Rencontre musclée (pv mallardor,john )

Mallardor traquait Doubhée. Il la pistait depuis un bon moment maintenant mais il était très près du but. De son but. De toute sa carrière de tueur a gage, qu'il préférait nommer « assassin », c'était une des rares fois, si ce n'est la première, où la poursuivait car IL le voulait. Pas quelqu'un d'autre mais lui même, il le faisait pour son intérêt personnel.

Si il lui en voulait, c'était pour une seule et bonne raison, elle marchait sur ses plates bandes ! Le métier de tueur a gage est difficile et pour un BSH c'était a la fois la nourriture et l'argent, et si on lui volait ses clients il devait à la fois se trouver a manger, et la fois le trouver de l'argent pour vivre. Et tuer était la seule manière efficace et définitive qu'il connaissait. Oui ! Il allait la tuer et boire son sang ! Oui ! Il allait la tuer et lui faire comprendre qui était le patron !

«Allez mon vieux, t'est plus très loin, elle court depuis longtemps et elle doit être fatigué ! Et si elle est fatigué, elle sera plus facile à abattre ! »

C'était la phrase qu'il avait dit a lui même, pour ce motiver. Il savait qu'elle l'avait repérée depuis longtemps, mais la discrétion était toujours de mise. Il y avait deux règle d'or pour Mallardor. La première était qu'il fallait toujours prendre son adversaire par surprise et la deuxième qu'il fallait toujours attaquer au moment propice. Car quand on avait rempli ces deux conditions,la personne concernée pensait très souvent « Bon, je suis totalement désarmé et j'ai une dague qui file vers moi qu'est ce que je vais faire ». Ça c'était quand ils avaient le temps de le dire en entier, mais dans un cas comme ça, les chances de survie sont très, très faibles.

Et il s'approchait, il s'approchait fatalement de sa cible qui, sans que Mallardor le sache, c'était arrêtée. Il avançait de cyprès en cyprès. Doucement mais discrètement. Puis au bout de quelques minute, il vit sa cible. Elle était allongée par terre. Tout doucement, il sortit son arbalète. Il l'utilisait uniquement quand sa cible est trop éloignée pour ses dagues. Il était tapi dans les fourrés. Il visa, ce concentra pour ne pas louper sa cible. Puis, il tira.
Alea jacta est. Le sort en est jeté.

j'avais entendue le claquement de l'arbalète et d'un bond je mettais perchée sur la branche au dessu de moi. Alors j'avais vue juste on m'en voulait mais qui je ne pouvais pas me fier a l'odeur car le vent tournais dans le mauvais sens. Un sourire carnassier apparut sur mon visage et d'un bond je disparue dans les fourrée, l'inconnu qui m'en voulait semblait ne pas vouloir se montrer et moi je ne lui ferais pas le cadeaux de rester sagement sur ma branche d'un bond de chat je sauta d'arbre en arbres et me posta aussi près de la silhouettes que j'aperçut grâce a ma vision d'elfe

-Qui es tu ? J'avais une voix forte et assurée et mon ton étais glacial

Mallardor était grillé. Doubhée avait esquivé son trait. Il l'avait vue partir au dessus de lui dans les branchages. C'était perdu d'avance. Maintenant, elle savait que Mallardor était tout près. Il ne pouvait plus rien tenter. Car si elle réussi a esquiver un carreau d'arbalète alors qu'elle était allongée sur le sol, elle pouvait esquiver n'importe quoi d'autre. Le seul moyen de la tuer était soit le combat, soit un coup bas. Et pour Mallardor, la différence entre un combat et un assassinat était que dans un assassinat, tout dépendait de la victime, soit elle meurt, soit elle survit. Tandis que dans un affrontement, chacun des deux pouvaient mourir.

-Qui es tu?

Doubhée c'était trahi en parlant, maintenant, il savait qu'elle était très près de lui dans les arbres. Il avait de forte chance d'être déjà repéré et si il tentait quelque chose, il serait repéré d'office. Il parla donc d'une voie forte et claire.

-Mon nom est Mallardor

Il n'en disait pas plus que l'on lui avait demandé. Il avait joué la carte de honnêteté. Maintenant, il n'avait rien a perdre. Il n'avait aucune chance de la tuer. Il tenta de parlementer avec elle. Il sortit de ses buissons, fit quelque pas en avant, se tourna vers l'emplacement approximatif de la jeune elfe et prononça ces paroles :

-Mais si tu veux discuter, je t'invite à descendre de ton arbre et à me rejoindre!

Mallardor vit la dague filer vers lui et fit un bond sur le coté. C'était une des rares fois où on lui en voulait. Il eu soudain une idée. Il ramassa le couteau et le mit dans sa poche. Il scruta les arbres. Il commençait a se faire une idée précise d'où elle était et visiblement, elle ne voulait pas venir l'affronter. Peut être par crainte ?

- Alors Mallardor, que me vaut ta visite?

Il avait maintenant une idée précise d'où elle était.

-Si tu tient vraiment a le savoir, descend de ton arbre et vient en discuter.

C'était ça dernière proposition pacifiste. Il se méfiait quand même des intentions de Doubhée, qui aurait pu le tuer quand il était dans le buisson. Peut être ne l'avait elle pas vu ? Mallardor voulait a tout pris éviter le combat qui pourrait lui être fatal. Il plaça donc sa main sur sa dague en argent par prudence.

Mallardor, avait réussi, il avait attiré Doubhée hors de sa cachette ! Mais même si ils discutaient paisiblement, cela ne réglerait en en aucun cas le problème. La seule solution était de tuer l'elfe ou au moins de la blesser sérieusement. Mais comment ? Elle avait les mains sur ces dagues et a la moindre action agressive, le combat commencerait. Soudain, il eu une idée. Une idée géniale ! Il allait utiliser son charme de vampyr. Ce serait un tout pour le tout. Mais les seules fois ou il l'utilisait, c'était pour attirer des personne inconnue pour se rassasier. Enfin, c'était ça ou rien. Mallardor activa son charme de vampyr et se mit a briller d'un aura qui le rendait attirant. De plus, la nuit était presque tombé et la scène ressemblait à un film a l'eau de rose. Au loin on entendait les loups hurler à la mort et les chouettes ululaient. Il fallait a tout pris séduire Doubhée pour la rendre vulnérable et la mordre. Il lui fit donc un sourire, la regarda droit dans les yeux et prononça ces mots d'une voix chaude de manière à les faire durer le plus longtemps possible :

« Doubhée, si je suis venu ici, ce n'est pas pour te tuer, c'est pour te dire que... je t'aime. »

Et sur ce, il essaya de l'embrasser.

-Tu vas le regretter!

Mallardor fit trois pirouettes en arrière pour esquiver les poignards jetés par la main habile de Doubhée. Bon, ok il en faisait trop, mais il soignait son style. Mais il le regretta car à la réception de la troisième, il buta sur une racine et tomba sur le dos. Il senti que sur lui se trouvait quelqu'un qui l’empêchait de bouger et songea à ce que l'elfe avait suivi le mouvement. Mais non, c'était quelque chose ! Un grand loup noir se tenait sur lui, avec sa grande mâchoire qui s'approchait dangereusement de sa gorge. Il était magnifique, ces grandes dents blanches, ces long poils noirs, ces grand yeux dorés, quoique Mallardor aurait sans doute mieux apprécier si il l'aurait vu de loin. Mais là quelque chose d’étonnant se produisit, au lieu de le tuer, le loup lui fit une groooosse léchouille ! A cet instant précis, Mallardor compris, ces grand yeux dorés !!! Il venait de se lier avec un familier ! Il lui donna le premier nom qui lui venait à l'esprit : Olgulla !

Il dressa d’abord les points positif :
-Ne va pas mourir.
-Un familier, ça peut combattre et tuer des gens (comme une certaine Doubhée)
-Un grand loup noir, c'est plus classe qu'un petit chaton rose.
Puis ensuite les points négatifs :
-Un familier peut le rendre faible.
-Va être obliger de se trimbaler son familier partout.
Olgulla lui envoya une image de viande dans sa tête, il avait faim.

-Tu as faim ? Alors, tu va peut être avoir la chance de goûter au steak de griffon !!! 

Et sur ce, il se leva d'un bond, sortit sa dague en argent et chargea l'elfe en essayant de la touchée au ventre, et le loup tenta de lui arracher la gorge.
Le vrai combat pouvait commencer !

Mallardor fit un bond de surprise quand il vit Doubhée incanter un bouclier. Son informateur allait passer un sale quart d'heure si jamais il survivrait. Puis elfe incanta un vent puissant. Mallardor compris qu'elle était donc une puissante sortcelière. Mais le vampyr n'était pas à cours de solution. Il fallait juste les trouver.

-Arrette tes bêtise la sangsue je ne veut pas te faire de mal et en plus je suis censée être en vacances alors tu t'arrêtes sinon tu risque de le regretter.

Puis Doubhée lui jeta un Carbonus. Il l'esquiva sans peine. Quand soudain il eu une idée de génie. Le feu. Les arbres. Une elfe. OUI !!!! Puis il éclata d'un grand rire sardonique.

-Voyons ce que tu va faire maintenant!!!

Il fouilla dans ses poches. Puis trouva ce qu'il cherchait. Une fiole avec un liquide bizarre a l’intérieur. Il allait mettre le feu a la forêt. L'elfe allait avoir besoin de beaucoup d'énergie si elle voulait l'éteindre. Et être concentré. Très concentré. Il mis en place son action, il entoura l'elfe et son familier d'un bouclier très puissant et jeta sa fiole dans le arbres a l'opposée de Doubhée. La fiole explosa et mit le feu au arbres. Le feu allait se propager et créer un véritable incendie. Et libéra Doubhée de son bouclier.

Mallardor avait observé Doubhée pendant qu'elle avait éteint le feu. Elle avait l'air fatigué. Le vampyr allait donc la pousser a bout de force. Puis l'elfe envoya une salve de dague et de flèche. Olgulla les esquiva sans problème mais Mallardor en reçu une dans le pied alors qu'il était occupé a dévié le Glacius. Il était entraîné a ne pas montrer la douleur, ce qu'il fit très bien, mais il avait mal. Il pleuvait toujours. Il pensa donc à stopper la pluie (il détestait ça) mais eu une autre idée. Elle était dans les arbres. Il pleuvait. Il se dit qu'il pouvait amplifier la pluie pour la transformée en orage avec peu d'effort. Mais cela ne suffisait pas pour lui. Il ajouta donc à l'orage un vent très puissant. Il fit un effort et concentra la tempête dans la zone ou Doubhée se trouvait. Et il sorti une autre fiole de son sac au liquide d'un bleu pur. Il la lança dans les arbres vers Doubhée. Cette fiole éclata et aspergea la zone d'eau, de beaucoup d'eau. Puis il hurla a Doubhée :

- Et là, tu vas faire quoi???

*Fëanaro ne t'envole surtout pas on va se metre au milieu de la prochaine clairière je ne peu pas te miniaturiser par contre sinon je risquerait de te perdre*

*Bien je m'accroche au arbres tu devrais monter sur mon dos...*

*non ne t'en fait pas*

Je sauta par terre et courut a l'autre clairière je savais qu'il me retrouvait a cause de l'odeur de mon sang, mais je m'en fichait je me mit au milieu de la clairières trempée je regardais autour de moi et sortit mon épée, j'étais droite sur mes jambes et je savais que le vampyr avait été touchée par une de mes dague empoisonnée, c'était du poison paralysant mais il agissait trop lentement, il fallait donc que je gagne du temps

Mallardor avait senti que Doubhée était partie plus loin dans la forêt. Il en profita pour retirer la dague. Mais un liquide coulait sur la dague. Du poison ! Il avait plusieurs fioles d'anti-poison mais ne savait pas lequel c'était. Il goûta alors le sang qui coulait le long de sa jambe. Puis sa bouche fut paralysé quelques secondes. Du poison paralysant ! Il prit la fiole et en but une gorgée. Mais l'effet serait retardée, pas annulé. Il banda sa jambe et repartit a la recherche de Doubhée. Il la trouva dans une clairière. Il ne fit pas de sommation. Il lança un Pocus illico suivi de deux dagues. Son loup lui sauta à la gorge. Le vampyr avançait sa dague à la main...

-Tu n'as aucune chance!!

je créa un bouclier et m'aplatit au sol pour éviter les dagues et mon griffon attrapa le loup et lui griffa le dos pour l'envoyer rouler plus loin

-Tu n'as aucune chance!!

Je voyais le vampyr s'avencée une dague a la main, je me releva donc en vitesse et donna un coup de pied violent dans le ventre tu vampyr

-peut être pas mais je ne me laisserais pas faire!

Mallardor reçut un violent coup de pied au ventre et se plia en deux. Il vit son familier se faire repousser par le griffon. Il envoya rapidement un Reparus au loup et lui demanda de se cacher et d'agir au bon moment pour prendre Doubhée par surprise. Il vit alors quelqu'un arriver derrière lui. Il trouva cette personne très étrange car elle prononça un :

-Bonjour a vous chers gens!

Comme si l'on était entrain de boire du thé ! Le vampyr pris donc la peine de se retourner. L'individu en question était un homme d'une trentaine d'années. Mallardor décida donc de l'ignorer tant qu'il ne faisait rien en particulier. Il repris donc le combat avec l'elfe, et lui envoya un Pocus tout en chargeant avec sa dague. Il commençait a fatiguer, lui aussi.

Je regardais la jeune femme. Je ne répondis pas à sa question. J'étais venu ici pour accomplir une mission prioritaire pour mon clan et j'étais bien décider à la mener à bien avant de devoir repartir. C'est alors que le vampire noir que j'avais sentis apparu à mes yeux. Je sentais que les deux être commençait à ftigué et c'était une bonne chose à savoir pour que je puisse agir à ma guise. Mon combat avait commencé mais je ne pouvais le mener à bien seul. Bien sur, j'avais déjà commencer à recruter des adeptes mais il m'en fallais plus.



"Je suis venu vous faire une proposition. Plutôt que de vous battre, pourquoi ne nous mettons pas ensemble ? La Révolte à commencer et bientôt je passerais à l'action. Mais pour celà, il me faut des adeptes. Je sens vos pouvoirs. Utilisez-les pour moi et vous serez grâcment récompenser. Utilisez les contre moi et vous en subirez les conséquences."



Je me tûs après cette phrase afin de voir la réaction des deux êtres en face de moi. Depuis mon séjour au royaume d'Omois, j'avais une haine contre les Elfes mais je n'avais pas l'intention de les tuer mais plutôt de les convertirs en Elfes Noir à mes côté. J'avais en tête un but à atteindre et j'étais venu ici dans ce seul but. Sachant que j'aurais peut-être le besoin de combattre. Je me transformai en Loup-Garou en me tenant prêt au Combat. Le temps était contre moi et je devais faire vitre pour réunir mon clan et passer à l'action. Patiemment j'attendis leurs réponses.

-Bouge et je te découpe sale sangsue!

Mallardor avait une dague sous la gorge, Doubhée avait pris le dessus. Pourtant elle ne l'avait pas tué. Il ne risquait pas de bouger, en tout cas, il demanda à Olgulla de se tenir tranquille et fit de même. Le vampyr n'était pas fou à ce point, il savais que sa vie tenait à un fil et ne souhaitait pas mourir.

-Que viens tu faire ici ?


Elle parlait à l'homme qui venait d'arriver. Maintenant qu'il ne pouvait plus bouger, il voulait bien savoir ce qu'il faisait ici, car c'était sa seule préoccupation.

-Je suis venu vous faire une proposition. Plutôt que de vous battre, pourquoi ne nous mettons pas ensemble ? La Révolte à commencer et bientôt je passerais à l'action. Mais pour celà, il me faut des adeptes. Je sens vos pouvoirs. Utilisez-les pour moi et vous serez grâcment récompenser. Utilisez les contre moi et vous en subirez les conséquences.

Bon, il voulait les recruter. Mallardor réfléchissait à ces paroles quand Doubhée questionna cette mystérieuse personne qui venait de ce transformer en loup.

-Qui es tu? Quelle est ton nom? D'où viens tu? Et que me vaut ce regard de dégout?

Puis elle relâcha Mallardor. Le vampyr songea à tuer l'elfe puis se ravisa. Il ne voulait pas la tuer car elle l'inconnu voulait qu'elle soit dans son clan et il ne voulait pas se battre dans l'état dans le quel il était. Puis il réfléchit. La proposition était alléchante mais il voulait en savoir plus.

-La Révolte? De quelle révolte tu parle?