Pourquoi et comment un chat bicolore peut devenir indispensable ... PV Rebecca Artànis

J'avance. Les pieds dans la neige, je traverse les quelques pas qui me séparent de la porte du château. Une fois dans le hall, je retire mon manteau tout enneigé, et je le dépose sur un porte manteau qui vient d'arriver. Celui-ci me suit, en effet, c'est celui de ma suite que j'ai posté là. Une fois dans ma chambre, je me change rapidement, enfile un gros pull over tout chaud mais pas très beau, et m'installe sur un canapé du petit salon de la suite. Celle ci comporte une grande chambre pour nous, une plus petite pour les invités, qui sert de refuge aux chats errants pour lesquels, sous notre demande évidemment, le château à même installé une chatière sur la porte. Il y a aussi ce petit salon avec deux canapés, un panneau de cristal télévision et une cheminée qui crépite. C'est d'ailleurs pendant que je sirote mon thé qu'entre un joli chat errant bicolore, aux magnifiques yeux verts. Cela ne me fait rien, évidemment, je le connais celui là. Mais soudain, je ressens un choc, je dépose mon thé sur une petite tablette, et me précipite vers lui. Je sens un lien se tisser entre nous, et l'évidence me percute quand je vois que ses yeux ont viré au doré. C'est mon familier ! Le lien désormais créé, il m'informe par pensées qu'il s'appelle Eternal. Je sors de ma suite en courant, Eternal dans mes bras. Je veux trouver ma soeur, mais je me cogne dans une personne qui paraît pressée.

Ça fait bientôt une semaine que je me les gèles à me balader partout ,avec mes couteau et cette fichue voie qui résonne dans a tête.
Je suis passée à Omois et dans pleins de pays différent dans tout les palais, là ou je joue mon numéro d'avaleuse de sabre et de lanceuse de couteau, parfois, je fais la cracheuse de feu, et je suis assez souple pour faire quelques numéros de contorsionniste qui me bousillent le dos.
A 80 ans, je le sens, je serais plus qu'un vieux résidu d'os broyés.
Je soupire quand la neige se met à tomber.
J'ai froid.
Normal,je ne porte qu'une fine robe noire, pas du tout accordée au temps qu'il fait.
Ma peau violette clair se couvre de chair de poule lorsque le premier flocon tombe dessus. Je regrette un peu de ne pas avoir un familier qui puisse me tenir compagnie, parce que sérieusement, a part Blanche qui, enfermée dans ma tête, me fait des sermons de trois heure chaque fois que je fait une bêtise, je me sens vachement seule.
Je soupire et sort de ma sacoche dans la quelle est rangé tout mon attirail , un élastique violet assorti à ma peau.
Je ramenai mes cheveux roux vers l'arrière, me faisant une queue de cheval. Enfin, au bout de quelques minutes ne marches, j'arrivai face au Palais du lancovit. C'était là que je ferai mon spectacle ce soir, je m'améliorai de plus en plus et ça me rapportai un peu d'argent, je faisait partie d'un cirque mais je me baladai souvent seule pour gagner mon propre argent, j'avais l'age, de toute manière, on ne pourrait rien me reprocher. j'eus un soupir. Le spectacle n'avais lieux que le soir même mais j'avais froid et une chambre m' était réservée et j'avais l'intention d'en profiter.
Je rentre à toute vitesse et me dirige vers ma chambre. Fiou fiou, il fait bien plus chaud ici! Une fois dans le couloir des suites, je sort un petit papier de ma sacoche, avec le numéro de me chambre.
Aha, c'est celle là, je vois la porte d'ici.
Je soupire de bonheur et me dirige vers elle quand quelqu'un me percute. Je me tourne vers la personne, mes sourcils roux froncés qui font contraste avec ma peau violette.
C'est une fille, elle porte un chat bicolore dans les bras, un chat au yeux dorés.
Merci de me rappeler que j'en ai pas, de familiers, je suis seule au monde...
ça m'a mise de mauvaise humeur, Blanche, la petite voix dans ma tête, me dit de lui laisser place, et ça m'irrita encore plus.
Mes yeux vairons lancèrent des éclairs.
- Ça, c'était mon pied!
Dis-je à la fille sur un ton tout sauf agréable.

Ça, c'était mon pied !

Oups, je crois que je lui ait fait mal.

Euh, désolée m'dame.

Oh non, on dirait une enfant qui parle. Je m'éloigne, mais je suis suis suivie par son regard insistant.

Oui m'dame ??

Eternal me projette une image de cette dame qui rêve que je m'incline. Alors, comme je suis pas méchante, bah je m'incline bien.

Je pense que vous êtes Dame Artànis, l'avaleuse de couteaux.

En effet, tout le monde en parlait. Je projette justement d'y aller. Enfin, si cette dame est plus gentille avec moi hein. Parce que là ...

/UP ?/

Bon bah j'abandonne le RP hein--'

[/!\ Evite les triples postes Ell'ea, contente toi d'envoyer un message privé à ta partenaire si elle tarde trop.]

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