poèmes soyez indulgent ^^

1


C'est-tu ce que je ressens
Quand je te vois tout simplement
Quand mon coeur bat
Et que tu pars au loin tout là-bas
Que je rougie
En croyant que tu me regardes et que tu me souris
Même si au fond
Je sais que je n'existe pas pour toi et que je tourne en rond
Sais-tu que je frémis quand tu me frôles
Qu'il suffit que j'écoute ta voix et tes paroles
Quand tu est en train de parler
Pour me mettre à rêver
Sais-tu que ma vue se trouble d'un seul coup
Et que mes larmes roulent sur mes joues
En me disant
Que tu m'aimera jamais sûrement
Et quand tu essayes de me parler
Et que je comprend rien tellement je suis troubler
Mais je sais que tu ne vois pas ça
Car dans ton coeur je n'existe pas .

2

L'eau miroitait,
Et elle, elle attendait,
Assise contre un arbre,
Ses larmes coulaient, elle ne put rester de marbre.
Son amour
Lui avait dit de l'attendre, pour qu'il court
Se jeter dans ses bras en riant.
Le rire était absent, mais elle, elle était au rendez vous en espérant.
Comme elle avait peur,
Que l'annonce de sa mort ne soit pas une erreur,
Et qu'au rendez vous il ne vienne pas,
Elle attendit jusqu'au soir,
Mais personne ne vînt là.
Depuis ce jour,
Elle attend son amour
Tous les jours,
Au rendez vous...

3

Je t'ai fait confiance
Tu as eu ta chance
Je t'aimais
Et tu me mentais
J'aurais été j'usqu'au bout du monde pour toi
Et pourtant c'est elle que tu as choisie , pourquoi?

Tu m'as dis que tu m'aimais
Tu as dis que tu le pensais

Mais c'est elle que tu as choisie
Et maintenant tu vient me voir et tu me dis
De te pardonner
Pour m'avoir blesse
Et de tout recommencer
De tout oublier

Je t'ai dis que je t'aimais
Je t'ai dis que je le pensais

Mais oublis
Car tout ça c'est fini

4

Le poignard dans ses mains était froid
Mais son coeur était remplit d'un poids
A ses pieds gisait son bien aime
Devant elle assassiné
Sa décision était dure
Mais la disparition de l'être aimée était pire
Elle le regarda
Et se dit bientôt je serais dans tes bras
Pour l'éternité
Et on pourra s'aimer
Elle prit le poignard et l'enfonça dans son coeur
Et dans son dernier souffle elle dit, si tu n'est plus c'est que mon heure est venue et je te rejoindrais sur l'heure


5

On rie avec le temps
On pleure sur le moment

On pleure car on ne voit que ça
On rie car on se souvient la

On pleure de tristesse
On rie de gentillesse

On pleure de la mort d'un proche
On rit du passe avec lui bien que se ne soit pas proche

Et même si on pleure le rire reviendras
Et même si on rie les pleure ne s'oublie pas

6

Je marchait sous la pluie
Dont les gouttes se confondaient avec mes larmes en pensant à lui.
Il était partie en guerre
Et moi en l'attendant, je erre.
Ce fardeau sur le coeur
De toute cette tristesse, m'écoeure.
J'ai peur,
Peur de ne jamais revoir dans son regard cette lueur,
Peur de ne plus jamais revoir son sourire si familier.
Tu m'avais promis de revenir pour m'aimer.
Mais si la mort te prend,
Elle ne te laisseras pas choisir de ton temps!

Quand soudain je regarde devant moi,
Tu es là juste en face de moi.
Tu me souris
Je te souris
Tu cours vers moi et me prends dans tes bras.
Tu est enfin là!
A mon oreille ,tu susurre
Tu murmure.
Des mots dous ,des mots purs.
Mais surtout des: Je t'aime mon amour.



7




Il cherche une cavalière pour danser
Cet elfe de ces yeux si envoûtant mon coeur n'a pu résister
Je l'aime , mais mes mains tremblent
Il arrive vers moi pour m'inviter il me semble
Il me tend sa main
Je lui donne la mienne même en sachant qu'il sentiras trembler ma main
On danse doucement de nos pas incertain, puis
Prise d'une vague de courage je me sers contre lui
En posant ma joue contre la sienne
Délicatement il la retire de la mienne
Pour y poser un baiser
Avant de s'y reposer
Il retire ses mains des miennes
Pour m'enlacer de ces bras , pour qu'il me tienne
J'en fait tout autant
Chacun pour sentir l'autre serrer contre son coeur en l'aiment.
Puis il me dit
Comme pour s'assurer que j'avais bien compris ses sentiments qui nous lient

-Je suis désoler
De ne pas avoir su t'avouer,
Mes sentiments,
De t'aimer tout autant.
Alors que toi depuis des années,
Tu as eu le courage de m'aimer.
Malgré mon indifférence
Qui me laisse dans la bouche se goût rance.

Je souri
Et lui répondit.

-Tu n'as pas a t'excuser,
Pour ça tu n'as pas a être désoler.
Malgré le temps tes sentiments sont apparus
Et mon sourire est revenu.
Je t'aime de tout mon coeur
Au point dans oublier mes peurs...
J'ai eu le malheur de t'aimer
Mais j'ai le bonheur de savoir mes sentiments partager.

En entendent ces mots
Il fut soulager de son fardeau
Que je lui en veulent était sa crainte
Mais soulager il resserras son étreinte.
Serrer contre son coeur,
En étant rempli de bonheur
Je me desserre légèrement
Pour le regarder dans les yeux en me noyant
Dans ces yeux de cristal si éblouissant.
Il me souri d'un sourire éclatant
Il penche vers moi son visage ou la beauté de ses traits règnent
Et pose délicatement ses lèvres sur les miennes.
Je me serre contre lui ne pouvant plus me passer
De son étreinte de ses baisers.
Sous chacun des ses baiser je frémis
Et il rit
De bonheur
De me voir dans ses bras contre son corps.
On s'aime et on a plus peur de s'aimer ; de notre amour
Car il dureras toujours.



8

Il c'est entouré d'une prison de glace
Et les sentiments dans son coeur n'ont plus de place
Depuis que son âme soeur la quitter
Il s'en veut d'avoir tant aimé.
La jeune fille c'est éteinte dans ses bras plus jamais elle va se réveiller
Son âme soeur par la mort lui avait été arraché
Son coeur de cette injustice jamais
Ne guérirai.
Il reste dans le noir total.
Et en fermant les yeux il voit sa bien aimée le visage pale.
Ce visage qui lui manque tellement
Jamais il ne le reverra pourtant.
Depuis ça mort
Une partie de lui est morte et l'autre dort.
Ces jours de rire
Et les sourire
Pour lui étaient
Fini et il le savait.
De la vie il n'attendait plus rien
A par que la mort vienne le chercher vite et bien.
Il voulait quitter le monde
Mais la promesse faite a ça dulciner, de ne pas quitter ce monde immonde.
L'en empêchait
Et ces paroles, cette promesse il regrettait
Si il ne pouvait partir
Et si il ne pouvait sourire.
Il attendait avec cette peine que la mort vienne.



9

Cette chaleur
Qui nous prends au niveau du coeur
Ces battements sourd
Tellement bruyant et lourd.
Que nos joues rougeoies
Pas de honte pour une fois.
Et pour cette raison
Des mots de nos lèvres veulent sortir au loin
Pas n'importe les quels
Mais tellement faible
Par rapport
A ce qu'on ressent de si fort.
On voudrait les crier
Les hurler
Ces mots
Les murmurer tout haut
A l'être aimé
Mais le courage effleuré
S'enfuit
A chaque fois qu'on le prend a deux mains il fuit
Alors comment lui dire?
Je n'en sais rien a vrai dire.
Alors on attends tout seul dans le froid
Dans le noir.
Que l'autre est ce courage de parler
De dire ce que nous n'avons pu dire qu'en penser.