Métier : Assassin Résidence : Une grotte en Krasalvie ou le QG des Ombres Affinités : Sai Niwa: Un amour compliqué mais qui durera pour l'éternité.
Kei Niwa: Plus qu'un ami, un frère ^^
Sujet: Urgent Jeu 25 Aoû 2011 - 13:13
Voilà je vous explique, ce week-end on fait une fête de famille. Et avec mes cousins on a prévu la nuit de se faire un peu peur. Il y a une vieille grange à côté et on veut se raconter des histoires qui font peur. Les autres vont sûrement chercher sur internet mais moi je préfère inventer. Donc je voulais avoir votre avis.
Le rituel:
Spoiler:
L’homme marche, toujours en rond, décrivant un cercle parfait, comme un animal autour de sa proie. Il est dans la cave, celle de d’habitude, c’est toujours ici que se déroule le ... rituel. Il sourit laissant apparaître ses dents très blanches d’animal cruel. Il s’arrête, regarde autour de lui et tout à coup, se dirige vers la table qui se trouve au centre. Là, sous un drap jadis blanc, mais désormais salit par la crasse et le sang, git une chose. La chose souffre, a mal, peur et elle tremble. Une odeur d’urine se répand dans la pièce. Quelque chose coule le long des pattes de la table, des gouttes tombent lentement dans un bruit infernal. Cela met l’homme en colère, il est encore plus énervé qu’il ne l’était auparavant. Il soulève le drap. Et là, sous le morceau de tissus sale, se trouve un autre homme ou plutôt se qu’il en reste. Sa main a été sectionné. Le sang s’écoule lentement. La vue de ce liquide rouge et épais parvient à apaiser quelque peu le tueur. Il sourit a nouveau, brandit son couteau à lame d’acier parfaitement aiguisée. Il fait lentement le tour de la table tout en fredonnant un air doux, s’arrête aux pieds de sa victime. Son couteau effleure la peau. De ce trou béant coule à nouveau le sang. La chose gémit. Le tueur chante toujours, peut-être plus fort. Lentement, il tranche le pied de sa victime et le lance à travers la pièce. Plus vite maintenant, car le temps presse, il lui tranche la gorge. C’est terminé. L’homme nettoie la pièce, la lave avec de l’eau de javel et des produits ménagés dont vous n’avez jamais entendu parlé. Bientôt, la cave sent le citron. Les odeurs rouillé du sang et celle d’urine ont disparus jusqu’à la prochaine fois. Et déjà, l’homme gravit les marches et part à la recherche d’une nouvelle victime.
Quand l'homme à soif:
Spoiler:
Nuit noire. La lune pleine reluit dans le ciel. Tout est sombre autour de la ferme où la fête bat son plein. Une musique assourdissante, du vin et de la nourriture. Quelques danseurs se trémoussent sur la piste. Les autres parlent, boivent ou mangent. La porte de la bergerie s’ouvre sans un bruit et trois enfants sortent. Théo, Noémie et Émilie ou peut-être bien Maxime, Claire et Jeanne. Mais peut importe leur nom. La seule chose qu’il faut savoir c’est qu’un homme caché derrière une botte de paille les observe en silence. Ils se racontent des histoires qui font peur, comme c’est amusant! Surtout pour l’homme qui est le pire cauchemard de ses enfants, car il est venu assouvir sa soif. Non pas comme toute les personnes qui se trouvent encore à l’intérieur. Non, c’est une soif bien pire. Sa soif de sang. Un enfant se lève et se dirige vers l’homme, c’est le moment. Maxime, Claire, Théo ou Émilie disparaît dans la nuit noire. Les autres ne le voit plus, rient, l’appellent et croient à une farce. Il veut nous faire peur, voilà ce qu’on peut les entendre dire. Les minutes passent, minuit sonne au clochet de l’église toute proche. Et puis plus rien, le silence. Les enfants ont peur, appelle leur camarade, lui dise que la plaisanterie a assez duré. Mais il ne répond pas. Le tueur sourie. Ces enfants ont beau appeler, personne ne leur répondra, il ne leur répondra plus jamais. Les enfants restant rentre à l’intérieur, vont chercher leur mère, leur père, ou était-ce une tante ou un grand-père. Mais peut importe ce dernier ou cette dernière n’a plus les idées en place, celles ci les a quittées au troisième verre qu’il ou elle a engloutit. Cet adulte ne cherche pas à comprendre et rentre. Mais le lendemain, quand les premières lueurs du jour commencent à percer les ténèbres de la nuit on peut voir derrière la botte de paille, du sang. Il est sec, presque. L’homme a disparu et l’enfant aussi. On ne les reverra plus.