Chute et Rechute [Anna, Cassie, Laure, Lalwend, Lya]

[HS: Je veux pas dire, mais si en fais toute un RP pour expliquer notre arriver dans la salle de transfert, ça va légèrement allonger le RP et je ne pense pas que Far'jim en soit ravie donc je prends l’initiative de faire le transfert. Et j’ai aussi plantée le décor. S’il y a des problèmes ou si cela ne convient pas, j’éditerais.]

Quatre jours sur le continent interdit. Enfin un peu de repos après tous ses entrainements. Lya avait réservée sa place trois jours auparavant et venait de boucler son sac de voyage. La jeune fille miniaturisa sa panthère et la plaça sur son épaule. Mieux valait ne pas être en retard. Son sac dans une main, elle regarda sa montre, elle avait dix minutes pour arriver à la salle de transfert. Largement suffisant. Même si c’était censé être un simple camp, la Voleuse ava quand même prit ses dagues dissimulées dans sa tenue. Tenue qui n’était autre qu’un short noir et une chemise de la même couleur. Balançant négligemment son sac sur son épaule de libre, elle parcourut rapidement les longs couloirs et arriva enfin devant la salle de transfert. Elle entra. Elle fût plus qu’heureuse de voir Cassie et se porta tout de suite à sa rencontre. Se mettant à parler avec de l’entrain et en souriant. Une seule ombre au tableau : la Voleuse avait reconnue Anna. Une vampyr rencontrée au Mentalir et pas franchement dans les meilleures conditions qui soit si on prenait compte du fait qu’elles on faillit s’entretuer. La dernière arrivante passa enfin la porte de la salle. Il n’y avait qu’une personne dont elle ne connaissait pas le nom. Sa timidité naturelle ne devrait pas trop la gêner dans ses circonstances. Le petit groupe fût finalement téléporté. Lya ouvrit de grands yeux en découvrant le paysage magnifique. La jeune fille n’était jamais venue sur le Continent Interdit. Le groupe se trouvait au bord d’une falaise. Avec le décalage horaire, la nuit était tombée et l’océan scintillait en dessous de leurs pieds, telle une vaste étendue de diamants et de saphir illuminé par la lune montante. Elles n’avaient plus qu’à construire un camp pour la nuit. Chose qui devrait s’avérer rapide grâce à la magie. Après une bonne dizaine de minutes le temps de monter les tentes et autres, le groupes de fille se réunirent autour d’un feu de camps. Confiseries et cochonneries à gogo. Toutes se présentèrent et Lya retint le nom de l’elfe qu’elle ne connaissait pas. Lya avait décidée de faire comme si il ne s’était rien passée de grave avec Anna. Après tout, elles étaient toute là pour se détendre et profiter de la sortie pendant quatre longues et agréables journées. La Voleuse c’était naturellement assis à coter de Cassie et avait interdit à son familier de s’approcher de Terry. Chose indispensable pour éviter que la fauvette ne tremble de peur devant la panthère qui avait failli la manger. Après quelque temps de gènes au commencement, l’ambiance se détendit et les rires fusèrent. Les différences de race et d’âge furent oubliées. Le teint de la jeune Voleuse devient même moins pale, prouvant qu’elle était à l’aise.

Et puis un hurlement stoppa toute les discutions. Toutes se turent et le silence régna pendant quelques longues minutes. Lya se leva doucement et, sortant ses dagues, se mit en position de combat devant Cassie, protectrice. Elle avait appris à toujours étudier la situation avant d’intervenir et c’est ce qu’elle fit. Ouvrant la bouche, elle souffla :

-Lycan. Il est près de la falaise et il n’a pas l’air d’être pacifiste. Que toutes seules qui savent se battre se place devant les autres. Celle qui pratiquent le mieux la magie, formez des boucliers. Pas d’affolement et penser à protéger les autres. Les lycans sont vraiment coriaces.

Si on prenait effectivement en compte qu’ils guérissaient de toute blessures excepter les blessures causée à base d’arme en argent et le faite qu’ils ne mourraient qu’en étant décapiter, on pouvait les mettre dans la catégorie des coriaces. Le groupe se plaça en manière défensive. La Voleuse était au moins rassurer sur un point, pratiquement toutes ses coéquipières avaient l’air de savoir se battre. Nouvelle attente dans l’anxiété.