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Chroniques d'AutreMonde :: Autremonde :: Le LancovitLe LancovitPartagez
 

 Braquage au septième ciel

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Heather O. Wallington


Heather O. Wallington

Age du personnage : 23 yo.

Familier : Drhea my dear doe.
Couleur de magie : Strawberries (and cigarettes).
Niveau de magie :
  • Plutôt élevé
Niveau de combat :
  • Faible


Métier : Necklaces and diamonds, shining bright on your neck, money in my pocket.
Résidence : Omois oh sweet home.
Dans le sac : Nonya business.

Affinités : Goddess on earth. No matter which one you're talking about.

MessageSujet: Braquage au septième ciel   Braquage au septième ciel Icon_minitimeSam 3 Jan 2015 - 12:37




Braquage au septième ciel
Enfin, septième ciel, septième ciel... c'est ce qu'on dit, hein !

La ville était en effervescence, mais, cela dit, c’était normal : le marché venait de s’installer, et les vendeurs, à force de cris et de bruit, s’installaient du mieux qu’ils pouvaient, empiétant au maximum chez leurs voisins, qui ne tardaient de répliquer. Tu te demandais depuis combien de temps tu prenais goût à cette ambiance chargée d’électricité et d’énergie, alors qu’il y avait à peine quelques années, l’ombre, la fuite et la discrétion étaient les maîtres mots de ta survie. Sans doute était-ce cela qui t’attrayait, finalement : le fait de ne plus devoir s’enfuir, lutter pour rester en vie. La liberté, ce que tu valorisais lors de ta cavale, n’est peut-être pas dans le fait de se battre et de continuer à avancer avec courage. C’est peut-être… avoir le plein contrôle sur ta vie ?
Tu secouas la tête. À quoi cela servait-il de ressasser le passer ? Ce n’était pas dans ton genre, et ce serait sûrement néfaste pour toi de devenir nostalgique. Ta familière poussa doucement ta main, et tu lui frottas la tête avec affection. Oui, il ne fallait pas penser à cela. C’était mieux ainsi. Et puis, merde : tu étais la grande Heather Wallington, la jeune femme omoisienne hautaine, sublime et envoutante.

Tu avançais dans la rue éclairée par les rayons de soleil, et les gens qui te reconnaissaient – pour ainsi dire, pas mal de personnes – te saluaient agréablement. Tu en faisais de même, avec un sourire amical, mais légèrement insolent, sur tes lèvres rendues pourpres par un rouge à lèvres.
Pourquoi étais-tu là, déjà ? Ah, oui, c’était parce qu’une employée de ton magasin de bijoux luxueux t’avait prévenue qu’il manquait certaines pierres semi-précieuses. Le seul marchand qui les vendait appartenait au Lancovit, ce royaume que tu calomniais souvent, mais que tu respectais malgré tout ce qui prouvait le contraire dans ton comportement. Tu traversas rapidement le marché sur une des places d’un petit village, situé à l’est du Lancovit. Tu savais pertinemment qu’un Transmitus t’aurait permis d’aller bien plus vite, mais tu aimais respirer l’air frais, te dégourdir les jambes après ces heures passées à la cours d’Omois, à languir et à servir des phrases toutes faites d’un ennui mortel.
Enfin, tu te trouvais devant un petit immeuble à l’angle d’une ruelle plutôt sombre, dont la devanture vieillie rendait une bien piètre impression. Cependant, tu savais qu’à l’intérieur, tout était dédié à la pierre précieuse, et que c’était de loin le meilleur artisan des environs.
Tu entras.

L’intérieur était clair, et partout étaient disposées des vitrines de verre – blindé, évidemment, lorsque l’on travaille avec des produits à plusieurs crédits-mut or la pièce…
Quelques personnes, des clients vraisemblablement, flânaient déjà, et une femme blonde à l’air de pétasse discutait vivement avec l’artisan et vendeur de cet endroit. Il avait l’air un peu sénile au premier abord, mais toute son habileté et son savoir-faire ressortait clairement.
Et puis, pour avoir parlé avec lui de nombreuses fois, tu le savais de bonne compagnie.  
S’approchant de plus près d’une pierre sublime, tu remarquas du coin de l’œil un mouvement, du côté de trois personnes présentes dans le magasin. Étrangement, elles étaient toutes vêtues de sombre, bien à l’opposé du reste des habitants du Lancovit, aux couleurs vibrantes et vives.
Soudain, elles se déployèrent. Tu sais, c’était très étrange comme phrase. Mais, en tout cas, elles prirent soudain des armes en tous genres, et vous sommèrent en hurlant de vous mettre par terre, et que toute tentative de magie était inutile. Tu  le sentis ; effectivement, un Anti-Transmitus venait d’être posé sur le magasin. Des volets, surement à l’épreuve des balles etc, descendirent soudainement sur les fenêtres.
Etant donné que le magasin se trouvait à l’angle d’une ruelle désaffectée, il y avait peu de risque que les secours arrivent. La conclusion était que tu devrais te débrouiller seule si tu voulais sortir de ce pétrin.
Tu juras fort dans ta tête. En tant que combattante, tu ne valais rien, ou si peu. C’était seulement en sortcelière, ou à la limite en voleuse, que tu savais faire tes preuves. Tu étais foutue.

Tu t’apprêtais à exécuter les ordres lancés par les braqueurs, ta familière suivant le mouvement. Arrogante et tout ce que tu voulais, oui, suicidaire, certainement pas. En te baissant lentement, les autres ne firent pas plus attention à toi qu’aux clients terrorisés (évidemment, dans une boutique pareille, ce n’étaient pas les guerriers qui risquaient d’affluer, plutôt les courtisans gringalets et totalement dénués de forces). Cependant, ce que tu avais appris sur Terre, tu ne l’avais pas oublié, malgré tout le chemin que tu avais parcouru depuis. Se faire discrète, imiter les autres tant qu’on ne comprend pas. Agir lorsqu’on est sûr que ça en vaut la peine et qu’on est bien préparé.
Tu regardas autour de toi. Il n’y avait qu’une poignée d’otages apeurés, certains même laissaient couler les larmes sur leurs visages, toute honte bue. Il n’y avait personne qui était susceptible de pouvoir t’aider. Là, une fillette dans les bras de sa mère. Ici, un homme dont la trentaine était largement passée, et qui arborait une moue de terreur totale. Et… elle. Elle, avait l’air d’être assez solide. Ce n’était pas la ridicule courtisane lâche, s’était une battante. Centimètres par centimètres, tu t’avançais vers elle, faisant garde de ne pas attirer l’attention des malfrats qui brisaient les vitres à grands coups de sorts et autres pour s'approprier les luxueuses pierreries, et tout ce qu'ils pouvaient emmener.
Arrivée enfin près de ta cible, tu lui murmuras :

« Aide-moi à nous sortir de ce merdier. La porte, là-bas, celle de l’arrière-boutique. Elle est gardée mais je pense qu’on pourrait la forcer, en étant assez rapides. »



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Avalyvy'ia


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Age du personnage : 16 ans dAutremonde

Familier : Vinda, une espèce non-identifiée.
Couleur de magie : Dorée
Niveau de magie :
  • Moyen
Niveau de combat :
  • Elevé


Métier : Ai presque fini mes études pour les Services secrets d'Omois (et suis donc en phase pratique) mais tu crois bien que j'ai des couvertures, pas conne hein!
Résidence : Omois et une maison de campagne à Selenda
Dans le sac : Une demi-douzaine d'armes, une bourse de crédits-muts, de l'eau, une brosse à cheveux.

Affinités : -Mystéria :je ne te connais pas bien mais on a un voleur à rattraper toute les deux je te rappelles!
-Janny :ben toi alors, si tu crois que je vais me laisser cracher dessus, tu vas avoir des surprises.
-Sveltana :alors là, je te fais pas confiance du tout, en fait, je ne fais jamais confiance aux gens qui me nomment "petit apéritif".
-Hana Sendo: je pense franchement qu'on pourra être copines quand on sera rentrés d'Outre Monde!

MessageSujet: Re: Braquage au septième ciel   Braquage au septième ciel Icon_minitimeJeu 8 Jan 2015 - 17:06

Bon. Franchement, y’avait  que moi pour entrer dans la salle du trône pile au moment où Sa Majesté l’Impératrice d’Omois ressentait le besoin urgent de dilapider la moitié du Trésor Impérial dans un bijou de la dernière mode. Et en plus, cette fameuse tiare plaine de saphirs n’est trouvable que dans la boutique du Lancovit (car à Omois on ne trouve rien de bleu).
Quel était l’intérêt, pour une camouflée dans la dernière phase de ses  études aux Services Secrets, d’aller au Lancovit ? Mais qu’aurais-je pu dire d’autre que « Oui, Vôtre Majesté, bien sur ! » quand je me suis retrouvée, éberluée, en face d’une furie bleue (c’est sa nouvelle lubie, d’où les saphirs sur la tiare) qui me hurlait, d’un air vraiment très exaspéré :


-Eh bien vous arrivez à point !!! Vous allez me chercher cette tiare et me la ramener vite fait bien fait. Et si, comme vos supérieurs, vous n’êtes pas capable de trouver un moment pour le faire, il y aura des tas d’explosions, expulsions, démantibulations et pleins de trucs qui finissent par « ion » et qui ne sont pas forcément agréables.


Tout en marchant vers cette fameuse boutique, je retourne la situation sous tous les angles, et je ne vois toujours pas comment j’aurais pu y échapper. En fait, je ne sais pas si je dois me plaindre ou pas…

D’un côté, toutes ces heures consacrées à cette  stupide tiare ne sont pas considérées comme des heures de pratique aux yeux de mes professeurs (bien que transporter un objet d’une valeur de plusieurs centaines de crédits-muts or relève parfois du défi). En plus, je n’aime pas le Lancovit… Ce ciel qui change de couleur au gré des humeurs de la reine (il est vert à pois jaunes en ce moment) ! C’est à donner la nausée. Sans compter le raffut que ces marchands font !!! Dieu merci, je n’aurai pas à passer par le quartier des poissonniers, qui pue et crie de plus belle.
Mais d’un autre coté, ça veut dire que l’Impératrice me paie bien plus grassement que d’habitude, et que, si je prouve mon efficacité, je suis mise en valeur. Et ça me laisserait peut-être le temps de m’acheter quelques choses  pour moi aussi.

Au fur et à mesure que j’approche de ma destination, mes sens s’éveillent complètement : je vois tout, j’entends tout. Les charlatans qui rient de leurs mauvais coups, les clients qui négocient âprement la moindre chose, les gloussements que des courtisanes laissent sur le passage de beaux jeunes hommes, etc.

J’arrive enfin à la bijouterie. Après une rapide inspection des lieux, il n’y a rien d’alarmant. Après avoir montré un ticket à la vendeuse, celle-ci m’amène dans l’arrière boutique et me remet le précieux colis. Je vérifie rapidement. Tout est bon. Pressée d’en finir et d’avoir encore un peu de temps pour moi, je me précipite alors dans la salle principale, spacieuse et lumineuse.

C’est là que je les remarque. Toutes vêtues de longs manteaux à capuche sombres, elles n’ont rien en commun avec les autres femmes/tatris/elfes/etc. qui se pressent ici. Je tente de m’avancer, mais elles se déploient d’un coup, menaçant la clientèle avec des armes non magiques. Slurk ! Dire que j’ai cru que ça se passerait facilement !

Je suis encore en train de préparer mon plan de fuite quand une jeune femme (mais plus âgée que moi) m’aborde, rampant pour ne pas se faire remarquer. Bien habillée, les cheveux blonds et brillants, elle a tout d’une femme de caractère. Bien qu’on puisse déceler, en faisant très attention, un soupçon de peur derrière ses yeux qui me fixent soudain avec une urgence froide.

« Aide-moi à nous sortir de ce merdier. La porte, là-bas, celle de l’arrière-boutique. Elle est gardée mais je pense qu’on pourrait la forcer, en étant assez rapides. »

Je la regarde bizarrement. Non pas parce-que je doute de ce qu’elle me dit (je l’avais d’ailleurs déjà constaté), mais parce qu’il est parfaitement anormal qu’une simple cliente connaisse ce genre de détails aussi surement. Puis je soupire. Voilà que je me retrouve avec une fille en plus. Je ne pourrai donc pas utiliser mon pouvoir de camouflée. La jaugeant du regard, j’analyse ce qui pourrait m’être utile. Elle a l’air d’être en parfaite santé, mais ce ne sont pas ces talons gigantesques qui vont m’aider.

« D’accord, je nous fais sortir de là. Mais pour ça, il faudrait d’abord que vous enleviez ces talons. Et on doit toujours rester ensemble.  »

Je fixe la porte que nous devons passer, et je m’apprête à lui demander si elle est sous anti-sort quand un coup de fusil m’interrompt.
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Heather O. Wallington


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MessageSujet: Re: Braquage au septième ciel   Braquage au septième ciel Icon_minitimeDim 11 Jan 2015 - 15:18




Pas très professionnels, les cocos!
Enfin, ils peuvent bien continuer...

En attendant la réponse de la jeune femme, tu te permis de l’observer plus attentivement. Avec ses cheveux blonds comme les blés, sa taille de mouche et ses yeux  étonnants, elle ne manquait pas du tout de charme. Elle avait aussi un petit côté… étranger. D’une autre race. Une belle race. À la grande taille. À la finesse incomparable. Elfique. Tu fronças les sourcils. Une hybride ? Mais c’était… rare. Et puis tu te souvins qu’ici, c’était le Lancovit, pas Omois.
Du côté de la jeune femme, tu sentis comme un agacement passager. Comme si… ta présence l’agaçait. Mais c’était si infime et si fugace que tu doutais de cette conclusion. Et puis, il y eut ce regard, bizarre. Assez dérangeant. Tu n’aimais pas, malgré tout ce que tu pouvais dire, lorsqu’on te regardait fixement.

« D’accord, je nous fais sortir de là. »



Comment ça, vous nous faites sortir de là ? Et moi alors ? M’enfin, soit. Passons.

« Mais pour ça, il faudrait que vous enleviez ces talons »

Tu jetas un vague regard à ta tenue. Oui, effectivement, avec ta tunique noire de nuit avec son unique tirette dorée décorative, ton pantalon sombre moulant et tes bottillons à talons aiguille mordorés, tu pouvais comprendre qu’on ne te prenne pas réellement au sérieux. Tu ressemblais en tout point à quelqu’un hautain, beau et tout ce qu’on veut, mais surtout incapable de se battre, en se cachant derrière les autres. Que ce soit toi qui ailles vers cette fille – qui, elle, était clairement efficace – avait de quoi la surprendre. Mais quand même.

« … doit toujours rester ensemble. »


Cela va de soi, vous croyez bien. Tu hochas la tête, et suivis son regard – qui allait jusqu’à notre porte de sortie. L’un de ceux qui gardait la porte d’arrière-boutique s’engouffrait mystérieusement dedans. Sans doute pour fouiller encore plus, s’accaparer d’encore plus de trésors. Mais cela, ça signifiait que vous ne pouviez pas aller jusque là-bas. Pas maintenant, avec cet homme qui vous descendrait en une seconde, sans la moindre hésitation.
Serrant les dents sur un cri rageur, tu te promis que vous sortiriez tous d’ici sains et saufs (du moins, autant que vous pouviez l’être). Tu sentais que ta nouvelle alliée allait parler, mais, soudain, un coup de feu retentit. Un instant, tu te retrouvais sur terre, sous la pluie, à quinze ans, proche d’une scène de rue où des coups de feu retentissaient. Mais non, tu étais au Lancovit, dans un braquage dont tu devais absolument te sortir.
Tu tournas la tête pour découvrir la raison de ce coup – et, notamment, ses conséquences. C’était l’homme qui était rentré dans l’arrière-boutique et qui, entre temps, était revenu sans que tu t’en aperçoives. Il venait de tirer sur un gros coffre en métal, visiblement blindé puisque la balle nullement déformé ce cube impeccable, qui semblait presque le narguer.
Suivant le coup de feu, les pleurs de la fillette, que tu avais remarqué quelques minutes plus tôt. Celui qui avait tiré se retourna, et l’assomma proprement. Tu grinçais des dents.
Pourtant, la voix, toujours du même homme, retentit.

« Bordel, aboyait-il, où cette putain de tiare se cache-t-elle ? »


Quoi, quoi ? Quelle tiare ? Il y avait donc quelque chose qu’ils étaient venus chercher spécifiquement ?
L’un des autres hommes vint près de lui et tenta de le calmer.

« Eh, ça va, pas besoin de gueuler. On va l’avoir, cette tiare. On n’est pas venus ici pour rien. »
« Oui, m’enfin c’est quand même grave ! Pas de trace de ce bijoux destiné à l’Impératrice, alors qu’on sait que personne n’est venu le chercher ! Tu es bien au courant que ça, ça nous rendra bien plus riches que tu ne l’imagines, n’est-ce pas ? »

Ces hommes ne semblaient pas très prudents, à dévoiler toutes ces informations, là où les otages pouvaient l’entendre. Mais, toi, ça t’intéressait. Et particulièrement si l’homme était instable, et semblait préoccupé.
Tu t’adressas à la fille.

« Faut agir. Maintenant, pendant qu’ils sont en train de se friter, c’est notre meilleure chance. »

Bon, sans doute votre meilleure chance de vous faire abattre si vous loupiez votre coup également, mais il fallait tenter le coup. Le seul truc, c’est qu’une biche qui se déplaçait n’était pas très discret. Alors, par ordre mental, tu lui signifias discrètement que tu agissais, et qu’elle devait faire comme si elle était la familière d’un autre otage. Tu reviendrais la prendre en temps voulu.



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MessageSujet: Re: Braquage au septième ciel   Braquage au septième ciel Icon_minitimeMar 13 Jan 2015 - 17:26

« Oui, m’enfin c’est quand même grave ! Pas de trace de ce bijou destiné à l’Impératrice, alors qu’on sait que personne n’est venu le chercher ! Tu es bien au courant que ça, ça nous rendra bien plus riches que tu ne l’imagines, n’est-ce pas ? »


Oh ! (Je blêmis.) C’est donc pour la tiare qu’ils sont venus ? Et comment peuvent-ils savoir que personne ne l’avait encore emmenée ? Quoi qu’il en soit, j’ai bien fait de me dépêcher. Je me demande combien de temps ils vont tirer sur ce coffre avant qu’il soit vide… Mais ça me plait vraiment qu’ils se concentrent sur lui et pas sur les otages. 
La jeune femme, qui me semble très intelligente (peut-être qu’elle ne sera pas un poids finalement), est de mon avis, car elle me murmure :


« Faut agir. Maintenant, pendant qu’ils sont en train de se friter, c’est notre meilleure chance. »


Après quoi, elle jette un rapide coup d’œil à la magnifique biche qui la suit, et j’en conclus que c’est sa familière et qu’elle lui transmet un message. Heureusement, j’ai laissé Vinda au palais, comme je le fais toujours durant mes missions, bien que je ne pensais pas que celle-ci deviendrait aussi dangereuse. À présent, les braqueurs sont carrément en train de donner des coups de pieds dans le coffre blindé. Je juge le moment très propice, et souffle « Maintenant ! » à ma voisine. 


En une seconde, je suis sur mes pieds. Je me rebaisse aussitôt : la petite fille qui s’est fait assommer  tout à l’heure (mais pas très bien apparemment) est en train de courir vers la porte. Lorsqu’elle l’atteint et essaie de l’ouvrir, sans succès, la bulle de silence stupéfiée qui s’est créée, tant parmi les otages que parmi les braqueurs se brise. Le cri de la mère, déchire d’abord l’espace « LUCIE !!!!! Non !!! » Ensuite viennent les cris d’un braqueur, qui, sans incanter, lui jette un sort. Elle s’écroule sur le sol comme une poupée de chiffon, tandis que sa mère éclate en sanglot. Est-elle morte ? Ouf ! On dirait que non. Mais elle a couru un brave danger. 
Je déporte mon attention vers l’homme qui l’a assommée. Seuls les sangraves, et quelques sortceliers très puissants ont le don d’ensorceler sans incanter… Il va falloir que je me méfie…


En attendant, ça m’a permis de savoir deux choses :


1)      La porte est verrouillée et donc probablement sous anti-sorts. Et je n’ai pas mes épingles pour l’ouvrir.
2)      La première conclusion n’a presque plus d’importance, puisque les braqueurs sont maintenant très concentrés sur le fait qu’il faut garder cette porte. Ce qui veut dire qu’essayer de la passer vivante et à deux, sans camouflage, relève presque de l’impossible à présent.
Je souffle à la jeune femme :



« Heu… Vous êtes sure qu’il n’y a pas d’autre sortie ? Parce-que sinon, il va falloir attendre que leur attention se relâche, et il faudrait aussi une épingle pour crocheter la serrure. » Me souvenant de la tiare qu’il y a dans mon sac, j’ajoute : « Et, à vrai dire, au plus tôt je m’éloignerai de cet endroit, au mieux ce sera. » 
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Braquage au septième ciel
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