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 Le Bien est-il le Mal?

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Mystie


Mystie

Age du personnage : 14

Familier : Kimy, mon petit lapin gris
Couleur de magie : Bleue ciel
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Plutôt élevé


Métier : Voleuse Patentée
Résidence : Une chambre dans l'aile droite du Palais du Lancovit
Dans le sac : Ce qui était dans le tien.


MessageSujet: Le Bien est-il le Mal?   Le Bien est-il le Mal? Icon_minitimeDim 17 Fév 2013 - 15:47

Voici une petite nouvelle que j'ai écrite pour les cours. Je préviens, certains éléments et personnages ressemblent à ceux de TDLFr (Janny et Kyo dont je me suis un peu inspirée) et certaines répliques sont identiques. J'avais pas du tout d'inspiration, mais je tenais à partager çette horreur avec vous chers amis :)







Une silhouette se mouvit dans la pénombre, aux aguets. Prudente, elle se tenait sur ses gardes. Redoutait-elle un quelconque danger? La silhouette s'arrêta au milieu du vaste hall désert et le balaya d'un regard anxieux. Le clair de lune se reflétait sur son visage et entourait la pièce d'un léger halo lumineux. La fenêtre avait beau être d'assez petite taille, elle laissait passer toute la lumière de l'astre du soir. La fenêtre! L'homme l'examina attentivement. Rien de suspect. Il sentait pourtant sa présence, mais ne savait pas où elle se cachait, ni de quelle manière elle était entrée. Il ne possédait sur lui exceptionnellement aucune arme. Original pour un tueur, et de surcroit, qui revenait d'un mariage sans avoir tué personne. La petite avait bien choisi son jour, elle est futée, pensa-t-il.
La main sur son poignard, derrière la haute colonne de verre qui soutenait la salle entière, et tout le château, une jeune femme réprima un sourire de jubilation. Elle le tenait finalement, et savait qu'il n'y avait cette fois aucune issue. Elle décida tout de même de ne pas passer à l'acte tout de suite, et continua à l'épier.
Le regard de l'ombre s'arrêta un moment sur la colonne. La femme, bien camouflée, retint néanmoins son souffle.
Puis il commit la fatale erreur de détourner le regard et de tourner le dos à la colonne de verre. L'erreur qui lui coûterait plus tard la vie.
Ce fut le parfait moment pour agir. La femme n'hésita pas un instant et saisit la fabuleuse opportunité qui se présentait aimablement à elle.
Elle fit une habile pirouette et retomba agilement sans bruit juste derrière l'homme. Elle avança discrètement de l'allure féline pour laquelle elle était réputée. Mais une latte du parquet craqua, et elle s'arrêta brusquement, le coeur battant à tout rompre. Un frisson de peur la parcourut à l'idée que tout ce pour quoi elle a vécu échoue si près du but. Cela ne dura qu'un quart de fraction de seconde, puis elle dut se ressaisir: l'homme alerté tourna la tête. Avec une vivacité inhumaine, elle plaça la lame sous la gorge de l'homme. A l'aide d'une corde elle lui ligota rapidement les mains derrière le dos, profitant du court instant où il s'était retourné pour lui faire face. Celui-ci esquissa un sourire.

_Ainsi, Lisbeth, tu es venue. Et je suppose que ta fidèle alliée la mort désireuse de m'attirer à elle t'accompagne. Je dois reconnaitre que tu as choisi le moment propice et découvert mon point faible. Beau travail.

Puis il applaudit doucement des mains, tâche ardue étant donné la position de ces dernières. Elisabeth renforça la pression de la lame, mais volontairement pas assez pour le faire souffrir. Elle lui répondit simplement:

-J'ai été à bonne école.

Le sourire sur le visage de l'homme, qui d'ailleurs, ne tentait pas de se débattre, se transforma en un rictus moqueur:

-Ca je n'en doute pas. Quel âge as-tu donc? 19 ans? Cela ferait donc 4 ans d'apprentissage et 3 de libre assassinat? Bon entraînement n'est-ce pas? Et je pourrais citer toutes tes victimes, et je dois avouer que tu ne choisis rien au hasard, et que tes techniques sont efficaces, très dur de reconnaître l'auteur des crimes. Je te tire mon chapeau, jeune fille.

Elisabeth se mordit la lèvre de rage devant l'arrogance de sa victime. Les proies sont censées se débattre, crier, geindre, supplier, invoquer de l'aide...et cela provoquait un sentilent de supériorité, et d'auto-satisfaction. Et la perspective de la mort de cet homme encore plus que les autres. Et justement, ce tueur, car il en était un, le savait parfaitent, et lui retirait ce plaisir en refusant de se comporter normalement.
Elle lui donna un violent coup de pied dans les côtes, faisant tomber l’homme à terre.

-Tais-toi ! Ta voix est trop horrible pour qu’une aussi précieuse chose que les mots sorte de ta bouche infâme, Alec !

L’homme ricana.

-Eh bien, qu’attends-tu pour me tuer au lieu de taper la causette ? Je sais que cela a toujours été ton but..Depuis ce fameux jour...

Les souvenirs commencèrent à affluer dans le cerveau de la jeune fille : une famille unie, heureuse. Une petite fille qui courait dans l’herbe. Et un cri retentissant, qui lui avait fait assitôt tourner la tête..Les flaques de sang et les cadavres de ses parents...sa sœur qui avait disparut, sûrement morte elle aussi...C’est surtout la mort de sa sœur qui lui avait causé le plus de peine. Et cet homme, qui riait comme un dément...
Elle tenta de les refouler. Il était hors de question qu’elle revive le passé. Mais les sentiments furent plus forts que tout. Elle se rappella l’orphelinat et la maltraitance...La colère, déjà présente en elle, atteignit le niveau maximal.
Alexander continuait à ricaner en l’observant :

-Alors les souvenirs refluent ? C’est bien, tue moi maintenant !

Elisabeth serra les dents et lâcha, tentant de se contrôler :

-Explique-moi pourquoi tu tiens tant à mourir.

L’homme cessa aussitôt de rire. C’était si évident pour lui...

-Parce que j'ai changé. Je ne suis plus un assassin. Je suis un assassin pour le compte du gouvernement. Je n'ai plus rien à voir avec mon passé. Et être libéré de ta traque, de la fuite, des remords serait la plus belle des récompenses. Alors tue moi si tu veux.

Elisabeth en resta interdite. Mais elle ne faiblit pas. Cela pouvait bien être un piège...
Alors qu'elle allait lui porter le coup de grâce, Alexander parla:

-Prends garde Elisabeth, à te croire invincible. Sous peu, la façade que tu as forgée s'écroulera...et la jeune fille sensible qui somnole en toi se réveillera et reprendra le contrôle de son corps.

L'intéressée tressaillit. Redevenir vulnérable, gentille, généreuse, chalereuse, potentielle proie...la faisaient frémir de peur. Devoir abandonner son enveloppe corporelle à l'autre partie de son âme, celle qu'elle avait chassée une douzaine d'années auparavant? Renoncer à la partie d'elle froide, distante, sarcastique, et assassine? Redevenir "mortelle"? Quelle horreur!
D'une voix légèrement tremblante, elle demanda:

-Comme ce qui t'es soi-disant arrivé?

L'homme ne releva pas l'allusion au fait qu'elle ne croyait pas un mot de ce qu'il avait dit.m Sans rien dire, il désigna l'épée sur sa gorge. Puis, il lui finit par laisser tomber sarcastiquement:

-Tue moi tant qu'il en est encore temps. Ce sera peut-être ton dernier crime avant d'être "possédée".

Elisabeth ne réfléchit pas. La peur de perdre son identité la mettait en colère. En colère d'avoir peur. Elle trancha la tête de Alexander. Celle-ci retomba mollement au sol et roula à côté de son possesseur. Une mimique moqueuse et en même temps sérieuse, défigurée par cet immense rictus, ornait la tête du cadavre. Il était mort, tout en conservant sa dignité.
Elisabeth enjamba le corps qui faisait obstacle sur son chemin et continua ce dernier en direction de la porte. Elle prit soin d'effacer les traces de son passage, puis sortit. L'air frais et pur envahit ses poumons. Un sentiment inconnu de malaise s'empara alors d'elle.
Sans réellement savoir pourquoi, elle se mit à courir. A courir de plus en vite. Sans jamais s'arrêter. La peur lui donnait des ailes.
A force de courir, elle sortit de son village et arriva dans une campagne déserte. Une colline la surplombait.
Pensant que cela pouvait s'avérer un lieu parfait pour mettre ses idées au clair, elle la grimpa.
Elle s'arrêta au sommet, haletante. Et remarqua que quelqu'un se tenait déjà là. Un jeune garçon d'environ son âge.
En temps normal, elle se serait débarrassée de lui en l'assassinant, ou en le torturant, et cela lui aurait même provoqué un grand plaisir. Or, aujourd'hui, elle n'était pas dans son état normal. Elle aurait dû l'être étant donné qu'elle venait de venger la mort de ses parents en tuant leur assassin, qu'elle avait pisté et pour lequel elle avait choisi de s'entraîner des années durant. Et, comble de l’horreur, cela ne lui provoquait rien, sinon de la peur. Mais pourquoi peur? Comment peut-on avoir peur d’avoir réalisé le but de sa vie?
Voilà, elle la tenait la cause de son dilemne! Le but de sa vie! Elle l’avait réalisé! Et maintenant qu’elle aurait dû être heureuse d’être emplie d’un pouvoir nouveau, celui de vivre sa vie librement, elle ne savait qu’en faire et cela formait la peur. Maintenant qu’elle avait gravi la montagne, elle n’avait plus de guide. Son guide ayant toujours été sa vengeance...Qu’allait-elle faire de sa vie?
Elle ne voulait pas tuer un homme. Elle n'arrivait pas à tuer cet homme alors qu’elle devrait, ne sachant pas s’il est ami ou ennemi. Elle n'éprouvait pas le plaisir habituel à l'idée de tuer quelqu'un. Et encore moins de le torturer!
Ces phrases tournaient en boucle dans sa tête tel une comptine enfantine, la perturbant d’autant plus. Elle, Elizabetn d’Aubépine, qui n'oubliait son enfance que par le crime, qui se délectait de la souffrance aiguë de ses proies qu'elle prenait plaisir à torturer ou à tuer, se refusait à tuer un innocent. Et de plus, elle le considérait comme un innocent! Alors qu'il était dans ses valeurs que nul n'est innocent, que tout le monde sur cet Univers, était coupable d'un crime. Parfois même coupable de simplement exister! Mais aucun innocent!
Ses inquiétudes prenaient de plus en plus de place. Il était temps qu’elle les apaise avec ce qui la réjouis habituellement. Elle espérait de tout son être que cela fonctionnerait...
Elle sortit un petit carnet rouge de sa poche et l’ouvrit. Dessus s’étalait une longue et interminable liste de contacts, avec toutes les informations personnelles, et à côté de tous, une petite tache de sang de forme circulaire parfaite. Chacune des personnes qu’elle avait pistées, et finalement tuées. Tout ca pour arriver à son but. Le nom inscrit sur la dernière page du carnet, en lettres majuscules...ALEXANDER WELLENSTEIN.
Elisabeth contempla longuement la dernière page, avant de sortir un petit poignard aiguisé de sa sacoche. Elle le tendit en direction de son poignet, avant de se l’enfoncer brusquement dans la chair. Ce ne fut pas une, comme pour le rituel à chaque mort, mais trois gouttes de sang qui coulèrent en parfaite synchronisation, et qui formèrent le cercle autour du nom. Elle rangea son coutelas dans sa manche, à sa place habituelle. Puis releva la tête. Pour se rendre compte que le garçon la dévisageait intensément. En temps normal, elle l’aurait assassiné pour avoir eu l’insolence de regarder ses affaires privées. Mais elle n’en fit exceptionnellement rien. Il y avait quelque chose de familier qui transperçait dans les yeux bleus de ce garçon, si semblables aux siens. S’ils n’avait pas eu de courts cheveux bouclés bruns, elle aurait pu le prendre pour son jumeau. Mais ses cheveux à elle étaient longs, ondulés et bruns-roux.
Seul un tueur pouvait avoir un regard aussi transperçant. Elle ne l’avait pas tué sûrement parce qu’elle avait dû le soupçonner au fond d’elle-même, mais maintenant, le soupçon devenait une hypothèse probable. Mais après tout, une hypothèse n’était véridique que si elle était vérifiée.
La jeune femme s’était sentie troublée en dévisageant ce garçon, un si parfait reflet d’elle même, autant dans le physique, que dans les émotions qui le transperçaient, et que dans le caractère qu’elle commençait à discerner. Elle décida donc de détourner pour une première fois le regard de sa propre initiative et se concentra sur un ourlet à une de ses manches.
Le garçon osa alors rompre le silence, pour la première fois de sa vie, et fit sursauter Elisabeth qui ne s’attendait pas à entendre une voix ferme et teintée de tristesse, ni à ce qu’il engageât la conversation.

-Mon carnet, lui, était bleu. Il s’est aussi achevé aujourd’hui. Comme toi, je ne sais plus quoi faire de ma vie. Et je ne sais plus qui je suis.

Lisbeth fut si étonnée qu’on lui ait adressé la parole sans aucune contrainte, avec autant de franchise et de sincérité, qu’elle ne sut que répondre. D’ailleurs, c’était la première fois qu’elle allait tenir une vraie conversation. Pas une feinte pour pouvoir manipuler quelqu’un, pas une qui servait à démontrer ses talents d’oratrice et de tueuse, ou toutes les conversations qu’elle avait pu avoir jusque là. Des conversations totalement inintéressantes. Alors que celle-ci promettait de l’être, et peut-être même de lui apprendre des choses sur elle-même et sa...deuxième personnalité, comme elle se résignait à l’appeler.

-Toi aussi tu redoutes cette partie qui se tapit en toi?

Le garçon acquiesca d’un simple hochement de tête. Ainsi, leurs sentiments étaient bien similaires...

-Plus que ça, elle m’effraie. Maintenant que la vengeance ne guide plus ma vie, je redoute de ne plus être capable de tuer. Car assassiner pour le compte de gens autre que vous est pour le moins...

Elisabeth acheva sa phrase:

-Lassant.

-Exactement jeune tueuse. Tu me sembles avoir une bien plus longue expérience que moi. Qui es-tu? Moi, c’est Arthur De Myers.

Elisabeth osa esquisser un petit sourire. Quelle flatterie! Oui elle avait beaucoup d’expérience effectivement. Et se l’entendre confirmer par quelqu’un du même âge et de la même profession qu’elle était gratifiant.

-Mais secret professionnel voyons! On ne révèle jamais à un inconnu son identité!

Elle éclata de rire, d’un rire clair qui ne lui ressemblait pas. Son rire naturel était diabolique, on pouvait presque percevoir le mal incarné dans son rire habituel. Et là...elle frissonna en s’entendant. Ce rire n’était pas maléfique, tout son contraire, on aurait dit le rire...d’une jeune fille. D’une mortelle.
Son coeur se remit à battre la chamade, et ses cheveux se dressèrent sur sa tête. Au sens figuré, cela s’entend. Mais tout de même.... D’un voix tremblante qui ne lui ressemblait pas elle non plus, elle reprit d’un ton qui se voulait enjoué:

-Je me prénomme Elisabeth. Elisabeth d’Aubépine. Mais appelle-moi Lisbeth. Enchantée de faire ta connaissance!

Un sourire s’étira sur les les lèvres d’Arthur. Un sourire semblable prit possession du visage de la dénommée Lisbeth.
Le silence se réinstalla. A part le bruit du vent qui soufflait dans leurs oreilles, on ne pouvait entendre quoique ce soit.
Tous deux regardent le soleil se coucher sur les collines. La jeune femme ne savait si l’homme à côté était sincère ou non. Mais étrangement, elle le croyait. Cela l’étonna un peu d’ailleurs. Elle qui est si méfiante d’habitude... Mais ce garçon dégageait une tristesse et une confusion si semblables à la sienne. Ils se ressemblaient tant et pourtant ne se connaissaient pas...Elle ne se méfiait pas de lui. Aurait-elle peur d’elle-même ?
Elle prit très vite conscience de la fausseté de sa réflexion. En ce moment même, elle avait peur. D’elle-même.
Ce garçon était-il comme elle ?
Celui-ci brisa soudainement le lourd silence, en parlant avec force :

-Je me battrai jusqu’à ma mort, mais je ne me laisserai jamais posséder par mon enfance ! Il est hors de question que je perde l’identité que j’ai mis tant de temps à me forger !

Cela raviva l’énergie de Lisbeth, et elle reprit espoir. Mais comment combattre une force dont on a aucune idée de la puissance ? Et dont par-dessus le marché, on ne sait même pas le nom ? Et qui pourrait peut-être s’avérer plus dangereuse que l’actuelle ?
Il y avait de quoi remplacer la flamme d’énergie par un torrent d’inquiétude. Et de doute.
Elle planta son regard dans celui d’Arthur et plongea dans l’abysse de ses yeux bleus. Elle comprit alors la fascination qu’elle-même exerçait sur les autres, et le sentiment de puissance que cela inspirait.
Arthur lui prit la main et la serra. Avec détermination elle lui répondit :

-Nous nous battrons contre nos envahisseurs intérieurs. Et je te promet qu’on les vaincra.

-----------------------------------------

Elva se réveilla en sursaut. Son lit était trempé de sueur. Elle regarda l’horloge suspendue au-dessus du dortoir des filles de l’orphelinat EdelRose. Celle-ci indiquait six heures du matin.
Elle essaya de se rendormir sans succès. Autour d’elles, toutes dormaient. Son rêve la tiraillait. Mais qui étaient ces gens ? Pourquoi avaient-elle rêvé d’eux ? Y avait-il un quelconque rapport avec elle ?
N’y tenant plus, elle se leva et sur la pointe des pieds, sortit du dortoir. Elle longea le long couloir obscur avec toute la discrétion qu’elle possédait, puis toqua à la porte du bureau de la directrice. Celle-ci saurait lui expliquer.
Madame Fox savait tout, sur tous ses élèves.
La directrice ne parut pas étonnée de voir Elva sur le seuil de sa porte. D’un geste cordial de la main, elle l’invita à entrer.
Elva entra timidement et s’assit sur une chaise. Elle commença à raconter son rêve à Madame Fox. Au fur et à mesure qu’elle avançait dans le récit, le visage de la directrice perdait de ses couleurs. Lorsqu’Elva eut achevé son récit, elle lui dit d’une voix faible :

-Ainsi, tes parents t’ont bien raconté cet événement avant de t’emmener ici, soit quand tu avais trois ans. Je m’y attendais, après tout, je connais mon frère et ma belle-sœur, mais je ne pensais pas que tu te souviendrais un jour.
Je pense qu’Arthur et Lisbeth doivent regretter de ne pas avoir laissé la bonne partie d’eux les « posséder », cela aurait évité leur mort. Maintenant retourne te coucher.
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Lisbeth


Lisbeth

Age du personnage : 30

Familier : J'en ai pas et alors?
Couleur de magie : Pourpre
Niveau de magie :
  • Très élevé
Niveau de combat :
  • Moyen


Métier : Impératrice D'Omois
Résidence : Suite imperiale
Dans le sac : Tu fouilles dans mon sac et ties mort,OK?

Affinités : Mysteria=Une voleuse,une alliée...

Lou M'enil=Une petite elfe insolente mais il faut l'avouer intelligente..(liste noire)

Alvina Glorma=Louve alpha qui dans mon armée fait office de soldat!

Solenie Dim Valin=Combat politique entre elle et moi,trop long à expliquer mais c'est une GRANDE peste!(liste noire)

Mattis Tay=Sangrave contre sa volonté,ravie d'avoir pu l'aider...

T'avila=Si tu n'étais pas aussi...dangereuse,sadique,politiquement interessante,tu serais déjà morte tellement je te hais!!!!!!!!!(liste noire)

Elendil=Très beau elfe QUI M'A FOUTUE UN RATEAU ALORS DANS LA LISTE NOIRE!(liste noire)

Janny Eldeweiss =J'aime bien son caractère à défaut de son métier.Donc,on va mettre connaissance pour le moment.

Tsubasa Hiruna =Demi-démon que je peux invoquer grâce à ma chevalière.Caractère de merde.Mechant,surnois,s'en fout de ma beauté.A de la chance s'il était pas mon serviteur direct à la liste noire!

Erika=Fille du président Drakul.

Alice=Petite fille de dix ans qui m'a sauvé la vie.

Enorth=Fausse vraie voyante.Cretin de première classe.En premier sur la liste noire! (liste noire)

Sveltana D'arren=Cette sale BSH a OSE goûter à mon sang.Et pis ensuite elle s'est échappée de mes prisons!Ah si je la revois un jour,j'en fais de la bouillie..bien fine. (liste noire)

Aliza = J'ai beaucoup d'admiration envers cette jeune fille.Tout ce qu'elle a vécu,elle a surmonté avec un courage dont personne n'aurait pu faire preuve.Elle est la bienvenue à Omois quand elle veut.

Selena = Ah ma chère belle-soeur , quand sera le jour béni ou tu mourras ?

Leyla = Notre relation était plutôt mal partie au début.Elle était même dans le peloton de tête de ma liste noire.Je me suis rendue compte de mon erreur quand celle-ci m'a défendu face à tout le monde.C'est une chic fille et je serais ravie de la revoir.

MessageSujet: Re: Le Bien est-il le Mal?   Le Bien est-il le Mal? Icon_minitimeLun 18 Fév 2013 - 12:08

Je trouve cette nouvelle très bien rédigée.On remarque aussi qu'il n'y a pas de fautes d'orthographe -bon,je peux en avoir loupée,hein mais ban..-.Bref,ce texte est très agréable à lire.Par contre,c'est un peu flou.On ne comprend pas vraiment ce qu'est la ''bonne partie'' du personnage.Mais je pense que c'est fait exprès alors bravo,je n'ai rien à te dire d'autre,désolée si ce n'est pas très constructif.
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Wilson E. Váldez


Wilson E. Váldez

Age du personnage : 17 ans

Familier : /
Couleur de magie : Pas de magie
Niveau de magie :
  • Inexistant
Niveau de combat :
  • Plutôt faible


Métier : Pas de métier, mais aide parfois à l'auberge
Résidence : L'auberge "Chez Anna" à Tingapour
Dans le sac : Dans le sac? Rien d'illégal, si c'est ce que vous voulez savoir.


MessageSujet: Re: Le Bien est-il le Mal?   Le Bien est-il le Mal? Icon_minitimeLun 18 Fév 2013 - 13:38

Owh on parle de moi I love you

Bon, j'ai pas tout lu, mais ce que j'ai lu, j'aime bien. Ton style est sympa. Tu dis que c'est pour un cours, je pense que tu devrais avoir une bonne note^^
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Mystie


Mystie

Age du personnage : 14

Familier : Kimy, mon petit lapin gris
Couleur de magie : Bleue ciel
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Plutôt élevé


Métier : Voleuse Patentée
Résidence : Une chambre dans l'aile droite du Palais du Lancovit
Dans le sac : Ce qui était dans le tien.


MessageSujet: Re: Le Bien est-il le Mal?   Le Bien est-il le Mal? Icon_minitimeLun 18 Fév 2013 - 17:30

Lisbeth ca me touche beaucoup merci infiniment ^^
Merci à toi aussi Kyo. Non mon travail n'est pas noté, mais c'est une sorte de concours avec les 8 classes de troisième du collège, donc...
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Avalyvy'ia


Avalyvy'ia

Age du personnage : 16 ans dAutremonde

Familier : Vinda, une espèce non-identifiée.
Couleur de magie : Dorée
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Elevé


Métier : Ai presque fini mes études pour les Services secrets d'Omois (et suis donc en phase pratique) mais tu crois bien que j'ai des couvertures, pas conne hein!
Résidence : Omois et une maison de campagne à Selenda
Dans le sac : Une demi-douzaine d'armes, une bourse de crédits-muts, de l'eau, une brosse à cheveux.

Affinités : -Mystéria :je ne te connais pas bien mais on a un voleur à rattraper toute les deux je te rappelles!
-Janny :ben toi alors, si tu crois que je vais me laisser cracher dessus, tu vas avoir des surprises.
-Sveltana :alors là, je te fais pas confiance du tout, en fait, je ne fais jamais confiance aux gens qui me nomment "petit apéritif".
-Hana Sendo: je pense franchement qu'on pourra être copines quand on sera rentrés d'Outre Monde!

MessageSujet: Re: Le Bien est-il le Mal?   Le Bien est-il le Mal? Icon_minitimeMer 13 Mar 2013 - 19:59

WAW!!!Misty!!! O.O
Je dois t'avouer qu'en ce moment, je suis en train de te maudire pour avoir écrit cette nouvelle à ma place. Mais pourquoi c'est jamais moi qui ait des bonnes idées comme ça??? :(
Arrête de présenter cela comme une horreur: je n'ai pas pu décoller les yeux de cette nouvelle du début à la fin! Un seul petit détail; selon mon (très humble) avis, la dernière phrase est un peu, comment dire,... moins soignée, comme si l'heure de cours s'était terminnée juste à ce moment là et que, étant pressée de partir, tu avais écrit cette phrase, qui n'a rien de mal, mais qui coupe un peu sèchement l'histoire...
Mais après tout, sur un texte comme ça (ça=magnifique) ce n'est pas une phrase qui va tout chambouler, ça c'est sûr!!! ^.^
Contrairement à Lisbeth, j'ai trouvé cela assez précis. L'histoire d'Elisabeth était assez détaillée dans le fait que j'ai facilement compris pourquoi elle chassait Alec.
J'ai enfin trouvée que tu avais un bon rythme: les actions s'enchainent rapidement mais sont entrecoupées de flash-backs qui permettent de reprendre son souffle.
En gros, j'ai adoré :D
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Janny E. De Brina


Janny E. De Brina

Age du personnage : 21 ans

Couleur de magie : Rouge Bordeau
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Elevé


Métier : Ex-Assassin, aujourd'hui Barman & Voleuse.
Résidence : Un hangar près de Tingapour, et sinon...la rue.
Dans le sac : Un couteau, un couteau suisse, une trousse à maquillage, de l'argent et des provisions. On ne sait jamais quand on devra à nouveau s'enfuir.


MessageSujet: Re: Le Bien est-il le Mal?   Le Bien est-il le Mal? Icon_minitimeMer 13 Mar 2013 - 21:01

Oh Ava, ce que tu dis me touche profondément! Merci beaucoup!
Mais je suis sure que toi aussi tu es capable de prodiges!
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Neela C. Tamahees


Neela C. Tamahees

Age du personnage : 25 vagues écumées de déréliction.

Familier : Aucun petit animal aux yeux dorés à mes arrières. Fort heureusement.
Couleur de magie : Varie entre le vert algue et le vert oxyde.
Niveau de magie :
  • Plutôt élevé
Niveau de combat :
  • Plutôt faible


Métier : .
Résidence : .
Dans le sac : .

Affinités : Je suis tristesse. Je suis haine. Je suis solitude, et désespoir.

MessageSujet: Re: Le Bien est-il le Mal?   Le Bien est-il le Mal? Icon_minitimeMer 13 Mar 2013 - 23:30

Bravo Mysti !!
J'ai pas grand chose à dire, les nouvelles et moi . . . x')

Mais sinon bravo ! J'ai toujours trouvé ton style d'écriture original et super-méga-géniale-je-sais-plus-quoi !! XD
En bref bravo !
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MessageSujet: Re: Le Bien est-il le Mal?   Le Bien est-il le Mal? Icon_minitime

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Le Bien est-il le Mal?
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