Familier : Horus, un faucon pèlerin Couleur de magie : Rouge Niveau de magie :
Moyen
Plutôt élevé
Niveau de combat :
Très élevé
Métier : Tragédienne à mi-temps, créatrice de masque Vénitiens le reste du temps. Résidence : C'est une bonne question... où suis-je ? Dans le sac : Créer des masques.
Affinités : Kerry...
Sujet: Mon petit placard. Ven 15 Avr 2011 - 3:09
Voici ma galerie. Mon placard où j'entreposerais mes poèmes, nouvelles et autres que j'ai écris. Je l'enrichirais avec le temps. (J'ai malheureusement jetée toute les nouvelles que j'avais écrites (non mais quelle idiote) et je dois donc les rechercher. Mais dès que ce sera fais, j'éditerais pour les rajouter).
Voici une nouvelle que j'ai dû écrire pour mon cour d'anglais. Nous travaillons sur la pièce de théâtre tiré du journal d'Anne Frank. Le sujet est d'écrire une page de journal du point de vue d'un personnage (excepté Anne, Mr. Kraler et Miep) en décrivant leur pensée, le sérieux de la situation et les difficultés des relations qui les entourent. J'ai choisis Peter.
Vu de Peter:
Cher journal,
Ma vie est toujours la même, partagée entre ma chambre et l’espace qui nous sert de lieux de vie. Toujours avec les même personnes : cette pipelette d’Anne qui est incorrigible et bruyant, Margot la discrète, Mr. Et Mrs. Frank, mes parents et Mr. Dussel. Ah, Mr. Dussel… que de choses à raconter à son sujet. Mr. Frank la plus que gentiment invité à passer quelque jours dans l’annexe et celui-ci est resté. Déjà, être un de plus dans ce petit espace qui nous sert de maison, ce n’est pas un cadeau mais en plus, il se mêle de tout. Il prend la chambre d’Anne, lui cri dessus au moindre bruit qu’elle fait la nuit, et est un enfer pour tout le monde. Je n’aime pas forcément Anne, mais Mr. Dussel dépasse les bornes. Nous avons de moins en moins de contact avec l’extérieur, seule Miep nous est plus qu’une précieuse aide. Nous sursautons à chaque bruit qui se passe dans les bureaux, nous nous taisons pendant de longues anxieuse minutes dès que nous entendons les nazis en dehors, à guetter, tel des chats qui guettent la souris : ils savent qu’elle est là mais ils ne savent pas où, alors ils entendent qu’elle se trahisse. Mon seul plaisir est de monter au grenier avec Mouschi mais là encore, les nazis traversent la bulle que je me suis créer. Effectivement, par le carreau cassé, nous apercevons les juifs emporter vers les trains. Trains qui les emporteront vers les camps de la mort. La mort. Ai-je peur de mourir ? Je me pose souvent cette question. Si c’était moi dans la rue, dans le froid et la maladie, poussé par la crosse d’un fusil, essayant de protéger mes enfants de la mort certaine qui arrivera. Déportée telle des bestiaux vers ses trains noirs, les trains de l’horreur, qui nous emmènerons vers un futur proche et sans autre issue que cette mort qui rode. Entendant les cris des femmes, les pleurs des enfants, les rugissements de fureur des hommes séparés de leur famille. Moi, au milieu de ce chaos. Ce noir de la mort m’entourant, m’étouffant et les trains à gueule de monstre qui ouvrent leur porte pour nous envoyer à la mort. Les plus chanceux travailleront un peu avant que la faucheuse n’arrive. Les autres seront tués. Deux destins différents pour quelque semaines, peut-être mois, mais qui se terminerons tous de la même façon : la mort. J’ai beaucoup répété ce mot : la mort. La Mort avec un grand M nous attend au bout du chemin. De ce chemin tortueux et semé débuche que nous appelons Vie. Es-ce cela la Vie ? Etre enfermé dans un espace si petit si étouffant que j’ai l’apprécions de suffoquer ? La Vie c’est la liberté, c’est les couleurs qui nous entourent et colore nos horions noirs. Ai-je peur de la Mort ?
Peter
***
Petite lettre pour le cour de français. Sujet: vous êtes la fille de Calamity Jane. Ecrivez une lettre lui étant adressée.
Pour Calamity Jane:
Janey Ranch Silverado Corona
Marta Jane Canary Fort Sutter Sacramenti
Le 23 janvier 1877
Chère maman,
J’ai reçu votre lettre le jour de mon anniversaire. Peut-on faire plus beau présent qu’une lettre d’une mère à sa fille ? A ma demande, Papa Jim m’a une fois de plus raconté l’histoire de mon adoption. Cela n’a pas dû être évidant pour vous, je le ressens bien dans les lettres que vous m’adressez – ces lettres qui me font temps de bien. Je passe de longues heures dans le jardin à m’imaginer chevauchant à vos coter dans les plaines en terrains Sioux. Je m’imagine allongée près du feu de camp à regarder les étoiles, à respirer l’odeur du bois et à écouter le renâclement des chevaux : douces mélodie qui m’endorment. Je rêve le soir à un fort lointain où je devrais le rendre pour aider la septième de cavalerie comme vous me l’avez décrit dans votre précédente lettre. Lorsque je m’amuse avec un autre enfant, nous jouons aux cowboys et au indiens. Et bien sûr, je suis vous : Calamity Jane, l’héroïne des plaines. Je suis toujours le vainqueur à ces jeux-là. Je ne vais pas vous le cacher, vous me manquez. J’espère du plus profond de mon cœur qu’un jour, nous nous retrouverons.
Je vous embrasse.
Janey
***
Nouveau (très) petit texte que j'ai écris pour une présentation. Le personnage est Ayla (prononcer A-i-la) et elle est un ange noir déchu.
Une triste mélodie s’éleva dans les airs. Funèbre berceuse. Les gens se retournèrent, cherchant la provenance de ce son. Aucun ne trouva. Ayla s’était envolée, déployant ses sombres ailes. Perchée sur un toit, elle laissait libre court à sa tristesse. Son violon était sa voix, son violon était ses pensées. Les yeux clos, ses doigts courraient sur les cordes de l’instrument. Toute sa peine, toute les humiliations qu’elle avait subi, tous les coups, tous les préjuger, toute ses larmes s’envolèrent avec sa musique. S’envolèrent vers le ciel, vers la lune, vers les étoiles. Les seules à l’écouter vraiment, les seules à ne pas la juger. Son violon était son cœur. Son violon était sa vie.
Dernière édition par Ombe Malyunk le Mar 26 Avr 2011 - 3:26, édité 1 fois
Muffy
Sujet: Re: Mon petit placard. Jeu 21 Avr 2011 - 18:26
Heyy Lya, permets-tu que je critique un de tes textes ^^ ? Si oui, choisis-en un et on verra ensuite si ça me tente de m'occuper du second.
Ombe Malyunk
Age du personnage : Sur le point d'avoir 117 ans.
Familier : Horus, un faucon pèlerin Couleur de magie : Rouge Niveau de magie :
Moyen
Plutôt élevé
Niveau de combat :
Très élevé
Métier : Tragédienne à mi-temps, créatrice de masque Vénitiens le reste du temps. Résidence : C'est une bonne question... où suis-je ? Dans le sac : Créer des masques.