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Chroniques d'AutreMonde :: Planètes/Lunes :: TerrePartagez
 

 don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE

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Haru Earstay


Haru Earstay

Age du personnage : 17 ans

Familier : Wint. . .
Couleur de magie : Rouge bordeaux terne
Niveau de magie :
  • Plutôt élevé
Niveau de combat :
  • Moyen


Métier : Âme érrante.
Résidence : Enfermé dans un hotel parisiens.
Dans le sac : Tiens, j'ai perdu mes sucette ;_; Des chose qui font voir des trucs bizarre, une demi-douzaine de bouteille, une boule de cristal, un couteau, des allumettes, des clopes, un briquet, de la monnaie terrienne, mais plus un crédit-mut, une photo de Lice cachée dans mon portefeuille.

Affinités : avatar (c) lollipops

lice - love you
autumn - miss you
cally - care for you
albane - protect you
candice - fuck you
drugs, smoke, alcohol - addicted to you

MessageSujet: don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE   don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE Icon_minitimeLun 29 Avr 2013 - 2:37


HARU & ALBANE
don't look at me like that, with these fucking white eyes.


Culpabilité.
Doute.
Ah, je crois que de toute ma vie ces mots ont été les plus présent dans mon esprit. Combien de fois me les suis-je répétés ? Combien de fois ont ils assaillies mon esprit déjà trop faible pour l'empoisonner de plus en plus ? Mon pauvre esprit déjà malade, dans ce corps malade lui aussi. Et dont la seule maladie est une pensée, une idée qui a germé, comme le lierre s'enroule autour d'un tronc pour venir le tuer. Cette petite idée, futile au départ, insupportable à la toute fin. Cette simple idée qui revient et reviens sans cesse me titiller. Culpabilité.

Et puis il y a ce manque. Cette présence manquante dont je suis dépendant. Cette présence que je ne remarquait pas auparavant et pour qui je donnerais tout à présent. Et ce sont tout ses facteurs mathématiques qui m’empoisonnent. Il m'enserrent comme un étau, dans le seul et unique but de me faire craquer, de m'écraser, de détruire mon être. Tels la maladie qui s'obstine à détruire son porteur sans aucune autre logique. Les sentiments humains sont une maladie. Parfois, je regrette de ne pas être totalement vampyr, en fait. Cette part humaine n'est qu'une gène, elle nourrit le lierre qui étouffe. J'étouffe. L'air que je respire est vide de votre odeur. Mes deux trésors. Vous êtes si loin et pourtant présent dans mon cœur. Et vous aussi accélérez le processus. Rien qu'en pensant a vous ma douleur se fait plus forte.

23h30, Sheffield, Anglettere.
Je continue mon errance  sur Terre, tentant de calmer mon agonie. Les paysages défilent de semaine en semaine, par la vitre des trains que j'emprunte tour à tour. Après la France voilà l'Angleterre. Je erre comme un fantôme dont l’âme ne peut partir en paix. Je erre comme un chien abandonné par la vie à la recherche de quelque choses, ou de quelqu'un ayant le pouvoir de changer ses jours aussi noirs que ses nuits. De curer sa maladie. Aérien, je saute de la marche du train, et atterrit sur le quai sans le moindre bruit. Je n'ai pas de bagage, comme si mon fardeau n'était pas déjà assez lourd à porter.  Les gens me bousculent, me pressent, et m'emportent vers la sortie comme une rivière se précipitant vers sa chute. Je les suis, de touts manières, je ne sais pas vraiment où allez je me laisse porter par le fleuve du hasard. Je ne peut pas tomber plus bas de toute manière. Les bruits me semblent loin, je suis trop occupé à me torturer l’esprit à cause de ces foutues idées. Culpabilité.

Une fois sorti de la gare, je quitte la foule, m'éloigne du troupeau. Je n'ai plus peur du loup. Je m'aventure dans ses rues dont je ne connais pas le nom, je me perd moi même. Je laisse mes pas me guider, les paupières mi-closes.

« Voyez-vous ça, un gamin !»


Les paupières se soulèvent un peu. Ah, mais oui bien sur. Quand on a 16ans d'apparence et que l'on traîne dans la rue à 23h, il y a 9 chance sur 10 qu'on se fasse interpeller de la sorte. Les humains sont si faibles, et pourtant ils vous prennent de haut. Je n'ai pas besoin de lever la tête pour imaginer la tête de ses deux là. Sûrement une pitoyable tête tout comme leur pitoyables existences. Et dire qu'il me suffirait de ne déployer seulement un dixième de ma magie pour réduire ces existences à néant. Ils se placent devant moi, me bloquant le passage. Je ne lève pas les yeux, et m’arrête devant eux, docile. Qu'est ce que ça fait, d'effacer une existence ? Je n'ai jamais tué auparavant. Je suis pourtant un vampyr, une incarnation de cruauté, de bestialité. Ma bouche s’entrouvre légèrement, laissant deviner mes deux longues canines. Mais ils ne les voient pas. Ils sont aveuglés par l'idée de leurs invincibilités. Peut être ont ils un flingue ou un couteau c'est vrai. Mais je ne crains plus la douleur. Eux la craignent.

Une gifle part, épouse ma joue, claque ma mâchoire. Le goût métallique du sang commence à envahir ma bouche. Mais je suis le loup ce soir. Plusieurs idées nouvelles viennent germer dans mon esprit, des idées que je n'avais jamais effleurées auparavant. Des idées un peu folles, un peu audacieuse, qui me souffle de me laisser aller a ma bestialité.

« Allez mon petit, on veut pas te faire plus de mal, file nous ta thune et ton phone, et on te laisse partir »


Un sourire vient étirer mes lèvres. Je n'ai jamais été quelqu'un de raisonnable, et a vrai dire, l'idée de planter mes crocs dans la gorge de ses idiot m'amusait bien. Rien que pour détruire leurs utopies. Rien que pour voir la peur et l'horreur qui s'afficherait sur leurs visages. Pourtant je refluait ces envies au fond de moi. J'avais encore des personnes a revoir, et je tenait à garder ma part d'humanité jusqu’à leurs prochaines rencontres.

« Moi non plus je ne vous veux aucun mal, le loup n'a pas vraiment faim ce soir. »

J'ignore si ces mots les avait toucher, car à mon grand désespoir je ne pouvait toujours pas voir l'expression qu'affichait leurs visages. Pourtant, leur prochaine réponse se fit plus hésitante.

« Qu'est ce que tu nous fais, mec ? On t'a pas demander ton avis ! Alors sort nous ça vite fait ! »


Un cliquetis, un éclat. Dans la main du premiers, étincelle une lame. Voilà qui suffit pour m'informer de leurs ressentit. Peur. Ce n'était nullement une menace comme ils auraient voulu le faire paraître. C'était de la peur. Je pouvais le sentir, ça empestait d'ailleurs. Je redresse enfin la tête, leur fait face, et d'une voix claire et simple ordonne :

« Laissez moi passer »


Et quand mes yeux se plongent dans les leurs, je voit la terreur les envahir. Aurait ils enfin comprit ? Comprit que je ne suis pas comme eux? Comprit que je les dépasse de loin ? Nul ne peut résister au charme d'un vampr. ET surtout pas d'eux petit Nonso. Dés lors qu'ils avait croisé mon regard ils avaient été rendu esclaves de ma volonté, assouvis par cet éclat dans mes iris empourprés qui les informait de ma capacité à les tuer si l'envie m'en prenait. Comme hypnotisés, il se reculèrent pour me laisser le passage, sans quitter des yeux la dangereuse beauté qui leur passait devant. Je sentis leur regard peser sur mes épaules jusqu’à ce que je bifurque au bout de la rue. J'eus un soupir inaudible, las. L’esprit humain était tellement faible. Si facile a manipuler. Un soupir, une caresse, et ils tombaient sous votre charme. Je suis faible.

Je continuais à déambuler dans la ville désertes. Seul le bruit de mes pas troublaient le silence. Dans cette nuit silencieuse, moi je marchais. Cette marche monotone apaisait mon être affolé par le manque, le manque de nicotine, le manque de Lice, le manque de Wint. J'étais dépendant. Tous étaient mon addiction. Les ténèbres m'enveloppent, comme un épais manteau.  Un voile passe devant mes yeux. Je cligne des paupières. Nouveau soupir. Mes membres deviennent lourds, mes yeux me piquent. Pas besoin de plus. Je m’arrête, m'adosse à un mur. Ma main tremblante passe sur mon visage, tandis que je me laisse glisser contre la paroi. Machinalement, je sors une cigarette, dont le bout vint en quelque secondes à s'embraser, petite étincelle rougeoyante, qui lutte contre l'obscurité. J'aspire la fumée avec soulagement. Mes nerfs se détendent soudain sous l'effet de la nicotine. Je sens mes paupières se cloîtrent peu a peu. Une nouvelle bouffé achève ma descente au royaume du sommeil, et je m'abandonne déjà au bras de Morphée.

La chaleur du soleil caresse ma peau pale, réchauffe mes paupière. J'ouvre le yeux doucement. Déjà le matin, je n'ai même pas l'impression d'avoir dormi. Mon dos me fait un mal de chien, tout mes muscles sont ankylosés par le sommeil. J'étire mes muscles uns par uns et me redresse peu à peu, ignorant la douleur. Soudain, un cri survint, cri qui me fit bondir d'au moins 5 bons centimètres. Le cri d'une fillette. Ç’aurait été un vioc, ou n'importe qui d'autre, ça ne m'aurait pas affolé. Mais une fillette. . . Me remettant difficilement sur pied, je vacille quelques seconde, effet secondaire du fait de mon trop rapide réveil, et me met a la recherche de l'auteur de la plainte. Je ne tardai pas à le trouver, la trouver. Un petit ange. Un adorable petit ange, tout droit descendu du ciel, ciel que j’étais pourtant sur d'avoir quitter, mais qui me poursuit furieusement on dirait. Ses cheveux blonds pales encadraient son visage angélique, obstrué par de longues mèche platinés. Sa peau était aussi pâle que ses cheveux, claire, presque translucide. Elle paniquait, ses fins bras battaient de l'air, ses main cherchaient quelques choses attraper. Et ses yeux, ses yeux était d'un bleu si clair qu'il semblaient êtres de cristal. A l'entente de mes pas, ceux-ci se tournèrent vers moi. Et quand son regard glacial se posa sur moi, un frisson me parcouru. Ses yeux si clairs ne me voyait pas. Je pouvais le sentir. Pourtant. . . j'avais l'impression qu'elle pouvait atteindre le plus profond de mon être, comme si elle voyait mes plus profonds secrets.  Mon premier réflexe fut de faire quelques pas en arrière, pudiquement. Mais déjà ses yeux me quittait. Désormais hors de danger, je m'approcha d'elle et saisit l'une de ses mains histoire de lui signaler ma présence.

« Calme toi petite, calme toi. . . Je ne sais pas ce qu'il t'arrive mais il n'y a sûrement pas de quoi paniquer de la sorte »fit je d'une voix douce.


FICHE ET CODES PAR RIVENDELL
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Jar'tylanhnem Duncan


Jar'tylanhnem Duncan

Age du personnage : 19 ans

Familier : inexistant
Couleur de magie : Violette
Niveau de magie :
  • Très élevé
Niveau de combat :
  • Plutôt élevé


Métier : Empereur d'Omois.
Résidence : La suite la plus luxueuse du palais de Tingapour
Dans le sac : secret d'État. (de la paperasse, deux ou trois livres, des boules de cristal, des vêtements de rechange, des potions de soin et du poison, un taludi, un DRAC)

Affinités : Mara : sœur jumelle. On se croyait inséparables, jusqu'à ce qu'on prenne des chemins différents, trop peut-être. Malgré tout, on sera toujours là pour veiller l'un sur l'autre.

Tara : sœur ainée & ex-héritière du trône. Meurtre raté. Et pourtant tu t'es acharnée à essayer de me faire confiance. Je suppose que je te suis redevable maintenant. Fait chier.

Magister : "père" décédé. Vous m'avez tout appris. Jusqu'à ce que vous me laissiez tomber. Dommage pour vous.

Selena : "mère" dont j'avais oublié l'existence. Le temps ne se rattrape pas, alors qu'est-ce que ça peut bien faire si l'Amemorus a été levé ?

Amber : tu me crois si je te dis que je suis désolé ? Pour une fois, c'est sincère. Merci pour ton silence et tes confidences.

toi ? (MP si t'as envie d'un lien)

MessageSujet: Re: don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE   don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE Icon_minitimeJeu 2 Mai 2013 - 2:09

-Maman, je vais promener Zazar !

Albane entendit une porte s'ouvrir et des talons claquer sur le carrelage du hall de la villa O'Nyme. Elle reconnut la voix de sa mère.

-Attends, ma chérie, je vais t'aider.

Elle écouta sa mère s'affaire et devina qu'elle attachait le harnais de Balthazar, son chien-guide. Elle l'aida aussi à enfiler son manteau. Elle protesta qu'il ne faisait pas si froid, mais Mrs. O'Nyme était catégorique. La fillette souffla, contrariée. Sa mère lui fit une bise sur la joue avant d'ouvrir la grande porte d'entrée.

-Tu fais bien attention, d'accord ?
-Oui, Maman...


Albane sortit enfin de la maison, agrippée à la poignée du harnais de son chien. L'air frais lui balaya la figure, chassant les mèches qui la chatouillait. Qu'elle était contente d'avoir son Zazar chéri ! Depuis qu'il était là, elle était libre de se promener où elle le voulait, quand elle le voulait. Seule. Bon, elle ne pouvait pas dépasser le parc au bout de la rue - ses parents ne voulaient pas, et le chien n'était de toute façon pas entrainé à la mener plus loin -, mais pour elle, c'était déjà énorme qu'on lui permette cette autonomie. Elle se laissa mener par le golden retriever, traversant l'allée jusqu'au portail, où celui-ci hésita. Albane n'avait aucune destination précise en tête. Elle décida qu'aller au parc et revenir serait déjà une belle ballade. Elle incita donc Zazar à tourner à gauche et tous deux se mirent tranquillement en route, profitant du beau temps et de la promenade.

En vérité, Albane espérait trouver Liam, le loup-garou d'Autremonde qui servait de messager à son père et elle. Elle attendait avec impatience chacune de ses lettres. Elle veillait donc à sortir Balthazar matin et soir. La dernière fois qu'elle avait vu Liam, c'était la veille au soir, quand elle lui avait confié sa dernière réponse. Elle n'avait plus qu'à attendre la prochaine lettre de son père. Il lui manquait tellement... Elle espérait que sa mère n'avait pas remarqué son soudain empressement chaque fois qu'elle sortait se promener. Le système était simple : quand elle voulait envoyer du courrier, elle prétendait sortir le chien - le meilleur moyen qu'elle avait trouvé pour quitter la villa régulièrement sans être accompagnée. Après tout, c'était bien ce qu'elle faisait. Puis, quand elle était suffisamment loin, elle sortait le sifflet à ultrasons que son père lui avait confié à travers Liam. Le loup-garou l'entendait grâce à son ouïe plus développée que celle des humains, qui ne percevaient rien. Elle trouvait décidément son père très malin. Elle pouvait ensuite lui confier la lettre. Elle aimait bien son odeur de rouille, de nature et de savon. Et surtout, elle était très excitée à l'idée qu'il venait d'Autremonde.

Autremonde, la planète magique ! Autremonde, où vivaient elfes, vampires, sirènes, licornes ! Autremonde, la nouvelle maison de son père ! Autremonde, où tout le monde pratique la magie ! Ohh, elle en frémissait rien que d'y penser ! Une idée lui traversa soudain l'esprit. Une idée trop folle, trop ambitieuse... Et pourtant...

Et si la magie était capable de lui faire don de la vue ? Cette pensée la troublait autant qu'elle l'émerveillait. Elle s’accommodait de sa cécité parce qu'il le fallait bien et parce qu'elle n'avait jamais rien connu d'autre, mais... Quelque part au fond, elle souffrait de ne pas être une petite fille comme les autres. De ne pas savoir ce qu'était le rouge, le bleu, le jaune. De ne pas connaitre le ciel, le soleil. Ces idées sonnaient comme des mots d'une langue inconnue. Elle savait ce que c'était, du moins on avait essayé de lui expliquer, mais c'était difficile de se représenter "le plafond bleu au-dessus de nos têtes qui est là quand on est dehors mais pas dedans avec une grosse boule jaune en feu tout en haut".

Elle sortit tout-à-coup de sa rêverie, amère. Puis elle se consola en se disant que peut-être, un jour, sur Autremonde... Son père avait promis de l'amener là-bas. Et il tenait toujours ses promesses. N'était-elle pas sa princesse, son ange, son trésor ?

Mais pas la moindre trace de Liam aujourd'hui. Albane ne put retenir un soupir déçu en arrivant près du parc. Il ne viendrait pas, elle en était certaine. Elle n'avait plus qu'à rentrer à la maison. Elle décida tout de même de prendre la peine de traverser la rue pour rejoindre le parc. Elle avait envie d'entendre les oiseaux. Elle trouva facilement le passage clouté - merveilleuse invention qu'étaient les clous - et s'y engagea, guidée par Balthazar.

Elle entendit la voiture débouler. Son premier réflexe fut de reculer, mais la poignée du harnais lui échappa des mains. Crissement de pneus ; freinage en catastrophe. Mais elle n'avait rien. Aboiements. La voiture redémarra : elle entendit le bruit du moteur. Elle se mit à paniquer. Elle avait lâché Zazar ! Elle battit des mains, cria, pleura. La rue devait être déserte car elle n'entendit personne. Non ! Ce n'était pas possible ! Balthazar allait revenir, il ne pouvait pas l'avoir abandonné ! Si elle était toute seule, elle était perdue ! Elle ne pourrait jamais retourner à la maison !

Non, non, non... QUE QUELQU'UN LUI VIENNE EN AIDE !

Soudain, quelqu'un lui saisit une main. Elle sursauta et cessa de sangloter aussitôt. Affolée, elle n'avait pas entendu la personne s'approcher d'elle... Était-ce un ange gardien qui avait répondu à son appel ?

-Calme toi petite, calme toi. . . Je ne sais pas ce qu'il t'arrive mais il n'y a sûrement pas de quoi paniquer de la sorte.

La voix était grave. Un homme. Plus vieux qu'elle, mais sûrement plus jeune que son père. Mais elle était surtout très douce. Elle calma Albane, qui s'appliqua à ralentir sa respiration affolée par l'angoisse.

Elle bafouilla :

-Je... je... c'est mon chien... j-je l'ai perdu ! Je suis toute seule !

Elle faillit éclater en sanglots de nouveau mais se retint pour faire plaisir à son ange gardien. Elle se rendit compte qu'elle avait oublié de le remercier d'être venu à son secours. Elle dit d'une voix plus assurée :

-Merci, monsieur.
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Haru Earstay


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Résidence : Enfermé dans un hotel parisiens.
Dans le sac : Tiens, j'ai perdu mes sucette ;_; Des chose qui font voir des trucs bizarre, une demi-douzaine de bouteille, une boule de cristal, un couteau, des allumettes, des clopes, un briquet, de la monnaie terrienne, mais plus un crédit-mut, une photo de Lice cachée dans mon portefeuille.

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MessageSujet: Re: don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE   don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE Icon_minitimeMer 21 Mai 2014 - 23:47


HARU & ALBANE
don't look at me like that, with these fucking white eyes.


C'était bien le genre de situation où je me retrouvais complètement désemparé. Les gosses, ça jamais été mon truc. Ça fait des caprices, ça comprend rien. Comment je deal avec des petites créatures à grand n'yeux moi, alors que j'arrive même pas a m'occuper de moi même. Pourtant je sais pas. Je dois être un éternel altruiste, mais malgré l'agacement que j'aurais pu ressentir, j'étais à ce moment même submergés pas un sentiment étrange, pas de la pitié non, plutôt de la compassion, je ne suis pas sur a vrai dire, il faut dire que je suis pas le genre de personne à vouloir mettre des noms sur des choses aussi abstraites que des émotions. Disons que je voulais seulement aider, sécher ces larmes et rallumer son sourire, sans vraiment chercher le pourquoi du comment.

Je souris instinctivement, et me mis une claque mentale en me rappelant qu'elle ne pouvait le voir. Et puis merde, si ça se trouve elle sentait les aura positives ou quelque chose comme ça? J'avais entendu ma mère parler d'un truc du style un soir, pendant le dîner. Pas que j'écoute ma mère mais bon. Si je l'avais écouté j'en aurais surement conclus qu'il s'agissait d'une vaste arnaque.

« M'appelle pas monsieur, j'suis pas si vieux tu sais. Mon nom, c'est Haru.»Je ré-arrangeai d'une main maladroite une mèche de cheveux qui était venue strier son regard, peinant a m'habituer a ces iris de nacres qui furetaient partout sans pouvoir s’arrêter sur son visage. Je serrai sa petite main plus fort dans la mienne, pour la rassurer encore une fois de ma présence, lui montrer qu'elle n'était pas seule dans ce monde trop grand pour elle qu'elle ne pouvait même pas voir. Je plaçais ma main libre en visière au dessus de mes yeux, et commençai a chercher du regard l'animal qui avait laissé en plan la pauvre demoiselle. « Quelle sale bête! Si je le retrouve je te le ramènerais par la peau des fesses!» plaisantai-je dans l'espoir de faire rire la petite fille, mais aussi quelque peu angoissé qu'elle ne le prenne au premier degrés, et me considère comme un dangereux psychopathe. Mais après tout, n'étais ce pas ce que j'étais? Si elle savait qu'il y a encore quelques semaines, je me dopais à l’héro, serait elle encore là à me tenir la main.

Je me sentis soudain honteux. J'eu envie de rentrer la tête dans mes épaules, a la manière d'une tortue, mais bien entendu, je n'en fis rien. Je m’efforçais de penser que je n'étais pas un mauvais gars, que cette période était une mauvaise passe, voilà tout, et que le Haru qui donne la main aux enfants était le véritable Haru. Non pas cette carcasse terne qui gisait dans un hôtel jour et nuit entourés des cadavres de sa consommation.

Pris d'une soudaine confiance en moi, je la pris dans mes bras et la posa sur mes épaules, grimaçant quand elle tira trop fort sur une des mèches folles qui couvraient mon crane.   « Bon alors, où il est passé, ce chien? » lui demandai-je.   

FICHE ET CODES PAR RIVENDELL

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Jar'tylanhnem Duncan


Jar'tylanhnem Duncan

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Affinités : Mara : sœur jumelle. On se croyait inséparables, jusqu'à ce qu'on prenne des chemins différents, trop peut-être. Malgré tout, on sera toujours là pour veiller l'un sur l'autre.

Tara : sœur ainée & ex-héritière du trône. Meurtre raté. Et pourtant tu t'es acharnée à essayer de me faire confiance. Je suppose que je te suis redevable maintenant. Fait chier.

Magister : "père" décédé. Vous m'avez tout appris. Jusqu'à ce que vous me laissiez tomber. Dommage pour vous.

Selena : "mère" dont j'avais oublié l'existence. Le temps ne se rattrape pas, alors qu'est-ce que ça peut bien faire si l'Amemorus a été levé ?

Amber : tu me crois si je te dis que je suis désolé ? Pour une fois, c'est sincère. Merci pour ton silence et tes confidences.

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MessageSujet: Re: don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE   don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE Icon_minitimeDim 15 Juin 2014 - 1:23

(:

La petite fille s'applique à retrouver une respiration régulière. Elle sait que paniquer est la dernière chose à faire lorsqu'on est perdu. Et puis, elle n'est pas seule. Il y a cette présence à côté d'elle, avec cette voix douce et grave pour la rassurer. Le garçon est grand, très grand. Il lui tient la main gentiment. Elle la serre comme s'il s'agissait d'une bouée de secours. Elle n'est pas prête de la lâcher. On lui a souvent répété de ne pas faire confiance aux inconnus dans la rue, mais elle était bien obligée si elle était perdue, non ?

« M'appelle pas monsieur, j'suis pas si vieux tu sais. Mon nom, c'est Haru. »

Albane a toujours ignoré à partir de quel âge on devait appeler un adulte monsieur ou madame, ni même l'âge du garçon. Elle n'est pas forte pour évaluer les âges, surtout qu'elle n'a que la voix pour s'aider. Elle dit oui timidement, en se répétant le nom dans sa tête pour s'en souvenir. Elle ne l'a jamais entendu. Est-ce qu'Haru est étranger ? C'est vrai qu'il a un accent, mais elle ne saurait pas dire d'où. Ni french ni british, en tout cas.

« Quelle sale bête! Si je le retrouve je te le ramènerais par la peau des fesses ! »

À ces mots, la fillette prend peur. Elle ne comprend pas qu'Haru essaie de la faire rire. Elle a plutôt envie de pleurer parce qu'elle pense à Archibald, son ancien chien qui n'est jamais revenu du vétérinaire après qu'il ait mordu sa petite soeur. Mais c'était pas sa faute, à Archie. Ayla avait sûrement été méchante ce jour-là, comme d'habitude. Albane n'a pas envie qu'il arrive la même chose à Balthazar. Elle s'écria en contenant ses larmes :

« Non ! Zazar fait de mal à personne, il a juste eu très peur. Il mord pas les gens, je te jure. »

Elle ne sait pas trop quoi dire ou faire. Elle est contente d'avoir trouvé un ange gardien, même si elle a toujours très peur. Pas de lui, parce qu'elle sent bien dans le ton gentil de sa voix qu'elle peut lui faire confiance. Plutôt peur de perdre son Zazar. Il a très bien pu se faire écraser, ça expliquerait pourquoi il ne revient pas. Ou bien quelqu'un l'a enlevé. Soudain, Albane se sent soulevée du sol, attrapée par deux grands bras qui la déposent sur de fortes épaules. Elle laisse échapper un « aah ! » plus surpris qu'effrayé. Son papa faisait pareil quand elle était petite. Son papa est très fort, même si maintenant qu'elle est trop grande et trop lourde pour lui. Même si ça fait des mois qu'elle ne l'a pas revu. Ils s'écrivent, mais ce n'est pas pareil. Installée tout là-haut sur les épaules d'Haru, Albane a un peu peur, alors elle se crispe de toutes ses forces pour ne pas tomber. Peut-être qu'elle tire un peu trop les cheveux de son nouveau destrier, d'ailleurs. Elle voudrait bien relâcher la pression pour ne pas lui faire mal, mais elle n'y arrive pas. Elle est si haut qu'elle est sûre que si elle avait des yeux qui marchaient, elle verrait les nuages autour d'elle, comme Ayla le lui a dit. Il parait que ce sont comme de gros morceaux de coton accrochés au-dessus de nos têtes. Sauf qu'en fait, c'est de l'eau.

« Bon alors, où il est passé, ce chien ? »

Peut-être qu'il s'est réfugié dans les nuages ? Même en essayant de penser à des choses drôles, Albane n'arrive pas à sourire.

« Je sais pas... Je peux pas voir moi, tu sais. »

Bien entendu qu'il sait. Les gens qui voient savent tout sans qu'on ait besoin de le leur dire. La petite fille trouve sa voix trop triste. Elle aimerait dire quelque chose de drôle pour faire rire Haru et le remercier de s'occuper d'elle. Mais elle ne sait pas trop quoi. Alors elle demande d'une voix rêveuse :

« Tu crois aux pouvoirs magiques ? Si on en avait, ce serait moins compliqué... »

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MessageSujet: Re: don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE   don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE Icon_minitimeMar 29 Juil 2014 - 21:10

« ange. »

albane∞haru



what it used to be-Il sentit l'odeur de la peur se degager doucement de l'enfant et il se maudit aussitôt de sa maladresse naturelle. Aaron n'aurait eu aucun mal a la faire rire, lui. Mais c'était bien connu Haru n'avait jamais été le plus doué en communication. Les relations humaines, c'était souvent compliqué, dés que ça s'approfondissait un peu. Et souvent il s’emmêlait les pieds dans ces liens et se retrouvait la tête dans la poussière sans qu'il ne se soit vu tomber. D'un geste rassurant il tapota les petites mains de la gamine, toujours enfouies dans sa crinière. « Tu sais je disais ça pour rire hein. J'aime bien les animaux moi. . . enfin quand il me lèche pas le visage, après ça colle et tout. . . berk. » il finit en bougonnant, se rappelant de cet insupportable clébard que ses parents avait acheté et qui passait son temps a courir partout, la langue sortie et à aboyer comme un idiot. Enfin vous me direz, c'est ce que font les chiens en général. Mais il faut dire que c'est quand même idiot.

Il tenta de se rappeler dans quelle direction se dirigeait les aboiement s'éloignaient quand il était arrivé. Malheureusement, il s'était plus concentré sur la petite que sur son chien. « Tu n'aurais pas entendu dans quelle direction il serait parti? Il ne doit pas être loin mais je ne sais pas du tout dans quelle direction aller. . . Tu veux bien être ma copilote? » Il tenta de trouver un moyen de faire ressembler leur recherche a un quelconque jeu, histoire de calmer un peu la petite, de ne pas la faire s'angoisser pour un petit accident comme ça. Haru était bien déterminé a retrouver ce toutou, alors tout allait bien non?

La question qu'elle posa ensuite le fit discrètement sourire. Oui, c'est vrai, se serait plus simple. . . Pourtant, sur cette Terre, sa magie était relativement faible, et son utilisation formellement interdite. Il avait déjà assez déconné comme ça, et ce serait plus simple pour tout le monde s'il se retrouvait pas avec les flics au cul pour trouble de l'ordre. Et puis de toute façons. . . depuis combien de temps il n'avait pas lancé un sort? Une éternité il lui semblait. Il ne savait même pas s'il en était encore capable. Il faudra bien qu'il s'y remette un jour. Il soupira. Il n'en avait pas la moindre envie. Rien que l'idée de retourner sur Autremonde lui donnait un mal de crane conséquent. C'était plus calme ici bas, plus simple. « Hmm, surement. Mais si ça se trouve, tu en as des pouvoirs mais tu ne le sais pas! » s'exclama-t-il d'une voix enjouée.

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Jar'tylanhnem Duncan


Jar'tylanhnem Duncan

Age du personnage : 19 ans

Familier : inexistant
Couleur de magie : Violette
Niveau de magie :
  • Très élevé
Niveau de combat :
  • Plutôt élevé


Métier : Empereur d'Omois.
Résidence : La suite la plus luxueuse du palais de Tingapour
Dans le sac : secret d'État. (de la paperasse, deux ou trois livres, des boules de cristal, des vêtements de rechange, des potions de soin et du poison, un taludi, un DRAC)

Affinités : Mara : sœur jumelle. On se croyait inséparables, jusqu'à ce qu'on prenne des chemins différents, trop peut-être. Malgré tout, on sera toujours là pour veiller l'un sur l'autre.

Tara : sœur ainée & ex-héritière du trône. Meurtre raté. Et pourtant tu t'es acharnée à essayer de me faire confiance. Je suppose que je te suis redevable maintenant. Fait chier.

Magister : "père" décédé. Vous m'avez tout appris. Jusqu'à ce que vous me laissiez tomber. Dommage pour vous.

Selena : "mère" dont j'avais oublié l'existence. Le temps ne se rattrape pas, alors qu'est-ce que ça peut bien faire si l'Amemorus a été levé ?

Amber : tu me crois si je te dis que je suis désolé ? Pour une fois, c'est sincère. Merci pour ton silence et tes confidences.

toi ? (MP si t'as envie d'un lien)

MessageSujet: Re: don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE   don't look at me like that, with these fucking white eyes - ALBANE Icon_minitimeLun 1 Sep 2014 - 1:37

Copilote ? Ça a l'air plutôt rigolo. Albane aime bien Haru. Il est presque aussi gentil que son papa. Avec lui, ils vont retrouver Zazar, c'est sûr. Peut-être même qu'elle s'est fait un ami. Ce serait bizarre, parce qu'Haru est quand même drôlement plus grand qu'elle, qui est toute petite. Mais la ni la différence de ni la bizarrerie n'ont jamais arrêté Albane, alors ça devrait être possible quand même.

Perchée sur les épaules de son pilote, notre aventurière n'a plus peur. Elle a pris confiance en Haru, même si elle vient tout juste de le rencontrer, même si elle ne le connait pas encore vraiment. Elle a bien compris qu'il était gentil. Il ne ferait pas tout ça, sinon. Et puis même, il dégage quelque chose, un truc qu'elle ne saurait pas vraiment expliquer, mais qu'elle ressent au plus profond d'elle-même. Le sentiment qu'elle peut lui faire confiance.

« Hmm, sûrement. Mais si ça se trouve, tu en as des pouvoirs mais tu ne le sais pas ! »

Albane a un petit sourire triste. Elle connait la vérité sur la magie, et elle sait bien qu'elle n'aura jamais de pouvoirs - tout comme elle n'aura jamais d'yeux qui fonctionnent. Elle sait aussi qu'Haru ne croit sans doute pas à ce qu'il dit. Mais elle prend quand même la peine de répondre.

« Je ne crois pas. Mon papa n'en a pas, et ma maman non plus, alors c'est pas très probable. » (Elle aime bien utiliser des mots d'adulte, juste que pour montrer qu'elle les connait.) « Par contre, mon papa connait des gens qui en ont. Et je te jure que c'est vrai, même si tu le crois pas moi je sais que c'est vrai. »

Elle n'aurait peut-être pas dû dire ça. Son papa a justement eu beaucoup d'ennuis, à partir du moment où il a raconté la vérité sur la magie. Mais bon, Albane n'a que dix ans, et généralement, on pardonne ce genre d'histoires aux enfants de dix ans. Enfin quand même, elle n'aurait peut-être pas du dire ça.

« Ça nous serait bien pratique, parce que moi je sais pas du tout où il est parti, Zazar. Peut-être qu'il est retourné à la maison... »

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