pardon, excusez-moi, désolée, pardon », provenant d’à peu près du même endroit.
De mon estrade, je tendis le cou pour apercevoir pour apercevoir la raison de cette agitation, en vain, la foule était trop dense.
- Excusez-moi, là haut. Il y a un problème ? demandai-je, un peu sur la défensive.
Je fronçai les sourcils. Nom d’un krakdent ! Quoi encore !
Je jetai un coup d’œil aux vigiles d’habitude camouflés dans les coins sombres mais toujours prêts à l’action. L’un d’eux gravissait déjà l’escalier tandis que les autres communiquaient par talkie-walkie.
Bon ils allaient se charger des gens qui en avait besoin. J’espérais seulement que personne n’avait fait de malaise. Avec cette chaleur ça n’aurait pas été la première fois.
Je détournai l’attention générale en me reconcentrant sur ce premier chapitre. Celui-ci me lorgnait d’un air malicieux du genre « tu ne pourras jamais me lire ! ». C’est ce qu’on va voir !
J’inspirait et :
- Ne me touchez pas, sale nonsos dégénéré !
Je refermai la bouche. Ce n’était pas moi qui avais parlé.
Nonsos ? Allons bon, l’un des Taraddicts poussaient le jeu à se faire passer pour un vrai sortcelier. Dans le micro, je me mis à rire.
- Sans vouloir vous importuner, votre majesté impériale, vous rendez-vous compte du nombre de mintus que nous allons devoir jeter, ajouta une voix masculine grave et douce.
- Faites votre travail, Xandiar. Que personne ne sorte ! ordonna la femme invisible à mes yeux.
Je me tortillais désespérément pour apercevoir ces talentueux taraddicts quand la foule s’espaça enfin et que je pus admirer la huitième merveille du monde.
Une feme aux traits fins et réguliers, aux yeux bleu marine, à la peau couleur perle, cheveux blonds tranchés par une mèche blanche et scindés d’une couronne d’or. Sa robe n’avait rien à envier à son physique. Rouge sang, ornées d’arabesques suivant les contours de son corps ou suivant des lignes imaginaires. Le seul dessin visible se trouvait sur le jupon et représentait un paon, l’emblème d’Omois. Des pierres précieuses avaient été incrustées un peu partout mais de telle manière qu’elles faisaient resplendir la robe sans que cela soit ostentatoire. Pour du plastique… cela brillait sacrément !
La grâce de cette femme, de cette reine que dis-je de cette impératrice me subjuguait.
J’avais l’air d’un stupide poisson rouge avec la bouche grande ouverte.
Un tel déguisement pouvait-il exister ? Je ne me rappelai pas avoir vu une telle œuvre même dans les plus impressionnants défilés de Jean-Paul Gautier.
Cependant, je fus aussi subjuguée de la beauté de cette femme que surprise par l’arrivée inattendue d’un thug à quatre bras. Quelle quantité de papier mâché avait du être utilisée… C’était bien du papier mâché ?
A peine avais-je eu le temps de le détailler que la garde se dirigea vers la sortie, accompagné par plusieurs autre Thugs.
La femme en rouge et or requérait toute mon attention, était-ce pour cela que je n’avais pas reconnu les autres protagonistes en baskets et jeans ? A moins que ce ne soit parce que sa robe prenait la moitié de l’escalier.
- Tara ! Viens ici ! ordonna l’impératrice une fois en bas de s marches.
Elle ne semblait pas gênée par le fait qu’un silence de plomb était tombé sur l’assemblée et qu’elle était l’objet de tous les regards, jalousies et convoitises.
La même boule de doute de ce matin vint se reformer dans mon estomac. Ce qui se passait devant moi dépassait l’entendement. J’avais une imagination débordante, certes, mais était-ce la raison pour laquelle je ne savais que penser. Je vivais un rêve éveillé qu’il soit le fruit de comédiens… ou pas.
Une jeune fille émergea de la foule, machouillant la mèche blanche qui traversait ses cheveux blonds. Ses yeux bleu marine oscillaient entre moi et l’impératrice. Elle jetait aussi des regards gênés tout autour d’elle et finit par s’avancer auprès de la « pseudo-Lisbeth ».
Elle fut rapidement suivie par une jolie brune aux yeux chocolat et par deux garçons l’un aux yeux gris et à la touffe de cheveux noirs, l’autre aux de cristal et aux longs cheveux blancs teintés de noirs.
Ma mâchoire se décrocha. Je m’attendais à entendre le craquellement sonore de celle-ci sur le sol mais rien ne se produisit.
Je croisai malencontreusement le regard de l’impératrice. Autoritaire et déterminé, tel que je l’avais décrit dans mes livres. Je frissonnai.
La femme en rouge se dirigea vers l’estrade, poussant devant elle la jeune fille blonde. Le garçon aux yeux gris fut plus rapide. Il se faufila dans la foule et grimpa d’un bond sur mon estrade. Il vint planter ses yeux dans les miens, me prit la main et la serra.
- Bonjour Mme Audouin Mamikonian. Je suis Caliban Dal Salan. Cal pour les intimes mais je ne doute pas que nous le devenions très prochainement, ajouta-t-il avec un clin d’œil
- Cal ! s’indigna la jeune fille brune.
Le garçon eut un petit rire et s’éloigna de moi. Je ne savais plus que penser. A quel moment m’étais-je dit que cette robe rouge n’était peut-être pas qu’un déguisement ? Que les cheveux blonds, blancs, bruns et châtains n’étaient pas des perruques ? Que les oreilles elfiques du « pseudo » Robin n’était peut-être pas en plastique ?
- Suffit. Assez perdu de temps ! tara c’était ton idée, gronda Lisbeth-le-sosie, vas –y
Tara –sosie lança un regard meurtrier à l’impératrice et grimpa à son tour à mon niveau. Il me semblait que je n’avais pas parlé depuis des lustres lorsque je murmurai :
- Tara ?
La jeune fille me sourit.
- On a besoin de vous, dit-elle
Je m’étranglai presque.
- De… de moi ?
- Fabrice a des problèmes, tu dois venir nous aider.
Intérieurement, je pensais : « mais bien sûr que Fabrice a des problèmes, c’est moi qui l’ai fourré dedans ! »
Attendez voir… J’étais actuellement en train de me convaincre que je discutais tranquillement avec l’héroïne de mes romans ? Les gens me croyaient légèrement dérangée… au final, c’était peut-être vrai. A moins que… ce soit vraiment eux. Spatial !!!
Il fallait que je sois sûre !
Je souris à Tara, repris le micro et m’adressai à tous :
- Je ne suis qu’un auteur mais je sais reconnaître de talentueux comédiens quand j’en vois. Applaudissez bien fort Lisbeth, Tara, Moineau, Robin, Cal et Xandiar !
Les applaudissement furent mitigés puis gagnèrent en puissance, chacun se rendant compte à quel point il avait été berné.
- Comment ça tu as cru, que c’était vraiment Tara ? Mais non ! Elle est plus grande que ça !
- Oui mais Lisbeth doit être aussi belle que ça…
Dans l’assourdissant vacarme je repris la parole d’un ton léger, du style, je ne prête pas le moindre sérieux à ce que je dis… Ce qui était totalement faux.
- Alors Tara, prouve-moi que tu es bien celle que tu dis être.
Au même instant, le pseudo Xandiar revint dans la salle et accourut auprès de l’impératrice. Ils étaient assez près pour que je l’entende :
- Toutes les issues sont bloquées, votre majesté impériale.
- Parfait, répondit-elle dans un sourire qui ne laissait rien présager de bon.
Je l’avais créée de ma propre imagination ! Je savais de quoi elle était capable après tout !
En face de moi, Tara avait prêté attention à ces mêmes paroles et soupira :
- Allons y …
Résolue, elle dégagea le col de son polo laissant briller le collier offert par les couleurs. Le maquillage était bluffant ! … si c’en était. Ce qui n’était pas moins sûr.
J’étais tiraillée par un doute affreux et l’air amusé de Cal, tel que je l’avais imaginé ne m’aidait pas à réfléchir posément.
Je tendis alors la main vers le cou de la jeune fille. C’était puéril, insensé mais j’étais tellement fascinée !
Mes doigts entrèrent en contact avec sa peau… et il ne se passa absolument rien.
Je ne pus m’empêcher de pousser un soupir de soulagement… voire de déception. L’infime idée que cela aurait pu être possible m’avait traversé l’esprit. De petits rires retentirent dans la salle. Ma réaction les avait amusés visiblement.
D’un geste rapide, je retirai ma main et frottai entre mes doigts la poudre rouge, jaune, verte et bleue. Je pus reprendre, sûre de moi :
- Après cet intermède, j’ai bien peur de ne plus avoir le temps de vous lire ces fameuses premières lignes. Nous allons donc pouvoir continuer la séance de dédica…
- Tara Je m’impatiente ! coupa l’impératrice sans me porter le moindre intérêt.
J’aurais été invisible que cela n’aurait rien changé.
- Jolies couleurs, ornez le bras de cette femme de bijoux étincelants, s’il vous plait, murmura Tara à mon côté.
Le temps que je comprenne ce que ces paroles impliquaient, la poudre sur mes doigts se mit à gigoter. Je sentais comme une légère chatouille qui envahit la paume de ma main puis tout mon bras, recouvrant mon épiderme de milles et une couleur. Quand l’idée de crier me parvint au cerveau, mon bras était devenu la partie la plus scintillante et la plus colorée de mon corps. Des arabesques suivaient autour de mes grains de beauté, suivant tour à tour mes veines ou mes artères. Waouh !
- C’est Tara… murmura une voix dans l’assemblée.
Dans ces deux mots tout était dit et la suite des événements me semblait particulièrement prometteuse. Je sentis une vague se construire dans mon estomac. Les commissures de mes lèvres se redressèrent peu à peu. La vague se propagea dans mon œsophage, dans ma gorge… d’ici quelques instants j’allais exploser !
L’assemblée et moi nous étions mués en une armée de poisson rouge : yeux et bouches grands ouverts. Seule une seule personne était capable de briser la glace instantanément.
- Oui, oui, en effet je suis le vrai Cal, le seul l’unique. Approchez mes chéries, c’est par ici les autographes et les photos. De toute façon vous ne vous souviendrez de rien bientôt !
Capable de briser la glace, certes. Avec tact ? Pas le moins du monde !
Visiblement le fait que Cal ait annoncé que tout le monde allait subir un Mintus n’avait touché personne car les filles se jetèrent sur lui et sur Robin. Le silence fut rapidement oublié et même Xandiar et Lisbeth furent submergés par la foule.
Tara m’éloigna un peu de ce qu’on pouvait appeler un capharnaüm.
- Sophie, j’ai vraiment besoin de vous.
Discrètement je me pinçai. Aieuh ! Ok pas un rêve…
Tara me faisait fondre avec ses beaux yeux bleues marine. Comment pouvais-je dire, non. Même si elle n’avait pas été ma fille de papier.
- Est-ce que ce sera dangereux ? demandai-je me fichant éperdument de la réponse… ou presque.
- Très peu de chance de survie, avoua Tara
- Et Philippe ? Et mes deux filles ?
- Ils viennent avec nous. Je ne veux leur faire courir aucun risque tandis que tu seras sur Autremonde.
- Autremonde ? répétai-je
Le mot semblait devenir bien plus réel quand je le prononçais à voix haute.
Tara me sourit. Elle savait que la partie était presque gagnée. J’ignorai comment elle avait pu croire le contraire !
M’empêcher de sauter partout comme une gamine devint mission impossible. J’avais l’ai d’une gamine à qui on venait d’annoncer qu’elle avait gagné un séjour au royaume enchanté… ce qui n’était pas loin de la vérité.
Je pensais à mes filles. Louper les cours et découvrir enfin en brique et en tuile le monde de leur maman les rendrait folles ! Je ne pouvais pas ne pas tenter de sauver Fabrice, même si j’ignorai encore comment, et ne pas faire plaisir à mes chéries.
- C’est d’accord, Tara ! répondis-je finalement.
- Ce n’est pas trop tôt râla l’impératrice. Suivez-nous Mme Audouin Mamikonian.
Lisbeth tourna les talons en un claquement sec aussitôt suivie par Xandiar. Tara, leva les yeux au ciel, déclenchant mon hilarité.
- Tu n’aurais pas pu la décrire un peu moins orgueilleuse… semblait-elle me supplier.
- J’avoue que j’ai peut-être un peu trop surdosé.
- Mes pouvoirs aussi au passage !
- Tu n’en serais pas là si tu n’avais pas eu tes pouvoirs, répliquai-je
- Viens Tara, inutile de faire encore plus enrager ta tante, dis Robin en tendant une main vers Tara pour la faire descendre.
Je ne me souvenais pas lui avoir offert une voix si veloutée… Miam !
- Mme Sophie…, m’interpela Cal dans un sourire la main tendue vers moi.
Je la saisis, un grand sourire aux lèvres. Comment avait-il réussi à se débarrasser de ses fans ?
- Xandiar ! Le mintus, tout de suite ! ordonna Lisbeth en haut des escaliers.
Nous nous dépêchâmes de rejoindre le groupe composé de L’impératrice, Xandiar et Moineau avant que les gardes ne décident d’ensorceler tout le monde !
J’étais désolée pour mes taraddicts. Une pointe de culpabilité vint assombrir mon tableau si rose. Qu’allait-il advenir d’eux ? Il y e, avait qui venait de si loin ! Enfin, je connaissais Xandiar, je savais qu’il s’en occuperait bien.
Après un salut à sa souveraine celui-ci ordonna à ses gardes d’envahir la Fnac. Quand nous atteînmes la porte, sévèrement gardée de l’intérieur par deux thugs, de la magie avait commencé à luire du bout de leurs doigts.
Les gardes nous laissèrent passer et je tombai alors sur une silhouette familière.
- Fafnir ! m’écriai-je au bord de la syncope, Que ton marteau sonne clair !
La naine se tourna vers moi, arborant fièrement son pantalon de cuir rouge et son débardeur noir, étonnée que je connaisse la formule de salut.
- Que votre enclume résonne, répondit-elle. Alors c’est pour vous qu’on m’a interdit de garder mes haches !
- Ce n’était pas très discret, assura Moineau
- Et tu crois que l’impératrice est du genre incognito ?
La question ne demandait aucune réponse tant elle était absurde. Le robe rouge éclatant parlait d’elle-même.
- Tout est prêt, demoiselle naine, conclu l’impératrice. Vous pourrez retrouver rapidement vos armes.
- Pas trop tôt !
- Très bien, Tara… je t’en prie…
- Mmm afin de ne pas jeter des mintus à la moitié de Paris allons dans un endroit plus discret… proposai-je
Tara, Mineau, Fafnir, Robin et Cal hochèrent vivement la tête au grand dépit de Lisbeth.
Tout le petit monde me suivit jusqu’à une petite ruelle jouxtant la notre.
Une fois hors de vue, Tara activa un transmitus et nous disparûmes de la rue.

*O*

Lisbeth . . It's very very GREAT !! *O*

Franchement .. Je suis jalouse de toi ..

*O*

Il n'y a pas de quoi être jalouse pourtant , ma Leyla.Je parie que si tu écrivais un texte , il serait 100 fois mieux que celui-ci ^^ .

Je vais faire une critique extrêmement constructive: je n'ai jamais lu un aussi génial texte et aussi bien écrit que celui là. Je suis littéralement fan!!! Je veux la suite!!! Oh j'adore! Y a de l'imagination, du style du talent....DE TOUUUUUT!!! Oh là là c'est fantastique! Bravo mille fois!!!

U_u bon , bah merci beaucoup Mysti' !

OMG!!!!!!! Shocked

Pourquoi tu nous sort ce texte de dingue??? Tu voulais pas me l'envoyer par MP et faire comme si c'était moi qui l'avait fait?? :-D

Nan mais franchement Lisbeth, tu veux pas me passer ton imagination juste pour deux minutes?
J'ai adoré et je n'ai rien à redire, à part peut-être le fait que le démarrage est un peu lent mais sinon,... je suis jalouse!!!

Quand je pense à vos RP's et aux miens , je suis morte de rire.Vous êtes 3 fois plus forte que moi x).Et merci beaucoup Ava' pour ta remarque sur le démarrage , c'est vrai qu'il est un peu lent , je vais modifier.

C'est vraiment super comme texte.
M'enfin tu devrais aérer, changer la police, mettre en gras ou en italique les paroles que que ce soit plus agréable à lire.
Sinon, rien à dire à part... C'est MAGNIFIQUE !

C'est vrai que je n'avais pas vraiment pensée à la mise en page de ce texte.Effectivement , ce serait beaucoup plus sympa , merci pour ce conseil utile ^^ .Je m'en occuperais plus tard.

Hallo.

Je tombe au hasard sur ce petit texte dont le titre m'a fortement attiré, je l'avoue.
Je vais commencer par apporter la même critique, par rapport à la mise en page. C'est un peu trop "collé-serré-pavé". Ensuite; les fautes. Il n'y en a pas beaucoup, mais des fois, elles font un peu mal aux yeux.
Troisièmement, le concept de l'écrit en lui-même m'a vraiment plût. Cette idée de se mettre à la place de Sophie est super intéressante, et tu as bien travaillé ton sujet. En fait, il a qualité telle que je pense que, si tu es inscrite sur le site de Sophie, tu pourrais lui soumettre, pour avoir son avis, parce que c'est l'idée originale qu'on attend et qui va fasciner ton lecteur : et bien tu l'as trouvé. En fait, ce n'est même pas l'intrigue qui pousse Tara, Lisbeth, Cal et les autres à venir sur Terre qui me (donc vraiment dans mon cas) passionne, mais plus le point de vue de l'écrivain par rapport à son personnage. C'est cette "mise en arrière" qui est intéressant, parce qu'on découvre l'envers du décor. So. I like it.

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