Catastrophe [PV]

Phébé n'avait pas vraiment passé une soirée de rêve ; elle s'était (encore) perdue, et avait été obligé de passer la nuit dans la forêt sans pouvoir trouver le sommeil, à cause de son familier qui avait trouvé que la soirée était idéale pour se disputer avec elle.
Aussi quand, le lendemain matin, elle avait aperçu l'auberge, elle s'était aussitôt précipité, sans même se demander si les employés étaient déjà levé.
Mais la chance devait être avec elle puisqu'une jeune fille (très) énergique était là et lui demanda:

t]]- Bonjour et bienvenue à l'auberge Lakia. Que puis-je faire pour vous ? [/b]
Sur le coup, elle hésita. Elle n'avait jamais mis les pieds dans cette auberge (ni dans aucune autre) et ne savais pas vraiment quoi prendre,

-Un chocolat chaud, décida-t-elle finalement.

L'autre lui apporta très rapidement, trop, sans doute, car le chocolat se renversa... sur les vêtements de la vampyre.

- Je suis désolée. s'excusa la serveuse en invoquant un Sechus

Mais apparemment, Phébé n'était pas la seule à ne pas être très puissante et la magie (rose) ne réussi pas à sécher sa tunique. Mais alors qu'elle s'apprêter a lui hurler dessus, l'autre la prit totalement au dépourvu: elle éclata en sanglot.
La vampyre ne savait pas comment réagir, mais empathique comme elle l'était, les larmes lui transperçais le cœur.

« Comment ça, tu la prends en pitié alors qu'elle viens de te... de nous renverser un chocolat bouillant dessus!» s'exclama la voie de son familier dans sa tête.
«Elle ne la pas fait exprès, et puis, il n'était pas bouillant comme tu dis!»
«Si si, je te jure qu'il est brûlant! D'ailleurs, tu vas garder quelques marque de brûlure sur toi! Elle a bien dût te brûler au deuxième degrés!»
« Sûrement pas! C'est toi qui exagère! Là où il y a une éraflure, tu vois une plaie béante!»
« Tsss, tu n'as absolument rien sentit, comme d'habitude. Tu crois que quand quelqu'un te tranchera la gorge, tu tends rendra compte? Après tout, puisqu'on à manipuler ta maladie.»

-MAIS TU VAS TE TAIRE!, hurla-t-elle. Elle se rendit compte qu'elle avait hurlé et rougit, se demandant si la serveuse allait le prendre personnel, Euh... je ne te parler pas, j'étais en train de me disputer avec mon familier, ne le prends pas mal, s'il-te-plaît... Tiens,(elle lui tendit un mouchoir) prends-le. (Elle se tu un instant, et...) Pourquoi pleures-tu? C'est parce que tu as raté ton sort ou... (puis, avisant qu'elle était peut-être un peu trop curieuse)Je m'appelle Phébé, et toi?

Quand elle arrêta de parler, elle se rendit compte qu'elle n'avait jamais pris vraiment la peine d'interroger quelqu'un comme ça et se demanda si la serveuse n'allait pas trouvé ça bizarre d'être questionné par une vampyre inconnue.

La serveuse pris le mouchoir et déclara:

- Ne t'inquiète pas ... Je suis vraiment désolée, mon nom est Elisabeth. Je travaille ici mais je fais souvent n'importe quoi ... Je suis désolée ... Je suis un peu fatiguée en ce moment ... J'espère que tu ne m'en veux pas ? Le chocolat était chaud, tu n'as pas eu mal ?
Phébé n'appréciait pas vraiment cette question: après tout, cela la forçait à révéler la nature de son don/malédiction.
Elle hésita un instant, mais Elizabeth lui inspirait confiance et elle n'avait pas envie de lui cacher des choses.Elle se mordit la lèvre jusqu'au sang, comme chaque fois qu'elle était mal à l'aise et répondit:

- En faites, je ne sens pas la douleur, enfin, pas sur le coup. Je ne la sens que quelque minute après. Donc je n'ai pas la moindre idée si le chocolat m'a fait mal ou non. Mais mon familier est persuadé que je me suis brûlé. En tout cas, si le chocolat a réussi à me faire mal, je le sentirais bientôt.

Elle se rendit soudainement compte que, quand elle parlait, les yeux de Lise était fixé sur ses lèvres.

« Elle ne t'entend pas, elle lis sur tes lèvres»
«Merci Malik, mais je m'en suis rendue compte toute seule»

Elle hésita (ce qui lui arrive aussi souvent que de se perdre), et demanda:

- Tu ne m'entends pas, n'est-ce-pas? Tu lis sur mes lèvres.

Billy, qui pour une fois n'était pas en mission, avait décidé de faire escale à l'Auberge des Lakia. Elle avait entendu dire que c'était une auberge très réputtée. La jeune demi elfe était donc devant la porte de cette auberge à Selenda, la patrie de sa défunte mère. Elle entra et s'installa à une table à côté d'une où était installés quelques poivrots. Mais apparement, ils n'étaient pas encore assez ivres pour ne pas capter un message. La preuve, quand l'un d'eux s'approcha de Billy, un seul regard de cette dernière leur fit à tous comprendre qu'ils n'avaient pas interet à l'approcher.
Une jeune serveuse elfe s'approcha d'elle avec un grand sourire, lui demandant ce qu'elle désirait; la demi elfe prit du tzimpaf. Elle buvait tranquillement, quand elle aperçut une serveuse humaine, qui courait carrement pour apporter un chocolat chaud. La jeune fille était sure qu'elle allait se casser la figure. Et deviner quoi ? Elle est tombée. Et le chocolat alla se renverser sur la malheureuse cliente qui semblait se ficher totalement qu'un chocolat bouillant se soit renverser sur elle. Billy n'entendit pas leur conversation à cause de latable d'ivrognes à côté d'elle, mais elle se précipita qu'en même sur les deux jeune filles.

Je suis désolée d'interrompre votre conversation, mais savez vous que du chocolat bouillant est entrain de couler sur vos cuisses ? Attendez je vais vous aider. dit elle en lançant un sechus sur la jeune fille. Elle se tourna vers la serveuse. Vous n'avez rien de cassez mademoiselle. Oh je ne me suis même pas présentez. Mon nom est Billy et cette krakdent albinos, là, c'est Apsolèbe. Vous allez bien je peux lancer un Reparus si vous voulez. Vous semblez avoir un problème avec la magie.

Aline prit son sirop. Elle en prit une gorgée, mais elle ne put en prendre plus, car son oiseau lui avait piqué son verre.

* Tomy ! Rend-moi mon verre tout de suite !*
* J'en bois la moitié, et je te le rends,* décréta l'oiseau.
* Très drôle, tu sais que je ne bois pas un verre si tu l'as touché.*
*Alors laisse-moi tranquille*

Elle regarda son oiseau s'abreuver à vingt mètres d'elle, en haut d'un meuble de deux mètres de hauteur. Elle demanda alors, voulant étrangler son oiseau :

- Je pourrais avoir un chocolat chaud ? Tomy m'a piqué ma menthe.

Son familier détestait le chocolat, froid ou chaud.

* Si tu prends un sirop, je te le piquerai pas, promis ! *
* Mon œil ! Tu tiens tes promesses, toi ?! *